Guy Boulianne a obtenu une excellente critique sur le site de la Fédération des Québécois de souche pour son dernier livre intitulé « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués » (Éditions Dédicaces). Soutenue par les Rothschild et les Rockefeller, la Société fabienne est à l’origine de ce qu’on appelle aujourd’hui le Nouvel Ordre Mondial par l’intermédiaire de ses nombreuses ramifications, dont le Council on Foreign Relations (CFR), le Bilderberg, la Commission Trilatérale et d’autres instruments de pouvoir antidémocratique.
Le livre de Guy Boulianne vous dévoilera des informations qui vous feront mieux comprendre les enjeux actuels de la mondialisation, de l’immigration massive et du multiculturalisme. L’objectif de la Société fabienne étant de détruire les identités raciales et culturelles, le nationalisme et de mettre fin à la démocratie en utilisant les principes du socialisme démocratique et du gradualisme dans le but ultime d’implanter un gouvernement mondial, sous l’égide d’un régime totalitaire.
La Fédération des Québécois de souche
Avec La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués, l’auteur et éditeur québécois Guy Boulianne peut se revendiquer comme étant le Pierre Hillard québécois.
Dans ce travail étoffé et dense, mais pourtant facile et agréable de lecture, l’auteur donne un portrait de la société fabienne à travers le temps et à travers le monde, un « think tank » fort peu connu des francophones, et pourtant fort influent.
Ce groupe socialiste, la Société fabienne, vit le jour à Londres au XIXe siècle, alors que se multipliaient les groupuscules socialistes, communistes et anarchistes. Ce qui différencia les Fabiens de leurs homologues est qu’ils ne préconisaient pas tant une révolution à la bolchévique, mais une approche gradualiste, sociale-démocrate, pour en arriver au même résultat. La société occidentale étant impossible à révolutionner à cause de la force d’inertie qui la protégeait, il valait mieux imposer les changements par le haut, par « l’élite », et ce petit à petit, plutôt que de se lancer dans une révolution qui mènerait à un échec assuré et les ramènerait au point de départ. Leur symbole annonçait le programme : un loup déguisé en agneau.
Cette Société discrète, mais pas nécessairement secrète, compta au fil de son histoire de nombreux membres éminents, de George Bernard Shaw à H.G. Wells, en passant par Tony Blair et Aldous Huxley, mais son influence se fit sentir bien plus loin avec la London School of Economics, son école bien à elle, qui forma autant Jacques Parizeau que Pierre Elliott Trudeau. En fait, la myriade de personnalités liées de proche ou de loin à la Société est tout simplement étourdissante.
Mais comme toute entreprise métapolitique, les buts originaux en vinrent rapidement à se travestir et à perdre toute leur substance. On se souvient que l’École de Frankfort avait comme objectif de changer les mentalités dans le but de parvenir à l’avènement d’une société socialiste, mais que son œuvre dévia et qu’elle se mit à prôner toutes les dérives sociétales inimaginables en s’appuyant sur le néo-libéralisme. Les Fabiens suivirent grosso modo un développement semblable et les socialistes qui défendaient le petit peuple en vint à s’allier à la haute finance et aux mondialistes pour prôner le changement de peuple et un monde globalisé sans frontière.
Concernant les liens plus qu’évidents entre les Fabiens et la City de Londres, l’auteur en profite pour retracer les débuts de la puissance financière à ses origines anglaises, car ce monde de la finance n’est pas né instantanément, mu par un besoin du peuple, mais s’est levé pour ses propres intérêts qui depuis les tous débuts se heurtent à ceux des nations et des peuples. Leur rêve d’un monde dans lequel toutes les ressources seraient entre leurs mains se marient avec les prétentions mondialistes des adeptes du fabianisme. C’est là pourquoi les organismes comme le FMI, dans lesquelles on retrouve un grand nombre de Fabiens, ou les fondations de Rockfeller et Rothschild, entres autres, financent allègrement les travaux des Fabiens. D’ailleurs, les industriels ont toujours apprécié la Société fabienne qui avec son approche sociale-démocrate exigeait de l’État qu’il prenne en charge le bien-être des travailleurs qu’ils sous payaient.
Toujours est-il que les prises de positions d’origine de la Société ont bien changé. L’immigration est l’exemple parfait. Si au nom de la défense des travailleurs, les Fabiens s’opposaient à l’arrivée en masse de travailleurs du Tiers monde, ils appuient désormais sans réserve l’immigration de masse, l’immigration de remplacement, telle que promue par l’ONU et son Agenda 21, reprenant ainsi à leurs comptes les paroles pourtant ironiques de Bertol Brecht sur la nécessité de changer le peuple pour atteindre un monde meilleur.
Aujourd’hui, la cause que l’on brandit n’est plus celle de la répartition des richesses, mais bien la lutte aux changements climatiques pour laquelle les peuples sont priés d’abandonner leur souveraineté aux grands organismes. C’est aussi dans cet état d’esprit qu’on promeut la régionalisation, notamment en Europe, question de briser la nation, dernier maillon restant contre les projets mondialistes.
Voici quelques articles complémentaires :
- Youtube a complètement fermé ma chaîne et retiré l’ensemble de mes vidéos. J’ai fait une vidéo en direct le 1er février à 13H00 (Paris 19H)
- Vous êtes invités au lancement du livre de Guy Boulianne, « La Société fabienne: Les maîtres de la subversion démasqués »
- Viva l’attente … Pierre Corbin, artiste-peintre, co-fondateur des galeries d’art Frère Jérôme et Lézart. Entrevue pour le fanzine Le lys d’Or
- Une critique de Marcel Nadeau concernant le recueil de poésie “Avant-propos d’un prince fou” publiée dans la revue La Bascule en 1984
- Un journaliste canadien menacé : le nom de Guy Boulianne a été ajouté sur la liste des personnes à tuer de Myrotvorets (Pacificateur !) en Ukraine
- Un autre de mes articles qui concerne l’Ossétie du Sud-Alanie a été publié dans le magazine en ligne russe PRAVDA UA
- Un article récent de Guy Boulianne est repris sur le site internet du Centre de recherche sur la mondialisation, fondé par Michel Chossudovsky
- Un article paru dans le magazine populaire “Le Lundi” en 1985 — « Guy Boulianne, 20 ans : Les terribles angoisses d’un jeune poète »
- Un article de Noureddine Mhakkak : La force de la poésie et la vision universelle du monde — Regards sur la poésie du poète Guy Boulianne
- Un article de la journaliste Deborah Armstrong, aux États-Unis, souligne que : « Un journaliste canadien ajouté à la liste noire ukrainienne »
- Un article de Guy Boulianne concernant le FEM est donné en référence sur le site internet de FranceSoir au sujet du documentaire Hold-Up
- Tous les articles de Guy Boulianne ont été mis à jour et « réparés » suite au transfert de son site Web effectué il y a plus de six mois de cela
« J’espère que Karen Kingston reviendra et qu’elle sera guérie. Le travail que vous avez accompli pour rassembler toutes ces informations fait honte au FBI et à la CIA, confirmant presque leur criminalité. Je vous remercie pour votre honnêteté, vos efforts sincères et votre travail acharné. »
VEUILLEZ NOTER : Les commentaires des lecteurs et lectrices peuvent être approuvés ou non, à ma seule discrétion et sans préavis. Merci de votre compréhension. — Guy Boulianne
En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).