La ville d’Ottawa, capitale de la Confédération canadienne et siège du Nouvel Ordre Mondial

La ville d’Ottawa, capitale de la Confédération canadienne, serait-elle l’un des sièges du Nouvel Ordre Mondial sous l’égide du nombre de la Bête ?

La ville d’Ottawa a été fondée en 1826 lors de la construction du canal Rideau et porte d’abord le nom de Bytown. Le 31 décembre 1857, l’emplacement est choisi pour accueillir la nouvelle capitale de la province du Canada. Devenue capitale de la Confédération canadienne, Ottawa accueille aujourd’hui les institutions fédérales du pays, tels que le Parlement et les résidences du gouverneur général et du Premier ministre.

Ottawa (logo)Son drapeau fut adopté le 1er janvier 2001, année où onze municipalités (Cumberland, Gloucester, Goulburn, Kanata, Nepean, Osgoode, Ottawa, Rideau, Rockcliffe Park, Vanier et West Carleton) ont fusionné pour former la nouvelle Ville d’Ottawa. Celle-ci avait alors besoin d’une identité neuve symbolisant ses caractéristiques dominantes et la diversité de sa population. Il porte en son centre un « O » stylisé qui, — selon le site officiel de la ville —, est censé représenter à la fois une feuille d’érable (symbole du Canada) et la Tour de la Paix et l’édifice au centre du parlement (pour symboliser Ottawa), ce qui est quelque peu étrange.

Toujours selon le site officiel — symbole d’énergie et de synergie — le « O » stylisé évoque la vitalité de la ville. Il est l’élément central du drapeau et représente Ottawa en tant que capitale nationale. Les traits qui s’élancent depuis le cercle du « O » symboliseraient l’unité, l’harmonie et la conjugaison des efforts dans une même direction, en vue d’atteindre un même objectif (Nouvel ordre mondial ?).

En réalité, le logo de la ville d’Ottawa aurait une signification ésotérique beaucoup plus inquiétante. Ottawa, une ville connue pour sa diversité, sa population adultère, son pouvoir politique et son étalage constant de la marque de la Bête — 666. Si vous vous promenez dans le marché By, vous verrez probablement deux choses : des bâtiments historiques, de nombreux sans-abri, une abondance de lieux de shawarma et le plus récent drapeau de la ville d’Ottawa, qui ressemble étrangement à des triples six.

Quand on examine de plus près, vous ne pouvez pas vous empêcher de conclure que le logo représente en effet le nombre de la Bête, 6-6-6. C’est une vérité très troublante, mais plutôt indéniable.

OttawaIsraelCe logo d’apparence sournoise est présent sur presque tout et n’importe quoi dans la ville où le gouvernement municipal a mis la main. Vous pouvez trouver ce chiffrement (ou cypher) caché sur quelque chose d’aussi simple que les parcomètres et à quelque chose d’aussi public que l’entrée de l’hôtel de ville. Ainsi que les autobus, les édifices gouvernementaux, les panneaux de signalisation, les véhicules de la ville — en fait, partout.

Comment les politiciens et les administrateurs pourraient-ils permettre que cela se produise, demanderez-vous ? C’est simplement un moyen pour les pouvoirs d’afficher leur contrôle inquiétant sur le monde et la ville d’Ottawa. Plusieurs de logos les plus reconnaissables d’aujourd’hui sont représentatifs du 666, des Illuminati, du Nouvel ordre mondial, etc. Il n’est pas surprenant que le drapeau d’Ottawa ait une signification cachée.

Situé au 111 Sussex Drive, se trouve l’édifice John G. Diefenbaker. Le bâtiment a servi d’hôtel de ville du 2 août 1958 au 1er janvier 2001, exactement à la même date que l’adoption du drapeau d’Ottawa. L’architecte israélo-canadien Moshe Safdie a été choisi pour la refonte, réalisée en 1992-1993. Le nouveau bâtiment a provoqué une controverse considérable dans la ville, certains appréciant la conception, mais d’autres voyant la structure de 72 millions de dollars un gaspillage d’argent.

Le bâtiment était beaucoup plus grand que la ville avait besoin et pendant plusieurs années de grandes sections étaient vacantes. En 1999, des bureaux ont été loués au ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement (Affaires mondiales Canada), un ministère du gouvernement fédéral chargé des relations diplomatiques et consulaires. Acheté en 2003 par le ministère fédéral des Travaux publics, le bâtiment était connu par son adresse municipale, 111 Sussex Drive, jusqu’en septembre 2011, date à laquelle il a été renommé d’après le 13e premier ministre du Canada, John Diefenbaker.

L’une des caractéristiques les plus importantes de la nouvelle architecture est le nombre de structures triangulaires (pyramides) dans tout le bâtiment, similaire à la pyramide du Louvre à Paris, à la capitale du Kazakhstan, Noursoultan, et à la Cour suprême d’Israël à Jérusalem. Loin d’être un hasard, le bâtiment de cette Cour suprême a été donné à Israël par la philanthrope juive Dorothy de Rothschild qui épousa en 1913 son cousin Jimmy de Rothschild, fils du baron Edmond de Rothschild, de la branche française (l’une des figures de proue du sionisme).

La plus grande pyramide de l’édifice John G. Diefenbaker, faite de verre, se trouve devant le bâtiment illuminé de l’intérieur. Personne à la ville ne peut ni ne veut fournir des informations sur l’étrange choix d’architecture. L’architecte était-il donc obsédé par les triangles ou ce bâtiment rend-il hommage aux maîtres des marionnettes ? C’est une réponse qui reste cachée au public.

Maeva Sirkis
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« Guy, merci pour tous tes travaux ! j'ai beaucoup appris en te lisant… que la paix et la force t'accompagnent… »

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Publié le 30 mars 2020
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).

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Le Québec à été masqué exactement 666 jours.

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