Avec Omicron, le Covid-19 devient endémique : les dirigeants qui persistent dans leurs plans d’extorsion, coercition et ségrégation devront en répondre personnellement devant la justice

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Comme vous le savez tous, François Legault a annoncé il y a peu qu’une « Taxe COVID » serait exigée à tous les Québécois « non-injectés COVID ». Or, malgré les réactions suscitées par l’idée d’une « contribution santé » (taxe déguisée), François Legault continue de serrer la vis aux non-vaccinés en les empêchant d’accéder aux magasins à grande surface comme Costco, Canadian Tire et Walmart. Il est clair que les actions extrêmement graves et répréhensibles du premier ministre du Québec sont illégitimes et illégales compte tenu que la « pandémie » — comme nous le verrons ci-dessous — est en train de devenir une simple « maladie endémique » grâce au variant Omicron. TOUT LE MONDE LE SAIT. Donc, si François Legault et son équipe persistent dans leur stratagème d’extorsion, de coercition et de ségrégation, ils devront faire face à la justice et en répondre individuellement devant les tribunaux.

Depuis le 15 janvier dernier, une pétition circule sur la plateforme Change.org pour demander rien de moins que la destitution immédiate de François Legault. Selon les signataires, le premier ministre viole la Charte canadienne des droits et libertés et « agit dans un cadre de dictature ». Au moment où j’écris ces lignes, plus de 218 260 personnes ont signé cette pétition en ligne. Bien qu’une telle pétition n’a pas d’effet direct sur le politique, elle est un indicatif sérieux et palpable de la colère de la population québécoise. « Imaginez-vous, selon un article de La Presse, on prendrait les décisions concernant les mesures sanitaires sur l’intuition plutôt que sur une base scientifique… À qui profite cette crise ? Sûrement pas aux places d’affaires ayant pignon sur rue en Côte-du-Sud ! Le paternalisme caquiste guidé par les sondages en vue de se faire réélire est indécent. Et, disons-le, le couvre-feu est une violation directe des droits des Québécois, » a commenté Joey Aubé, président de l’association conservatrice locale.

Le monde est dépassé par l’explosion du variant Omicron, beaucoup plus contagieux que les précédents. Certains pays acceptent de laisser filer la pandémie et renforcer la vaccination pour atteindre une immunité collective. En Espagne, les autorités comptent sur une transformation du coronavirus en pandémie endémique afin de mettre en place une normalisation de la maladie. L’Espagne souhaite tirer un trait, certes pas définitif, sur le Covid-19. Alors que le pays était l’un des plus endeuillés d’Europe lors des premiers mois de la pandémie, plus de 45.000 personnes y ont trouvé la mort entre mars et mai 2020, le gouvernement de Madrid affirme vouloir changer en profondeur sa gestion de la crise sanitaire.

Le chef du gouvernement Pedro Sanchez avait dans un premier temps appelé à « évaluer l’évolution du Covid-19 vers une maladie endémique ». Une situation qui pourrait selon des professionnels de la santé survenir dans les semaines à venir avec la proéminence d’Omicron dans la transmission de la maladie, variant plus contaminant mais moins dangereux. Une déclaration suivie, dans la presse ibérique, par la publication des grandes lignes de ce qui pourrait être la prochaine réforme de surveillance de la maladie. En clair, le coronavirus doit désormais être traité comme une grippe, une de ces maladies saisonnières qui, lorsqu’elle se déclare, nécessite vaccins, tests et mesures de protection spécifiques.

Au Royaume-Uni, le Premier ministre, Boris Johnson, prévoit de supprimer toutes les lois d’urgence Covid en mars si elles ne sont pas renouvelées dans le cadre d’un calendrier établi avant l’arrivée d’Omicron. Les ministres prévoient déjà d’abandonner les restrictions du plan B introduites le mois dernier pour lutter contre la variante hautement transmissible, les passeports Covid et les directives de la Fédération mondiale de l’hémophilie (FMH) devant être supprimés plus tard ce mois-ci. De plus, le secrétaire à la Santé, Sajid Javid, a révélé qu’il était « prudemment optimiste » que les restrictions finales du plan B pourraient être « considérablement réduites » la semaine prochaine lorsque les ministres examineront les prochaines étapes du n° 10. (Lire ci-dessous la traduction de l’article du Daily Mail.)

Éric Duhaime demande la levée des restrictions sanitaires et souhaite un retour à la normale.

Partout à travers le monde, nous remarquons que les médias traditionnels modifient doucement leur narratif : journaux, télévision, radio (voir les différentes vidéos ci-dessous). Ici même au Québec, lors de l’émission “Le Québec matin” diffusée le 6 janvier sur les ondes de LCN | TVA Nouvelles, l’animateur Jean-François Guérin a admis candidement que bien que triplement vacciné, cela ne l’a pas empêché d’avoir le Covid. Étrangement, le grand pourfendeur des non-vaccinés, Richard Martineau, admet publiquement que le Covid « c’est 4 ou 5 jours comme une grosse grippe, de la fièvre, des frissons. C’est comme un rhume. Il est très contagieux, mais peut-être qu’il n’est pas si dangereux que le virus original ».

Denise Bombardier,— celle qui a écrit le 10 janvier : « La majorité des Québécois n’en peut plus des antivaccins qui nous empoisonnent la vie. Littéralement. Ces derniers nous plongent dans plus d’anxiété et de stress. Nous avons tous une limite de tolérance personnelle. Peut-on les arrêter pour les enfermer dans des prisons sanitaires improvisées ? Va-t-on les droguer pour réussir à leur donner l’injection ? Doit-on trouver soudain des vertus aux pays totalitaires où la dictature impose sa loi comme en Chine ou en Corée du Nord ? » —, semble maintenant se poser des questions. Elle écrivait une semaine plus tard : « C’est à ne rien comprendre. Le Québec est-il en train de perdre le contrôle de la pandémie ? Est-ce normal que nous ayons en proportion autant de morts en deux jours que les États-Unis où moins de gens sont vaccinés et où les contraintes sanitaires sont infiniment moindres qu’au Québec ? » Elle poursuit : « Les Québécois au taux élevé de vaccination comparé à la moyenne occidentale n’en finissent plus d’absorber les mauvaises nouvelles. Le Québec semble vivre dans l’hystérie pandémique. Nos scientifiques se contredisent publiquement et les complotistes triomphent. S’il vous plaît, dites-moi, ai-je tort ? ».

On peut douter avec raison de la sincérité de ces animateurs, chroniqueurs et journalistes. Par contre, ce qui est dit est dit et ne peut être retiré des annales médiatiques. Francis Bacon (1561-1626) écrivait que « la vérité sort plus facilement de l’erreur que de la confusion ». En d’autres termes : « Il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. » (Luc 12:2)

Notons que même le Dr François Marquis, chef des soins intensifs à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, change son discours, lui qui a pourtant été un fervent collaborateur du gouvernement caquiste. Il affirme : « Comparativement à la première vague, où tous les patients étaient intubés, ou en coma, ce n’est plus la majorité des patients aux soins intensifs actuellement », explique-t-il en entrevue à Mario Dumont. Le Dr Marquis remarque que les personnes vaccinées aux soins intensifs représentent actuellement 50% des cas, et 40% sur les étages. Si le pourcentage des gens vaccinés qui se retrouvent aux soins intensifs semble plutôt élevé, le Dr Marquis précise que ceux-ci souffrent aussi de maladies graves. « Ce que la plupart de mes collègues partagent comme impression, c’est que nos doubles vaccinés aux soins intensifs ont souvent des maladies du système immunitaire, des médicaments qui modifient leur système immunitaire, des maladies chroniques, des cancers, des problèmes hématologiques », ajoute-t-il.

Vers la fin de la pandémie ?

Le Botswana n’a pas connu d’augmentation des hospitalisations liées au Covid-19 bien qu’il ait été le premiers pays à détecter la variante Omicron. Le 8 décembre 2021, le directeur de recherche d’un laboratoire de l’Africa Health Research Institute en Afrique du Sud a déclaré que la variante Omicron peut partiellement échapper à la protection de deux doses du vaccin produit par Pfizer Inc (PFE.N) et BioNTech (22UAy.DE), rapportant les résultats d’une petite étude limitée.

Andrea Lubeck écrit dans le journal 24 heures : « Les experts l’affirment sur toutes les tribunes depuis un bon moment déjà: nous devrons vivre avec le virus du Covid-19 pour encore longtemps. Mais ça ne signifie pas que l’on sera en pandémie pour toujours. Tôt ou tard, la maladie passera au stade de l’endémie. Selon l’Agence européenne des médicaments (EMA), la phase endémique de le Covid-19 pourrait arriver beaucoup plus rapidement qu’on le pense. Ce serait le variant Omicron, dominant au Québec, qui nous permettrait de l’atteindre, selon l’autorité européenne. » Selon la Banque de dépannage linguistique, une endémie est la persistance habituelle d’une maladie infectieuse et contagieuse dans une région donnée. La maladie y sévit en permanence ou de façon latente et touche une importante partie de la population. On parle d’endémie quand la présence de la maladie est connue, signalée, mais cela ne signifie pas que cette dernière est en progression ni qu’elle se répand.

Selon la docteure en médecine et chef des travaux à la faculté de médecine de Paris, Catherine Dupuis, « toutes les maladies infectieuses sont endémiques » ou ont la possibilité de l’être. C’est-à-dire que, sans mesures dites de « prophylaxie » (comme une vaccination régulière) ou en absence d’isolement d’une population, une épidémie devient inévitablement une endémie. À titre d’exemple, le choléra représente une maladie endémique dans plusieurs régions du globe, selon l’Organisation panaméricaine de la Santé (OPS). « L’idée, c’est de se retrouver avec une maladie qui ne va pas surcharger notre système de santé et qui ne sera pas trop mortelle ou dommageable pour la santé des individus. C’est aussi une maladie qui, en matière de mesures sanitaires, n’aura pas trop d’impact sur notre mode de vie », précise l’épidémiologiste Kevin L’Espérance qui réalise des vidéos dans lesquelles il vulgarise le Covid-19. Concrètement, l’objectif est que le taux de reproduction du virus, communément appelé «R0», soit de un, c’est-à-dire qu’une personne infectée ne transmet le Covid-19 qu’à une seule autre personne, explique-t-il.

Si le variant Omicron donne des sueurs froides aux autorités sanitaires, il est aussi porteur d’espoir : la médecin hygiéniste en chef de la Colombie-Britannique fait partie des scientifiques qui croient qu’il pourrait signer la fin de la pandémie. Le variant Omicron se propage comme une traînée de poudre. En l’espace de quelques semaines, il est devenu dominant en Colombie-Britannique, comme au Québec, en Ontario ou encore en Alberta. À l’échelle nationale, depuis sept jours, le taux de positivité aux tests de dépistage frôlait les 30 % : un indicateur bien loin du seuil de 5 % recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2020.

Malgré tout, la « tempête Omicron » pourrait aider à faire passer le Covid-19 du statut de pandémie à celui d’endémie, a indiqué la médecin hygiéniste en chef de la Colombie-Britannique, Bonnie Henry, en entrevue pendant les Fêtes. Il reste bien des inconnues pour confirmer ce scénario, mais elle estime qu’il pourrait se présenter à mesure que le printemps approche, que davantage d’enfants sont vaccinés et que les taux d’infection diminuent. C’est le cas d’autres maladies, comme la fièvre jaune et le paludisme : le virus ne disparaîtra pas, mais sa progression sera « contrôlée ».

Omicron pousse le Covid à devenir une maladie endémique

L’organisme de surveillance des drogues de l’UE a déclaré que la propagation de la variante Omicron pousse le Covid à devenir une maladie endémique avec laquelle l’humanité peut vivre, bien qu’elle reste pour l’instant une pandémie. Le 11 décembre, le régulateur des médicaments de l’Union européenne a exprimé des doutes quant à la nécessité d’une quatrième dose de rappel du vaccin Covid-19 et a déclaré qu’il n’y avait actuellement aucune donnée pour soutenir cette approche alors qu’il cherchait plus de données sur la variante Omicron à propagation rapide. « Bien que l’utilisation de rappels supplémentaires puisse faire partie des plans d’urgence, des vaccinations répétées à intervalles rapprochés ne représenteraient pas une stratégie durable à long terme », a déclaré Marco Cavaleri, responsable de la stratégie vaccinale de l’Agence européenne des médicaments (EMA), lors d’un point de presse.

Cavaleri a souligné que recevoir un rappel tous les quatre mois pourrait potentiellement entraîner une diminution de la réponse immunitaire des gens et de provoquer de la fatigue dans la population. « Nous devons faire attention à ne pas surcharger le système immunitaire avec des vaccinations répétées », a-t-il déclaré. Cavaleri a aussi noté que « si nous voulons aller vers un scénario d’endémicité », alors il serait préférable de commencer un plan d’administration de rappels plus espacés et « synchronisés avec l’arrivée de la saison froide dans chacun des hémisphères ». Dès le lendemain, L’EMA a publié un communiqué dans lequel l’agence stipule : « Les résultats d’études récemment publiées montrent que l’efficacité du vaccin contre les maladies symptomatiques est plus faible pour Omicron que pour les autres variantes et a tendance à diminuer avec le temps. En conséquence, un plus grand nombre de personnes vaccinées sont susceptibles de développer une maladie révolutionnaire due à Omicron. »

L’Organisation mondiale de la santé a aussi averti que les rappels répétés n’étaient pas une stratégie viable, faisant écho au régulateur européen des médicaments. L’OMS a déclaré que plus de la moitié des Européens étaient sur la bonne voie pour attraper la variante au cours des deux prochains mois.

« Personne ne sait exactement quand nous serons au bout du tunnel mais nous y serons », a déclaré aux journalistes Marco Cavaleri. « Avec l’augmentation de l’immunité dans la population — et avec Omicron, il y aura beaucoup d’immunité naturelle en plus de la vaccination — nous nous dirigerons rapidement vers un scénario qui sera plus proche de l’endémicité. » Par ailleurs, l’EMA a déclaré que des études avaient montré que le risque d’hospitalisation d’Omicron était compris entre un tiers et la moitié de celui posé par la souche Delta, malgré le fait qu’Omicron était plus contagieux.

Le point de presse de l’Agence européenne des médicaments (EMA), le 11 janvier 2022.

Boris Johnson prévoit de supprimer tous les freins Covid

Traduction de l’article du Daily Mail (18 janvier 2022)

Les cas quotidiens de Covid au Royaume-Uni ont chuté pour le 13e jour consécutif aujourd’hui et les admissions à l’hôpital ont maintenant commencé à baisser car il est apparu que Boris Johnson élabore des plans pour abandonner toutes les lois sur les coronavirus dès mars. Il y a eu 94 432 nouveaux tests positifs à travers le pays au cours des dernières 24 heures, selon les données du tableau de bord du gouvernement, ce qui a marqué une baisse de 22% par rapport à mardi dernier. Les cas ont chuté de semaine en semaine tous les jours depuis le 6 janvier.

Pour confirmer davantage que la vague Omicron s’atténue, de nouveaux chiffres montrent que les admissions à l’hôpital dues au virus ont chuté pendant trois jours consécutifs à l’échelle nationale. Il y a eu 1 892 admissions le 14 janvier, la date la plus récente avec des données, ce qui a marqué une baisse de 4% par rapport à la semaine précédente. Les admissions sont en baisse depuis des semaines à Londres, qui est devenue l’épicentre Omicron du pays le mois dernier. Cependant, les décès ont continué à augmenter, avec 438 enregistrés au cours des dernières 24 heures – le plus depuis fin février 2021. Il y a actuellement une moyenne de 270 décès de Covid par jour au Royaume-Uni maintenant à ce que l’on pense être le pic de la vague Omicron – bien loin des 1 200 au pire d’Alpha en janvier dernier.

Les statistiques prometteuses surviennent alors qu’une source gouvernementale de haut niveau a affirmé que les ministres envisageaient sérieusement d’abandonner toutes les restrictions juridiquement contraignantes en Angleterre et de passer à un système basé sur l’orientation. Le responsable a affirmé que même les règles les plus élémentaires pouvaient disparaître, telles que l’auto-isolement obligatoire des cas et l’obligation de coopérer avec Test and Trace (Tester et tracer),

Les lois d’urgence Covid introduites au début de la pandémie doivent expirer en mars si elles ne sont pas renouvelées dans le cadre d’un calendrier établi avant l’arrivée d’Omicron. Les ministres prévoient déjà d’abandonner les restrictions du plan B introduites le mois dernier pour lutter contre la variante hautement transmissible, les passeports Covid et les directives de la Fédération mondiale de l’hémophilie (FMH) devant être supprimés plus tard ce mois-ci. Le secrétaire à la Santé, Sajid Javid, a révélé qu’il était « prudemment optimiste » que les restrictions finales du plan B pourraient être « considérablement réduites » la semaine prochaine lorsque les ministres examineront les prochaines étapes du n° 10.

M. Johnson aurait tiré une grande confiance de l’effondrement du nombre de cas dans le pays et de la stabilisation des taux hospitaliers que le Royaume-Uni peut vivre en toute sécurité avec le Covid. Il finalisera les plans pour laisser expirer les lois sur les coronavirus au cours des prochaines semaines, avec une annonce sur laquelle les mesures seront abandonnées en mars. Le Premier ministre a présenté un certain nombre d’autres politiques favorables aux conservateurs pour apaiser les députés d’arrière-ban alors qu’il fait face à des appels à démissionner pour les partis du n° 10 pendant le verrouillage.

Cela est venu alors que Nicola Sturgeon a finalement accepté de lever les restrictions Covid restantes introduites pour lutter contre la variante Omicron, admettant que le pays était sur la « pente descendante » des infections. A partir de lundi 24 janvier prochain, les bars et restaurants ne pourront plus uniquement servir les clients assis à table, tandis que la distanciation sociale sera également supprimée. Les boîtes de nuit seront également autorisées à rouvrir alors qu’elle balaie les restrictions en place depuis avant Noël, tandis que les projets d’extension du régime de passeport Covid ont été abandonnés. Les limites de fréquentation des événements en salle seront également levées, les alignant sur les événements en plein air dans le cadre d’une décision entrée en vigueur hier. Cependant, les mesures de base contre les coronavirus en place avant la vague Omicron resteront, y compris les masques sont toujours légalement requis à l’intérieur et dans les transports publics.

La source a déclaré qu’il serait « pervers » que les lois d’urgence de Covid restent en place pendant plus de deux ans depuis le début de la pandémie.

Les plans visant à assouplir les bordures du plan B sont déjà en cours de finalisation, M. Javid déclarant aujourd’hui qu’il est « prudemment optimiste », une annonce sera faite la semaine prochaine. Le secrétaire à la Santé a déclaré aux Communes : « Il y a huit semaines, lors de la dernière réunion de cette Assemblée, le monde n’avait même pas entendu parler de la variante Omicron. Pourtant, depuis lors, nous avons vu un tiers du nombre total de cas de Covid enregistrés au Royaume-Uni. L’action que ce gouvernement a prise en réponse à Omicron et les efforts collectifs du peuple britannique nous ont vus devenir le pays le plus stimulé d’Europe, le pays le plus testé d’Europe et le plus d’antiviraux par habitant en Europe. C’est pourquoi nous sommes le pays le plus ouvert d’Europe. J’ai toujours dit que ces restrictions ne devraient pas rester en place un jour de plus que ce qui est absolument nécessaire. En raison de ces défenses pharmaceutiques et de la probabilité que nous ayons déjà atteint le pic du nombre de cas d’hospitalisations, je suis prudemment optimiste que nous pourrons réduire considérablement les restrictions la semaine prochaine. »

Les laissez-passer Covid pour les grandes salles intérieures et les directives généralisées de la FMH devraient être abandonnés, mais les masques dans les magasins et dans les transports publics pourraient rester un peu plus longtemps. Le gouvernement a pris confiance dans l’effondrement des chiffres de Covid et l’élargissement de la déconnexion entre les cas et les maladies graves.

M. Johnson serait désireux d’abandonner les mesures – contre lesquelles près de 100 conservateurs ont voté le mois dernier – pour regagner le soutien de ses députés d’arrière-ban. Il fait face à la colère au sein de son parti à propos d’une garden-party arrosée qui s’est déroulée dans le jardin du n° 10 le 20 mai 2020, au plus fort du premier verrouillage. Le scandale s’est aggravé alors que l’ancien assistant en chef de M. Johnson, Dominic Cummings, a déclaré que le Premier ministre avait été averti à l’avance que la fête était illégale. M. Johnson a lancé cette semaine une série d’annonces politiques populistes dans le but de sauver son poste de Premier ministre, notamment des règles plus strictes sur les traversées de la Manche et un gel des frais de licence de la BBC.

Alors que certains experts ont déclaré que la rétrogradation des lois Covid pourrait être dangereuse pour le NHS, d’autres disent que c’est la prochaine étape logique. Le Dr Nabarro a réitéré son point de vue selon lequel la situation au Royaume-Uni « nous donne des raisons d’espérer », mais a continué d’appeler à la prudence. « L’objectif que nous visons tous est une situation où ce virus est présent, mais la vie est organisée de manière à ne pas être perturbée », a-t-il déclaré. « Nous devons également être humbles, ce virus continue d’évoluer et nous ne sommes jamais tout à fait sûrs de savoir exactement où il va aller ensuite. » Mais l’un des conseillers scientifiques du gouvernement a déclaré que les futures variantes seraient probablement aussi douces ou plus douces qu’Omicron.

Le professeur Andrew Hayward, membre du SAGE, a déclaré à Times Radio : « Cela ne sert à rien au virus de devenir de plus en plus grave. En fait, il semble que la variante Omicron, en devenant plus transmissible, soit également devenue moins sévère, et nous espérons que c’est la direction générale du voyage. » Le professeur Hayward a déclaré qu’il convenait que la pandémie touchait à sa « fin » et que les gens vivraient avec le virus avec « beaucoup moins de perturbations ». Il a ajouté : « Cela aura tendance, je pense, à s’installer dans un schéma saisonnier – nous pouvons encore avoir des hivers d’infection assez importants, mais pas le genre de niveau où nous pouvons justifier une fermeture sociétale totale. Donc, je pense que c’est vraiment une image optimiste, mais nous n’en sommes pas encore là. »

Pendant ce temps, des questions se posent quant à savoir si les campagnes de rappel de masse doivent se poursuivre alors que le monde apprend à vivre avec le Covid. Le débat a été relancé après qu’une étude en Israël a révélé que même une quatrième dose n’est pas suffisante pour empêcher les gens d’être infectés par Omicron. Le procès de plus de 270 membres du personnel médical a révélé que le quatrième vaccin n’a élevé que « un peu » les anticorps par rapport à ceux qui ont été triplement vaccinés. Les participants ayant reçu quatre doses étaient seulement « un peu moins » susceptibles d’être positifs pour la souche mutante que ceux qui en avaient reçu trois. Les résultats étaient vrais pour Pfizer et Moderna. Le Dr Gili Regev-Yohav, chercheur principal au Sheba Medical Center de Tel Aviv, a déclaré que le petit avantage supplémentaire n’était pas suffisant pour justifier un déploiement à l’ensemble de la population adulte.

Le Premier ministre a également annoncé que le gouvernement écossais n’étendrait pas son système de certification des vaccins à de nouveaux lieux, les conservateurs exigeant qu’il soit entièrement supprimé. S’adressant au Parlement écossais, Mme Sturgeon a déclaré que les statistiques montraient une « chute significative » du nombre de nouveaux cas, bien que le NHS reste sous « pression aiguë ». Elle a déclaré : « Tenir compte de tout cela et trianguler les différentes sources de données nous permet de dire avec une certaine confiance que la hausse des cas provoquée par Omicron a culminé la première semaine de janvier et que nous sommes maintenant sur la pente descendante de cette vague de cas. »

Mme Sturgeon a ajouté : « À partir de lundi, nous lèverons également les directives demandant aux gens de s’en tenir à une limite de trois ménages pour les rassemblements en intérieur. Cependant, il est important de souligner ce point : malgré l’amélioration de la situation, le niveau d’infection à Covid circulant dans la communauté est toujours élevé. Donc, pour minimiser le risque que nous contractions le virus, il serait judicieux pour nous tous de rester prudents dans nos interactions sociales à ce stade. » Elle a poursuivi : « Nous continuerons à demander aux gens de travailler à domicile dans la mesure du possible à ce stade – et aux employeurs de faciliter cela. Cependant, nous discuterons avec les entreprises d’un retour à une approche plus hybride à partir de début février. »

Le secrétaire du cabinet fantôme conservateur écossais pour la santé et l’aide sociale, le Dr Sandesh Gulhane, a déclaré : « La déclaration du premier ministre a amorcé un changement radical dans la politique du gouvernement, commençant à passer d’une approche fondée sur des règles davantage à la confiance du public écossais, comme nous le souhaitions. Hier, nous avons appelé à la fin de la plupart des restrictions de Covid car les données montrent que nous avons dépassé le pic d’Omicron. La plupart de ce que nous avons demandé a été satisfait – mais le gouvernement insiste pour maintenir certaines restrictions Covid en place au-delà du point nécessaire pour assurer la sécurité du public. »

Diffusé le 18 janvier 2022 (à 41:05 min) Regardez cette émission québécoise « La semaine des 4 Julie » sur Noovo. Julie Snyder utilise des enfants pour faire sa propagande fasciste pour inciter à la haine et à la violence contre les citoyens non-vaccinés. C’est tout simplement dégoûtant ! Des milliers de plaintes ont déjà été déposées au Conseil canadien des normes de la radiotélévision (CCNR).


RÉFÉRENCES :

Marie Panayotides
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