Pr Luc Montagnier franc-tireur des Sciences : Libre, franc-tireur, pluridisciplinaire et esthète de la recherche. Hommage de Jean-Claude Perez

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Le 28 mars 2023, la journaliste indépendante Emilie Mugabo me transmit un rapport très sensible concernant la généticienne Alexandra Henrion-Caude. Jusqu’à maintenant, je n’ai pas dévoilé ce dossier car j’y réfléchis profondément et j’affine moi-même quelques recherches à ce sujet. Emilie Mugabo m’écrivait alors : « Je suis votre site depuis au moins 8 années et apprécie beaucoup que vous traitiez des sujets peu ou pas abordés ailleurs. J’ai publié moi-même et à mon nom en février un article sur Alexandra Henrion-Caude parce qu’aucune personne ayant connaissance de son titre de Eisenhower Fellow n’osait soulever le problème. Or à ce moment-là, il me semblait crucial d’en parler. L’article est paru le 11 février sur Profession-Gendarme, le jour où s’ouvrait une grande conférence au Luxembourg rassemblant divers scientifiques (dont AHC), c’était voulu et j’ai du travailler très vite. Cela a produit un vrai tollé en deux heures à peine et à midi, Ronald [Guillaumont] enlevait mon article de son site après que la généticienne l’ait appelé, en pleurs. »

Dr Jean-Claude Perez

Depuis que Madame Mugabo m’a écrit au mois de mars dernier, j’ai développé une longue correspondance avec le scientifique interdisciplinaire français, Dr Jean-Claude Perez, collègue et ami du biologiste virologue, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour la découverte du virus du sida. Monsieur Perez a publié plusieurs études scientifiques, dont certaines avec le professeur Montagnier. Nous pouvons donner comme exemple l’étude publiée le 29 mai 2020 sur le site du Center for Open Science : « COVID-19, SARS and Bats. Coronaviruses Genomes: Unexpected Exogenous RNA Sequences » (COVID-19, SRAS et chauves-souris. Génomes des coronavirus : séquences d’ARN exogènes inattendues). Selon le Dr Perez, sa découverte la plus importante a été réalisée en 1997 et partagée en 2009 dans son livre « Codex biogenesis – Les 13 codes de l’ADN« . L’étude fut publiée en 2021 dans la revue à comité de lecture International Journal of Research -GRANTHAALAYAH, avec une préface de Luc Montagnier. Cette étude s’intitule en anglais : « Six Fractal Codes of Life fron Bioatoms Atomic Mass to Chromosomes Numerical Standing Waves: Three Breakthoughs in Astrobiology, Cancers and Artificial Intelligence » (en français : « Six codes fractals de la vie de la masse atomique des atomes bio aux chromosomes ondes stationnaires numériques: Trois percées en astrobiologie, cancers et intelligence artificielle »).

Mathématicien et informaticien, Jean-Claude Perez a été, dans les années 80, un pionnier de la neuro-informatique (Intelligence Artificielle). Il publia en 1988 le premier livre français sur les réseaux de neurones artificiels : « De nouvelles voies vers l’Intelligence Artificielle » (Editions Masson Paris). Puis, chercheur pluridisciplinaire, il sera, dès 1990, tout naturellement, passionné par le naissant projet HUGO de décryptage du génome humain, à la fois à cause de l’utilité et de la beauté de ce défi. Il découvre en 1990 un « ordre global de l’ADN » qu’il validera avec les meilleurs biologistes, médecins, rétro-virologues du SIDA (dont deux des trois co-découvreurs du virus VIH les professeurs Jean-claude Chermann et Luc Montagnier). Il poursuit cette recherche de structures numériques de l’ADN et des génomes depuis plus de 25 ans. En 2020, M. Perez était un pionnier dans la recherche sur les origines de COVID-19. D’ailleurs, une très bonne synthèse interdisciplinaire se trouve sur le site de France-Soir. Récemment, il eut l’honneur de publier avec la neurologue Claire Moret-Chalmin un dernier article co-écrit avec Luc Montagnier. Cet article, qui analysait plusieurs dizaines de cas où les premiers symptômes de la maladie neurodégénérative fatale de Creutzfekdt-Jakob surgissaient dix jours sitôt la vaccination COVID-19, fut publié le 12 janvier 2023 dans la revue à comité de lecture, « International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research » (IJVTPR), soit un an après le décès du Pr Montagnier.

Jean-Claude Perez s’y connaît très bien avec celles et ceux qui font partie de ce qu’on appelle communément l’opposition contrôlée et dont vous pouvez voir quelques visages dans les vidéos ci-dessous. Ces gens ont souvent profité de la « crise de coronavirus » pour se faire connaître, vendre leurs produits et amasser des dons faramineux au détriment d’un public fragile et souffrant. M. Perez combat cette opposition contrôlée quotidiennement. Il écrit sur son compte Twitter : « @LucMmontagnier 2020-2023. Nos recherches… Nos censures… Nos batailles pour exclure les opportunistes en hommage à la Mémoire de Luc… » Il est probable que nous organisions prochainement une conférence vidéo avec Jean-Claude Perez,  la neurologue Claire Moret-Chalmin, la journaliste Emilie Mugabo et peut-être même la fille du Pr Luc Montagnier, afin de discuter de cette opposition contrôlée et du dossier concernant Alexandra Henrion-Caude. Evidemment, cet événement reste à être confirmé.

En attendant, je vous invite à lire un hommage que le mathématicien Jean-Claude Perez rendit au Pr Luc Montagnier et qui fut en partie publié sur le site internet de la Fondation Luc Montagnier.

➽ Hommage de Jean-Claude Perez au Pr Luc Montagnier

Un jour de l’été de l’année 2019, Luc me téléphone, il me demande de démarrer avec lui une recherche bioinformatique sur l’analyse des ondes de cette recherche prohibée : « la mémoire de l’eau ». Pour résumer, à partir de plasmas sanguins de patients atteints de pathologies comme maladie de Lyme, alzheimer, autisme ou VIH, la technologie de hautes dilluions produit des traces d’ADN via la PCR : ces amorces PCR sont-elles relatives aux séquences ADN de certaines bactéries du sol comme herbaspirillum ou Sutterella ? Ces bactéries seraient-elles impliquées comme co-facteur dans ces nouvelles maladies chroniques que Luc nommait « infections froides » ? Dans ses géniales intuitions, Luc voyait déjà très très loin:

Voici son objectif scientifique précis (mail de juillet 2019) :

« Bonjour, je recommence ma réponse, cette sale machine ayant apparemment tout effacé. Je vous rappelais notre but principal, la neutralisation par des antiphases de signaux émis par des ADN d’agents pathogènes. »

En acceptant avec enthousiasme cette collaboration j’ignorais que j’allais partager quasi chaque jour des 3 dernières années des recherches d’un des plus grands scientifiques du siècle…

Rétrospective :

Mais pour bien comprendre comment se mit en place ce creuset d’une recherche interdisciplinaire capable de changer de paradigme, propulsons nous 34 ans en arrière: en 1988…

Que se passe-t-il donc en cette mémorable année 1988 qui va voir fusionner des disciplines aussi diverses que l’informatique, la physico-chimie et la génétique… tout cela pour peut-être un jour révolutionner la médecine ?

Luc Montagnier, lui, lutte avec l’américain Robert Gallo par articles de Science ou Nature interposés sur ce sujet brûlant honorifiquement mais surtout financièrement: qui de eux deux (et de leurs deux pays respectifs) est le « père légitime de la découverte du virus VIH? ». La bataille en paternité du virus du SIDA fut rude, voici ce que m’écrivait Luc le 5 octobre 2021 à propos du Pr Fauci qui joua un rôle majeur à la fois dans l’épopée VIH et dans l’épopée du COVID-19 :

« Quant à la fraude de Fauci dans le Sida, je demande à voir les preuves. Il y a eu une longue discussion scientifique sur le rôle du virus dans la maladie depuis pratiquement terminée du fait que la réduction de la charge virale par la trithérapie sauve les CD4 et sauve la vie du patient, qu’il soit hémophile ou homo. La différence entre le groupe Gallo/Fauci et moi est que j’ajoute au virus un activateur intracellulaire qui est un co-facteur bactérien. La fraude de Gallo a été d’utiliser mon virus en lui donnant un autre nom qui le rapprochait des rétrovirus oncogènes alors que je lui apportait la preuve qu’il s’agissait d’un lentivirus. Ou était Fauci là-dedans ? Il était le pourvoyeur de fonds du laboratoire de Gallo et j’ai appris plus tard qu’il bloquait les recherches de Ruscetti et de son associée… LM »

En cette même année 1988 alors que la prometteuse Intelligence Artificielle (I.A) ne jure chez ses chercheurs majoritaires que par l’intelligence du cerveau gauche, celle des raisonnements formels et logiques nommés « systèmes experts », je vais à contre courant avec la piste du cerveau droit en publiant mon livre « De nouvelles voies vers l’Intelligence Artificielle: pluridisciplinarité, auto-organisation et réseaux neuronaux« .

Mon réseau neuronal baptisé « chaos fractal » est hypersensible, proche de la mémoire holographique (des ondes déjà) où « le tout est la somme des parties et où chaque partie est un résumé du tout ». Cette machine est même capable de « s’ennuyer » en détectant des situations répétitives à tel point qu’un article du journal Sciences et Vie titra à son sujet « vous avez oublié de me débrancher » ! Cette machine en s’ennuyant détecterait donc une situation d’impasse et serait capable « de changer de paradigme » !

En particulier son hypersensibilité est telle qu’elle continue de reconnaître une image dont on aurait atténué la luminosité dans un rapport de 10000…

Alors lorsque en 1988 Jacques Benveniste avec « sa mémoire de l’eau » parle de hautes dilutions à 10E120, avec beaucoup d’imagination on peut relier ce phénomène avec mes petites dilutions de l’information dans un ordinateur, certes plus modestement, à 10E4 !

Comme je suis un chercheur libre (centre de recherches d’IBM), je vais donc voir Jacques Benveniste dans son labo de L’INSERM de Clamart pour discuter de cette analogie. Et nous sommes ainsi devenus amis. Qui aurait imaginé alors que ce serait Luc Montagnier qui prolongerait un jour cette découverte en l’étendant à l’ADN via cette magnifique technologie qu’est la PCR…

En 1988 encore débute dans un tout autre domaine, la génétique, ce projet pharaonique et mondial HUGO qui durera plus de 20 ans: le projet de séquençage des 3 milliards de paires de bases TCAG constituant le génome humain…

Le 6 octobre 2008, Luc Montagnier a reçu le prix Nobel de physiologie ou médecine pour la découverte, en 1983, du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) responsable du syndrome d’immunodéficience acquise (sida), dont la « découverte a été essentielle à la compréhension actuelle de la biologie de cette maladie et à son traitement antirétroviral », selon le comité Nobel.

Alan Turing : « Pourquoi y a-t-il des Nombres dans la Nature ? »

Quel rapport entre ces 3 domaines ?

Lorsque j’essaie de comprendre l’hypersensibilité de mon réseau d’IA Fractal Chaos, je découvre que le réseau positionne ses fractales dans des régions numériques voisines du nombre d’or 1.618.

Or chacun sait que le rapport de 2 nombres successifs de Fibonacci 1 1 2 3 5 8 13 21 34 55 89 144… par exemple 34 et 21 tend vers l’inaccessible limite de Phi, le Nombre d’or.

Les Nombres de Fibonacci sont omniprésents dans la Nature : coquille du Nautile, nombres de spirales des ananas, fleurs de tournesol, palmiers, artichauts ou pommes de pins…

J’ai alors cette intuition : il faut rechercher des proportions de Fibonacci entre les nucléotides TCAG de l’ADN : par exemple si 55 bases successives se répartissent en 21 TC et 34 AG, je noterai une « résonance »… toujours et encore des ondes !

« Changer de paradigme » :

Avec cette découverte j’allais abandonner l’intelligence Artificielle pour m’incruster en franc-tireur dans un monde hostile : celui des biologistes et des généticiens…

Que viennent faire les nombres et les mathématiques dans un monde aussi sérieux que la génétique ? Les chercheurs auxquels je présente ma découverte me toisent de haut. Un prix Nobel de Médecine français dirigeant le labo avec lequel je valide ma découverte me dira même gentiment « vous devez bien vous amuser avec tout ça » ! Mis à part un quarteron de biologistes à l’esprit ouvert, seul Luc Montagnier va prendre très au sérieux ma recherche.

C’est ainsi que le 22 Septembre 1993 Luc Montagnier m’organise une conférence au pavillon des rétrovirus de l’institut Pasteur afin d’y présenter mes méthodes et résultats. Dans l’article « La Musique des Gènes » publié en 1995 dans Sciences et Avenir, il écrira :

« ../… le principe de la découverte de Jean-Claude Perez m’intéresse, il est très possible que par delà les séquences, une sorte de « supracode de l’ADN » existe…/… »

C’est donc à Luc que je dois le nom de baptême de cette découverte « Le SUPRACODE de l’ADN ».

C’est vers cette même époque que Luc fonde à l’UNESCO la fondation mondiale pour le Sida, la FMPRS car, comme mon système Fractal Chaos capable de s’ennuyer, Luc a compris que la recherche sur le Sida ne trouvera une issue que si elle change de paradigme en adoptant une approche pluridisciplinaire. C’est ainsi qu’il proposera de participer à cette approche bien au-delà de la Médecine à d’illustres chercheurs comme le mathématicien René Thom ou le prix Nobel de chimie belge Ilya Prigogine…

Alors de 1993 jusqu’à 2019, bien des années passent, Luc Montagnier, fidèlement, m’aidera de ci de ça : conférences, publications d’articles et…

Et nous arrivons en 2019… Des Ondes dans l’ADN…

Notre analyse bioinformatique des PCR associées aux ondes de la mémoire de l’eau donnent des résultats encourageants.

Vers fin 2019, nous commençons à élaborer une explication théorique dans laquelle les ondes que je découvre par mon approche théorique du Master Code seraient conservées lorsqu’on substitue des hexagones fantômes d’oxygène (OH) de la trace ADN dans l’eau, aux hexagones CONH des paires des bases réelles TC ou AG. Luc Montagnier me fera la préface que voici à cet article sur le Master Code :

PRÉFACE DU PROFESSEUR LUC MONTAGNIER

Après la découverte de la structure en double hélice de l’ADN permettant à la fois le stockage stable de l’information génétique et son transfert par l’ARN messager aux organites de synthèse protéique eux-mêmes structurés par l’ARN le plus abondant dans les cellules, le ribosomal.

Cette merveille de la nature existe chez TOUS les êtres vivants du virus à l’homme et repose sur deux codes, la séquence linéaire de nucléotides et celle dérivée de codons où trois nucléotides permettent avec une certaine souplesse — codons synonymes — le choix dans les vingt acides aminés.

Mais il nous manque un troisième CODE celui régissant chez les êtres multicellulaires du rotifère à l’humain, la modulation stabilisée de l’expression génique, en un mot la différenciation des cellules à partir de la cellule unique de l’œuf fécondé.

Il est logique de penser que ce programme qui commence dès la fécondation est inscrit dans l’ADN.

Nous sommes également enclins à l’associer à des séquences d’ADN non codantes bien qu’elles contrôlent l’expression des gènes.

J’introduis ici la notion développée par Jean-Claude Pérez d’harmonie mathématique, un ordre supérieur présent chez tous les êtres vivants et dont il retrouve l’existence dans les génomes, y compris ceux des virus.

Ainsi l’évolution naturelle des variants du génome du coronavirus Covid-19 tend vers des séries de Fibonacci de plus en plus longues.

Reste à déterminer le Qui, le Comment et le Pourquoi de tels développements.

Je parierai avec mon collègue mathématicien que les ondes et les fractales jouent un rôle…

LUC MONTAGNIER

[Librement traduit par Guy Boulianne]

L’épopée du COVID-19 :

Puis en plein milieu de ces recherches prometteuses sur les ondes de l’empreinte de l’ADN par l’eau, un tsunami de nouvelles recherches nous submergea dés fin janvier 2020: l’aventure de COVID-19 qui nous occupera durant deux ans et sept articles…

Première bataille de Luc : l’origine manipulée du génome du virus SARS-CoV2

C’est au cours du mois de janvier 2020 que le génome du virus SARS-COv2 fut accessible à tous sur internet. Immédiatement, nous analysons cette séquence démontrant par les ondes du Master Code son adaptation croissante à l’hôte humain, ainsi depuis le SARS des années 2000 les ondes stationnaires allaient en croissant sur des périodes de Fibonacci passant progressivement de 13 (SARS), puis 21, puis 34 pour SARS-COv2.

Mais surtout nous soupçonnions une petite région de 1% du génome (300 bases UCAG) qui semblait exogène, donc peut être provenant d’une manipulation en laboratoire. En particulier nous écrivions : « Finally, we ask ourselves the question of a possible artificial origin of this genome, in particular because of the presence of fragments of HIV1, HIV2 and SIV retroviruses. » (Enfin, nous nous posons la question d’une éventuelle origine artificielle de ce génome, notamment du fait de la présence de fragments des rétrovirus HIV1, HIV2 et SIV.)

Comme le dira Luc dans son intervention historique du 17 avril 2020 sur Cnews « il s’agit presque d’un travail d’horloger » !

Cet article fut publié sur PREPRINTS dés début février 2020 et obtenait une bonne audience. Curieusement il fut censuré le 17 février 2020 seulement 24 heures après avoir informé de cette information qui semblait majeure le ministre français de la santé. Bien sûr cette synchronisation fut sûrement le fait du hasard. L’article fut alors publié sur le journal indien International Journal of Research – Granthaalayah.

Cette affirmation va connaître un rayonnement mondial lorsque le 17 avril 2020 Luc présente ces résultats à la télévision. Des chercheurs indiens qui démontraient la même chose virent eux aussi leur article censuré. Traités de faux et complotistes en 2020 les propos sur la nature manipulée de ce virus sont en 2022 reconnus et acceptées comme quasi certains.

Voilà ce qu’a publié « Le Point » au lendemain de l’interview de Luc :

« Une fois de plus, l’éminent professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine pour la codécouverte du virus du sida, soutient une théorie scientifique à rebrousse-poil de l’ensemble de la communauté scientifique. Avec son ami de trente ans, le mathématicien Jean-Claude Perez, il affirme que le virus Sars-CoV-2 (responsable de l’épidémie de Covid-19) a été fabriqué artificiellement en injectant des fragments du virus VIH dans un coronavirus dans un laboratoire de Wuhan…/…C’est un travail d’apprentis sorciers, poursuit le Prix Nobel de 88 ans. »

La seconde grande bataille de Luc se résumait par « ce sont les vaccins covid19 qui créent les variants ».

Déjà dans son interview tv du 19 avril 2020 s’appuyant sur un article que nous allions publier 3 mois plus tard, Luc Montagnier expliquait comment le virus avait déjà commencé à se débarrasser de certaines régions exogènes de son génome.

Cela veut dire que si on n’avait pas commencé à tester et mettre au point les vaccins en Angleterre, Afrique du sud, Brésil et Indes dés 2020, le virus se serait peut-être éteint dès 2020. Or ce n’est pas un hasard si les 4 variants qui allaient émerger proviennent respectivement de ces 4 pays (variants ALPHA, BETA, GAMMA et DELTA).

L’ultime troisième bataille de Luc : « le risque de maladie neurodégénérative fatale de Creutzfekdt-Jakob émergeant sitôt après le vaccin COVID-19 ».

Dés fin décembre 2021 nous publions avec Valére Lounnas un article démontrant que, contrairement à TOUS les variants et à tous les vaccins, seul le variant OMICRON est parvenu à se débarrasser totalement de la région Prion de la protéine Spike du virus. Or on continue de vacciner avec un vaccin construit à partir d’une séquence comportant toujours, en 2022, ce Prion.

Luc préface notre article ainsi :

Addendum — « Un grand pas vers la compréhension de la Nature. Vos travaux nous permettent d’espérer que nous allons bientôt sortir du cauchemar où nous plonge la branche cretinoide de l’Humanité ».

Aprés avoir découvert un cas de Creutzfeldt-Jakob par les médias (il s’agissait du premier cas référencé « Doyer princeps »), Luc, fidèle au serment d’Hippocrate aujourd’hui piétiné et bafoué me demande d’entrer en contact avec cette famille, se souvenant d’un traitement anti oxydant qu’il expérimenta sur des prions voici prés de 20 ans.

Ainsi, le 20 Novembre 2021, Luc m’écrit : « L’entourloupe de l’ANSM : il n’y a pas de déclaration reconnue de CJD car celles qui surviennent après la vaccination évoluent trop vite pour être une CJD sporadique. Leur petit cerveau ne peut pas ou ne veut pas imaginer qu’après 2 injections de m-RNA Pfizer qui PORTE dans sa séquence un PRION prêt à s’associer à un homologue porté par le récepteur ACE (travail des Têtz 2020), les choses peuvent aller beaucoup plus vite et en deux mois aboutir à la mort. C’est la CJD iatrogène causée par le m-RNA en excès qui va jusqu’au cerveau. LM ».

Et c’est alors que débute son ultime bataille : tenter de soigner cette maladie et rédiger avec la neurologue Claire Moret-Chalmin et moi-même cet article analysant plusieurs dizaines de cas où les premiers symptômes de cette maladie fatale surgissent dix jours sitôt la vaccination !

Luc n’aura pas connu la publication de cet article, pourtant, le 1er février 2022, à 20 heures, il me téléphonait pour en discuter, le 2 février, idem avec la neurologue : plaisantant même au téléphone, dans les deux cas, il omit malicieusement de nous préciser qu’il était déjà hospitalisé !

Luc sera donc resté chercheur jusque dans son lit d’hôpital.

Aussi, par respect pour l’importance qu’il attribuait à cet ultime article, notre devoir est aujourd’hui de le finaliser et de le publier.

Luc craignait en effet que au-delà des dizaines de décès dus à cette maladie recensés en quelques jours, cette maladie n’atteigne peut-être demain les millions d’enfants auxquels on impose cet inutile vaccin.

Voici la version peer review de cet article, « Emergence of a New Creutzfeldt-Jakob Disease: 26 Cases of the Human Version of Mad-Cow Disease, Days After a COVID-19 Injection » (Émergence d’une nouvelle maladie de Creutzfeldt-Jakob : 26 cas de la version humaine de la maladie de la vache folle, quelques jours après une injection de COVID-19) :

L’esthétique et la Recherche…

Un dimanche après-midi. Un jour de l’été 2021. Luc me téléphone… Je sors dans mon jardin car le brainstorming s’annonce long… Tandis que nous sommes partis en spéculations sur l’harmonie du génome de Sars-cov2 ou peut être sur les ondes de l’ADN, Luc soudain m’interrompt : « J’entends chanter un oiseau! ». C’est un merle de mon jardin. Alors notre discussion dérive sur l’esthétique et l’harmonie du chant des oiseaux…

Luc ne pouvait qu’aimer la musique. Parce que chez tout grand chercheur, le sens esthétique reste indissociable du processus de découverte. Il en est même certainement le moteur. Je me souviens de ce jour de 1994 où, dans son bureau de l’institut Pasteur, nous écoutions ensemble mon CD de « La première Musique des Gènes« … Luc s’interrogeait sur l’évidence de cette harmonie musicale des séquences de l’ADN de l’oncogène KI-RAS ou du génome HIV du SIDA.

Ainsi, à ces 3 qualités rares du chercheur d’exception que sont la liberté, le fait d’aller à contre courant, et la lucidité du changement de paradigme en allant piocher dans d’autres disciplines, il fallait ajouter ce sens de l’esthétique. Luc cumulait ces 4 qualités exceptionnelles… Et c’est pour cette simple raison que la mémoire de l’histoire des sciences, demain, élèvera Luc Montagnier tout en haut du podium des grand découvreurs du 20ème siècle…

Et j’aurai eu l’immense privilège de vivre et de chaque jour partager durant prés de 3 ans ses belles et géniales intuitions.

Des regrets ? Bien sûr ! Luc s’en est allé trop vite… Bien sûr au-delà de nos passions partagées pour la recherche, j’eus le temps d’apprécier son grand humanisme, ses interrogations sur le mystère de la vie: Dieu ou bien grand architecte ou simplement auto-organisation ?

Une de ses plus qrandes questions à laquelle il n’aura pas eu le temps de trouver une réponse est celle du MYSTERE DE LA DIFFERENCIATION DES CELLULES : Il me relançait souvent sur cette question centrale : en 2021 Luc m’écrit : « je ne sais pas si vous avez reçu ma question sur Pékin mais je continue : pour trouver les codes de différenciation nous supposons que les virus en possèdent déjà quelques-uns qu’ils ont volé aux cellules qu’ils infectent. C’est donc le cas de notre Corona. Deux possibilités : ARN ou peptides. Donc rechercher dans le génome RNA des séquences codantes ou non codantes visant à modifier l’habillage extérieur du virion (sa « différenciation ») par exemple les spicules….ou leur nombre, la construction icosaèdre… ».

Si Luc admirait ces lois du vivant, il était plus pessimiste sur les humains et le devenir de l’humanité. Mais je n’aurai pas eu le temps de découvrir et de partager son fin sens de l’humour, voire même de l’auto-dérision…

Carole Lavoie
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« J'ignore quelles vitamines vous avalez ou s'il y a une énergie bienveillante qui vous alimente mais vous êtes à vous seul une salle de presse! »

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