J’ai récemment fait l’acquisition du volume No 2 provenant de l’année 1959 de la fameuse Encyclopedia Americana, qui couvre les mot et nom « Annuity » (une série de paiements effectués à intervalles égaux) et « Azzubeydi » (Abū Bakr az-Zubaydī, grammairien et lexicographe arabe, né à Séville). J’ai encore une fois beaucoup de chance car cet exemplaire de l’encyclopédie américaine est extrêmement rare et difficile à dénicher, surtout à un prix raisonnable. Pour ma part, je l’ai obtenu pour seulement 16 $ (± 11 €) grâce à la plus grande boutique indépendante de livres d’occasion en ligne au monde, ThriftBooks. Au départ je voulais obtenir le volume No 2 de l’année 1958, ce que j’avais commandé, mais on m’a fait parvenir celui de l’année 1959. Mais ce n’est pas bien grave puisque cela ne change absolument rien au propos de cet article.
L’Encyclopedia Americana est une encyclopédie générale rédigée en anglais américain. Il s’agit de la première grande encyclopédie en plusieurs volumes publiée aux États-Unis. Avec Collier’s Encyclopedia et Encyclopædia Britannica, Encyclopedia Americana est devenue l’une des trois grandes encyclopédies générales de langue anglaise ; les trois sont parfois appelées collectivement « les ABC ». Depuis l’acquisition de Grolier en 2000, l’encyclopédie est produite par Scholastic. Mais pourquoi donc ai-je acheté plus particulièrement le volume No 2 de l’année 1959 de cette encyclopédie ? Eh bien tout simplement pour cette citation que nous retrouvons à la page 14 et qui a piqué ma curiosité :

« Quatre avions américains quittèrent la Nouvelle-Zélande pour McMurdo Sound le 20 décembre 1955 et effectuèrent des vols d’exploration au-dessus de parties inconnues du continent jusqu’au 18 janvier 1956, date à laquelle ils retournèrent en Nouvelle-Zélande. Ces vols ont montré que les régions intérieures étaient dépourvues de caractéristiques, avec un dôme de 13 000 pieds de haut à environ 80° de latitude sud et 90° de longitude est. De nouvelles chaînes de montagnes ont été localisées à environ 85° de latitude Sud et 50° de longitude Ouest, réaffirmant l’observation faite par Ronne en 1947 selon laquelle le continent antarctique est une seule unité. »
Plusieurs internautes assimilèrent ce dôme à la voûte céleste, c’est-à-dire au firmament tel qu’il est mentionné au chapitre 1:7 du Livre de la Genèse. Évidemment, ceci est démenti par les détracteurs et les vérificateurs de faits. Rempli de contradictions, le vérificateur de faits Dean Miller écrit sur son site internet Lead Stories : « Non, ce n’est pas vrai : Le « dôme » mentionné dans un article de l’encyclopédie de 1958 décrit un dôme de glace naturel et non le firmament, un dôme supposé englober la planète et dont les théoriciens du complot pensent qu’il soutient l’idée d’une Terre plate. » Il écrit plus loin sans apporter aucune source ni référence : « La Bibliothèque du Congrès a déterminé que ce passage ne se trouve pas dans l’édition de 1958, mais à la page 14 de l’édition de 1960. » Or, ceci est un mensonge pur et simple, puisque plusieurs vidéos sur internet démontrent très clairement, et sans aucun montage, que cette citation provient du volume No 2 de l’année 1958 de l’Encyclopedia Americana.
À ce jour, il n’existe que deux documents PDF de cet encyclopédie qui soient hébergés sur internet, soit un premier PDF de l’édition de 1958 qui démontrerait que la citation ne se trouve pas dans ce volume, et un second PDF de l’édition de 1960 qui démontrerait au contraire que la citation s’y trouve. Or, il s’avère que ces deux documents ont été téléversés par Dean Miller lui-même et que ceux-ci sont tronqués. Il est donc clair que nous assistons ici à une opération de manipulation, sinon pourquoi ne pas publier les encylopédies dans leur intégrité. Il s’agit donc d’un collage trompeur de la part de ce « vérificateur de faits ». Vous comprenez maintenant pourquoi j’ai voulu me procurer le volume No 2 de l’année 1958 (1959) de l’Encyclopedia Americana… pour vérifier par moi-même la véracité des faits. Je soupçonne désormais,— et avec raison —, que la citation concernant ce dôme a été retirée de l’édition de 1960.
Le directeur de l’Institute for Scientific Freedom (ISF) à Copenhagen (Institut pour la liberté scientifique), DrMedSci Peter C Gøtzsche, met en doute l’honnêteté intellectuelle de Dean Miller concernant une critique que ce dernier a fait sur son site internet Lead Stories au sujet de l’article du journaliste d’investigation Paul Thacker, intitulé : « Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai de vaccin de Pfizer » (BMJ 2021;375:n2635). Dr Gøtzsche écrit : « La seule chose honorable à faire aurait été pour Miller d’admettre qu’il avait tort et de retirer le signalement de l’article de Thacker. Au lieu de cela, il a démontré au monde entier que lui et Lead Stories ne sont pas dignes de confiance. » Il poursuit : « Les médias sociaux et leurs vérificateurs de faits semblent constituer une menace pour nos démocraties, nos sociétés ouvertes et le libre débat scientifique. Il y avait un ministère de la vérité dans le roman d’Orwell, 1984. Mais aujourd’hui, ce n’est pas seulement Big Brother qui vous surveille, c’est presque tout le monde qui surveille tout le monde, et Big Brother n’est pas l’État mais Big Tech, qui ne peut pas être renversé par une révolution. » (The British Medical Journal, 5 janvier 2022)
Le journaliste et professeur au Collegiate Network, Benjamin Wetmore écrit dans un article publié sur le site Web de TGP FactCheck : « Dean Miller danse dans tous les sens avec des déclarations différentes. (…) Oui, c’est ici que Dean Miller se démystifie lui-même. C’est un crétin à ce point. » Wetmore va encore plus loin en accusant Miller d’être « un menteur chronique et un journaliste frauduleux. » Lorsque le professeur de politique scientifique et technologique, Jack Stilgoe, demande à Dean Miller si Lead Stories pense que l’on peut faire confiance au public pour gérer l’incertitude, il répond : « Ne soyez pas condescendant avec le public. Il peut s’en sortir. Ils peuvent se débrouiller avec tout ça et décider ce qu’ils veulent croire. » (Issues in Science and Technology, Vol. XXXIX, No. 3, Spring 2023) Nous suivrons donc son judicieux conseil en nous basant sur notre propre jugement et notre capacité d’analyse.
VEUILLEZ NOTER que je ne remets pas du tout en cause l’existence des dômes en Antarctique, qui sont une réalité scientifique. Le long du haut plateau antarctique se trouvent des sommets enneigés plats appelés « dômes », qui sont une caractéristique de la géologie structurale constituée d’anticlinaux symétriques qui se croisent à leurs sommets respectifs. Le dôme A ou dôme Argus est le dôme de glace le plus élevé du plateau antarctique, situé à 1 200 km (750 mi) à l’intérieur des terres. Répertorié à 80°22′S 77°21′E, on pense que c’est l’endroit naturel le plus froid sur Terre, avec des températures estimées à -90 à -98 ° C (-130 à -144 ° F). C’est la plus haute caractéristique de glace de l’Antarctique, consistant en un dôme de glace ou une éminence à 4 093 m (13 428 pieds) au-dessus du niveau de la mer. Il est situé près du centre de l’Antarctique oriental, à peu près à mi-chemin entre l’énorme tête du glacier Lambert et le pôle sud géographique, dans la revendication australienne.
Bien que le dôme Argus soit le lieu le plus élevé de l’Antarctique oriental, il existe plusieurs autres dômes dans la région, notamment les dômes B, C (Dome Circe) et F (Dome Fuji). Voici à quoi ressemble un dôme en Antarctique, par exemple le Law Dome, un grand dôme de glace qui s’élève à 1 395 mètres directement au sud du cap Poinsett. L’élément a été grossièrement cartographié par le United States Geological Survey à partir de photographies aériennes prises par l’US Navy Operation Highjump, 1946–47, et a fait l’objet d’études glaciologiques et géophysiques intensives par les expéditions nationales australiennes de recherche antarctique entre 1962 et 1965. Il a été nommé par le Comité australien des noms antarctiques pour Phillip Law, directeur de la division antarctique australienne de 1949 à 1966. Le dôme est délimité par le glacier Totten à l’est et le glacier Vanderford à l’ouest. Le dôme lui-même abrite le glacier Williamson et plusieurs autres glaciers beaucoup plus petits sur sa face nord.
L’entrée de l’Encyclopedia Americana décrit les premiers vols longue distance vers l’Antarctique, qui ont embarqué de Nouvelle-Zélande le 20 décembre 1955 et lancé la mission de la marine américaine, Operation Deep Freeze, pour fournir un soutien aérien dans l’Antarctique entre 1955 et 1959. Suite à l’opération Deep Freeze, le Traité sur l’Antarctique a été signé en 1959 par 12 pays dont les scientifiques avaient travaillé dans la région en 1957-58. À ce jour, il y a 54 parties au traité. Il a établi que l’Antarctique ne devait être utilisé qu’à des fins pacifiques et que la recherche scientifique devait se poursuivre indéfiniment avec des résultats partagés ouvertement et librement.
L’objectif de cet article n’est certainement pas de remettre en cause les faits scientifiques, mais plutôt de savoir si nous pouvons réellement faire confiance aux gouvernements et aux organisations supranationales telles que l’UE, l’OTAN, l’ONU, l’OMS, la NASA et même Google Earth pour nous faire connaître toute la vérité. Le but est aussi d’offrir un complément d’information sur le narratif officiel.

➽ La terre plane et le dôme dans les textes sacrés
Pour les tenants de la terre plane, celle-ci est surmontée d’un dôme qui nous protège des eaux d’en haut. Il s’agit d’une barrière physique indestructible sur laquelle est projetée la voute céleste. Selon certains théoriciens, les implications de la présence de ce dôme indestructible sont multiples : Nous ne sommes jamais allé sur la Lune. Tous les programmes spatiaux sont de gigantesques arnaques publiques ou privées puisqu’il est inutile de tirer des fusées vers l’espace. Elles ne passeront pas. Évidemment, dans le même ordre d’idée, la Station spatiale internationale (ISS) n’existe pas.
L’ancien professeur de Physique « en Classe prépa », Benoit Hébert[1], écrivait le 25 mars 2010 sur le site web de Science & Foi : « Nous prétendons que pour les auteurs bibliques : la terre est plate, elle est inébranlable, elle a des fondations : les piliers de la terre, elle est entourée par les eaux, elle est circulaire ou parfois carrées (les 4 coins du monde), elle a des extrémités… Cette compréhension du monde n’a pas été modifiée par le Saint Esprit dans le processus d’inspiration. » Il pose alors cette question : « Pourquoi est-il important pour [les chrétiens] que la description du monde faite par les auteurs inspirés correspondent aux découvertes de la science moderne (ce qu’on appelle le concordisme scientifique) ? Je pense qu’ils ressentent le besoin que l’inspiration de la Bible soit prouvée rationnellement. » Pour sa part, le Docteur en théologie, Noël Higel. écrit sur son site de formation théologique :
« Le Dieu que nous confessons dans le Credo habite le ciel. Une telle profession de foi est-elle encore recevable à une époque où l’homme vole dans le ciel. Aucun astronaute n’a vu Dieu. Mais pour le peuple hébreu, du temps de la Bible, le ciel s’opposait à la Terre dans le sens ou celui-ci lui était inaccessible. Dans la topologie biblique, il y a trois domaines essentiels : 1) la terre qui est le monde matériel où l’homme vit; 2) le shéol où l’homme séjourne après sa mort; 3) le ciel qui est le domaine de l’invisible, de l’inatteignable, du spirituel, voir celui de la manifestation de la puissance divine (théophanies) à travers l’orage, le vent ou la tempête. Ainsi, affirmer que Dieu est dans le Ciel, c’est avant tout dire qu’il n’est pas une réalité matérielle, qu’il est purement spirituel. (…) Cette affirmation garde toute sa force aujourd’hui, pour dire que Dieu est précisément ce qui n’est pas sur terre, il est par définition l’immatériel, l’invisible. Dieu, c’est ce qui échappe à la physique, il est ce qui dépasse la matière. Dire que le Dieu dans lequel nous croyons et que nous prions est dans le Ciel, c’est donc une affirmation fondamentale anti-matérialiste. »
Le révérend Dr Nick Moore, doyen académique et conférencier en Nouveau Testament à Cranmer Hall, écrit sur le site du théologien Ian Paul : « Notre attention dans Ap 4-5 est justement attirée par le trône (un motif central dans l’Apocalypse), mais cela ne doit pas nous dérouter : pour Dieu, son trône royal dans les cieux est aussi le centre du culte – et le tabernacle et le temple reflétait cela dans leur chambre la plus intime ou saint des saints, avec le trône de Dieu (ou marchepied) représenté par l’arche de l’alliance. » — Il y a encore devant le trône comme une mer de verre, semblable à du cristal. (Apocalypse 4:6)
« Et le temple de Dieu dans le ciel fut ouvert, et l’arche de son alliance apparut dans son temple. Et il y eut des éclairs, des voix, des tonnerres, un tremblement de terre, et une forte grêle » (Apocalypse 11:19)
Plusieurs passages de la Bible font état de la voûte des cieux et des colonnes qui la soutiennent sur la fondation de la terre, dont l’un des plus importants est le chapitre 38 du Livre de Job dans lequel on peut lire : « Où étais-tu quand j’ai fondé la terre ? Déclare-le, puisque tu es si intelligent ! Qui a fixé ses dimensions? Tu le sais, n’est-ce pas ? Ou qui a déplié le ruban à mesurer sur elle ? Sur quoi ses bases reposent-elles ? Ou qui en a posé la pierre angulaire alors que les étoiles du matin éclataient ensemble en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? Qui a bloqué la mer avec des portes quand, dans son jaillissement, elle est sortie du ventre maternel, quand j’ai fait des nuages son habit et de l’obscurité ses langes, quand je lui ai fixé des limites et imposé verrou et portes, quand j’ai dit : ‘Tu pourras venir jusqu’ici, tu n’iras pas plus loin. Ici s’arrêtera l’orgueil de tes vagues’ ? »
▪ 1. Fondateur et président de l’association Science & Foi, Benoit Hébert est décédé le 1er février 2020.
« Dieu dit : Qu’il y ait un firmament entre les eaux, et qu’il sépare les eaux d’avec les eaux. Et Dieu fit le firmament, et il sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament d’avec les eaux qui sont au-dessus du firmament. Et cela fut ainsi. Dieu appela le firmament Ciel. Et il y eut un soir et il y eut un matin ; ce fut le second jour. » (Genèse 1:6-8)
« De là j’allai jusqu’aux extrémités de la terre, et j’y vis de grandes bêtes, différentes les unes des autres, et aussi des oiseaux différents d’aspect, de beauté, et de ramage ; chacun différait de l’autre. A l’est de ces bêtes, je vis les extrémités de la terre où repose le ciel, et les portes du ciel étaient ouvertes. » (Livre d’Hénoch 33:1-2)
« Il secoue la terre sur sa base, Et ses colonnes sont ébranlées. » (Job 9:6)
« Devant Dieu les ombres tremblent au-dessous des eaux et de leurs habitants; Devant lui le séjour des morts est nu, l’abîme n’a point de voile. Il étend le septentrion sur le vide, Il suspend la terre sur le néant. Il renferme les eaux dans ses nuages, et les nuages n’éclatent pas sous leur poids. Il couvre la face de son trône, Il répand sur lui sa nuée. Il a tracé un cercle à la surface des eaux, comme limite entre la lumière et les ténèbres. Les colonnes du ciel s’ébranlent, et s’étonnent à sa menace. » (Job 26:5-11)
« Peux-tu comme lui étendre les cieux, Aussi solides qu’un miroir de fonte? » (Job 37:18)
« Il a établi la terre sur ses fondements, Elle ne sera jamais ébranlée. Tu l’avais couverte de l’abîme comme d’un vêtement, Les eaux s’arrêtaient sur les montagnes. » (Psaume 104:5-6)
« Ne l’avez-vous pas appris? Ne vous l’a-t-on pas fait connaître dès le commencement? N’avez-vous jamais réfléchi à la fondation de la terre? C’est lui qui est assis au-dessus du cercle de la terre, Et ceux qui l’habitent sont comme des sauterelles; Il étend les cieux comme une étoffe légère, Il les déploie comme une tente, pour en faire sa demeure. » (Ésaïe 40:21-22)
« Le ciel se retira comme un livre qu’on roule; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places. » (Apocalypse 6:14)

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« Merci de continuer à chercher la vérité. Moi je n'ai pas ton énergie, ta force, puis je pleure bien souvent devant notre impuissance. »
VEUILLEZ NOTER : Les commentaires des lecteurs et lectrices peuvent être approuvés ou non, à ma seule discrétion et sans préavis. Merci de votre compréhension. — Guy Boulianne
En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs AuthorsDen et de la Nonfiction Authors Association (NFAA) aux États-Unis. Il adhère à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).






[…] moi-même « osé » écrire trois mois auparavant au sujet de la terre plate et du firmament (réservé aux membres de mon Club VIP). Comme je l’écrivais dans mon précédent article concernant Patrick Scrivener, « celles […]
suite 3 et fin commentaire dôme antartic, article exceptionnel, merci M Boulianne.
suite 2 commentaire dôme antartic
N’arrivant pas à poster mon commentaire, je l’ai mis en pdf, j’espere qu’il pourra être ouvert par ceux qui le souhaitent.
Bonjour,
N’est-il plus possible de poster un commentaire? Une bulle affiche contenu protégé…
Vous êtes membre du Club VIP, donc vous avez accès à l’article et donc vous pouvez publier des commentaires (la preuve est que je viens d’approuver celui-ci). Par contre, le contenu de mes articles VIP est protégé. Personne ne peut copier le contenu. Merci.
Très intéressant ton article Guy! Je n’ai jamais prit le concept de la terre plate au sérieux jusqu’a maintenant, mais en te lisant c’est assez solide pour se tenir debout. Et le fait que tu ne sois pas archané, voire agressivement dogmatique, donne plus de crédit à ton exposé. Merci de ton travail de pro Guy, comme d’habitude mais là je suis ébloui.
Bonjour M Boulianne, je n’ai pas encore tout lu ni visionné, c’est une rédaction remarquable, bien documentée, une recherche et un travail précis, j’apprécie beaucoup.
Je ne comprends pas que l’on puisse parler de dôme, s’il s’agirait de la voûte céleste, pour cela il aurait fallu avoir une vue d’ensemble, ou bien en voir la partie visible qui atteindrait le sol, la glace en l’occurrence, c’est-à-dire une partie gelée, tel une vague immense, épaisse ou autre. Sinon la voûte céleste nous paraît invisible. Étrange, je n’ai trouvé aucune photo des dômes mentionnés tel l’Argus, ce qui me paraît à notre époque inconcevable vu la technologie soit disant à disposition.
Soit dit en passant, je pense que la terre est plane, « je pense » puisque je n’en ai pas la preuve, et ne crois pas qu’il y a des satellites en orbites, tout au plus quelques ballons d’observation dont on a vu des lancements et débris sur YT (véridiques ou pas).
Il devrait donc y avoir des images prises pendant les survols dans les années cinquante, soit cela a été fait et ils ne sont pas public, soit il y a autre chose qu’ils tiennent caché voir plus. Je ne nie pas la voûte céleste, c’est fortement probable, seulement ce genre de phrases sans plus de preuves laisse la porte ouverte à des spéculations. Je n’ai aucune confiance dans les documents officiels, dont je pense que beaucoup sont des faux, qui servent le plan diabolique, en mélangeant le vrai et le faux pour que cela paraisse vrai et sérieux. Vu la malveillance, le satanisme etc. (je ne crois pas en un satan biblique) il est fort probable qu’un Être Suprême, Créateur… existe, et qu’il veuille éradiquer toute connaissance à ce sujet.
Je sais par quelques expériences que la vérité se suffit à elle-même, reste à nous de la laisser se manifester.
Merci.
Lisant petit à petit, j’arrive à la vidéo des deux personnes en apesanteur dans la station spatiale. Rien qu’en voyant la photo de la vidéo, sur laquelle apparaissent ces deux personnes, j’ai compris que ces deux là ne sont PAS en apesanteur. Je ne peux pas l’expliquer en détail (à part la position identique semi-assise et quasiment figée, qui n’a aucun sens pour des personnes soi-disant flottant en apesanteur), c’est juste que ça m’a instantanément « sauté aux yeux ». C’est comme le fameux David Grush qu’on laisse parler devant des sénateurs USA et autres de rétro-ingénierie secrète d’ufos : en voyant sa photo tirée d’une interview, ça m’a immédiatement sauté aux yeux qu’il mentait (et probablement sur ordre d’autorités), et peu de temps après je vois une longue vidéo youtube dans laquelle trois experts en déchiffrage de comportement language non-verbal ont été unanime qu’il ment.
Merci M. Boulianne pour cet article ! Ce qui étonne c’est l’erreur de Dean Miller ? Pourquoi refuser de reconnaître l’évidence ? Je ne peux que demander à Dieu de nous donner la vertu de l’humilité, surtout quand nous avons honte de nos erreurs.