La présentation de George Hunt, donnée ci-dessous, montre que bon nombre des initiatives mondiales prises au nom de la « durabilité » constituent une nouvelle interprétation du communisme, une nouvelle fausse idéologie de libération. Cette présentation montre clairement la puissance mondiale d’une coterie financière « anglo-américaine » (lire – dominée par Rothschild). Ici, les gens comme vous et moi sont appelés « la chair à canon qui peuple malheureusement la terre ». Et un système bancaire mis en place par et pour les Rothschild se révèle être la pièce maîtresse du nouveau mode d’organisation que les mesures de « durabilité » vont créer. Les participants (comme Maurice Strong) n’hésitent pas à reconnaître la domination de cette famille dans les affaires mondiales. Strong déclare qu’il n’y a « pas de meilleure personne » pour diriger ce projet qu’Edmond de Rothschild, et qu’il « incarne dans sa propre vie cette synthèse positive entre l’environnement et la conservation d’une part et l’économie d’autre part ». En d’autres termes, Rothschild est le leader à la fois de la finance internationale et de ce mouvement pseudo-écologiste qui repose sur deux piliers : l’affirmation d’un réchauffement climatique anthropique et l’affirmation d’une surpopulation désastreuse.
Le 22 septembre 1991, neuf mois avant la tenue du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro, une audience publique des Nations Unies dans le Midwest sur l’environnement et le développement s’est tenue à Des Moines, Iowa. Un document issu de cette audition soulignait la nécessité urgente de réduire la population mondiale. « La réduction immédiate de la population mondiale, selon la recommandation du Fonds Draper au milieu des années 1970, doit être immédiatement appliquée », indique le document. Le document indiquait que l’une des politiques à mettre en œuvre était que « toutes les nations [auront] des quotas de réduction de population sur une base annuelle, qui seront appliqués par le Conseil de sécurité [de l’ONU] au moyen d’un embargo sélectif ou total sur le crédit, les articles de commerce, y compris de la nourriture et des médicaments, ou par la force militaire, lorsque cela est nécessaire. »
VEUILLEZ ADHÉRER AU CLUB VIP POUR LIRE LA SUITE DE L’ARTICLE ….
En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).