Alertes d’essai au public diffusées le 8 mai 2024 dans l’ensemble du Canada, sauf au Québec — Montréal procédera à un test de sirènes d’alerte

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Avant de débuter la lecture de cet article, veuillez noter que je ne l’écris pas sous l’effet d’une crise de paranoïa, ni pour créer une nouvelle théorie du complot, ni même par naïveté ou par ignorance. J’écris cet article car je pose des questions, tout simplement. Car,— vous le savez —, tout être intelligent est en droit de se poser des questions, même celles qui peuvent paraître les plus ridicules. Nous savons que nous ne pouvons plus faire confiance en nos gouvernements. La plupart des gouvernements occidentaux travaillent actuellement contre leurs propres populations en adoptant des lois liberticides qui vont à l’encontre de leurs droits les plus fondamentaux. Réfléchir et se poser des questions est donc un réflexe naturel pour ceux qui souhaitent demeurer lucides face aux mauvaises intentions et aux pires exactions de nos ennemis temporels. En cette époque troublée, cela devient une nécessité pour affronter le pire qui pourrait advenir.

Or, il y a quelques jours, nous avons reçu un « avis important » concernant un test de sirène d’alerte qui aura lieu dans notre secteur, à Montréal, mercredi le 8 mai prochain entre 13h et 15h. La sirène d’alerte sera démarrée pendant trois minutes dans le cas où l’entreprise Indorama PTA Montréal relâcherait de l’acide acétique dans l’air. L’avis indique que « le test de sirène est un essai technique qui permet de vérifier le bon fonctionnement des équipements, ainsi que l’état de préparation de l’ensemble des intervenants en mesure d’urgence. » Évidemment, je n’ai pas vraiment besoin que quelqu’un me dise que cela est « très commun dans les milieux industriels » pour que je le sache. Je ne suis tout de même pas né de la dernière pluie. En fait, la ville de Montréal procède à un test annuel de sirènes d’alerte, mais habituellement celui-ci est réalisé à l’automne plutôt qu’au printemps. Ce qui n’est pas le cas ici.

Ce qui m’interpella est que la ville de Montréal a décidé de procéder à un test de sirènes d’alerte exactement le même jour, et pratiquement à la même heure, où des alertes d’essai au public seront diffusées à la télévision, à la radio ainsi que sur les appareils mobiles compatibles et connectés à un réseau sans fil LTE (évolution à long terme) ou à un réseau sans fil plus récent (5G) dans toutes les provinces et tous les territoires du Canada. Bien que la province de Québec soit exclue de ces alertes d’essai pancanadiennes, la ville de Montréal a tout de même décidé d’y participer à sa manière. Et il ne faut pas croire que cela concerne uniquement l’entreprise Indorama PTA Montréal puisque pas moins de 10 usines participeront à ce test de sirènes le 8 mai prochain sur le territoire de l’île de Montréal.

J’ai donc communiqué cette information sur les réseaux sociaux afin de sonder le public et obtenir diverses opinions. Quoi qu’on en dise ou qu’on en pense, ceci soulève quelques inquiétudes chez certains internautes, ou du moins des interrogations. Chloé Desbois écrit sur Twitter/X : « Étrange cet accord. Toutes les sirènes en même temps dans la plupart des provinces… comme une seule trompette… ». Pour Marie Tremblay ceci « n’est pas rassurant… », tandis que Michel Villeneuve s’exclame : « On nous prépare pour leur prochaine attaque ». Se rappelant probablement les mauvais souvenirs de la « crise de coronavirus », Pierre Longpré affirme qu’il s’agit d’un essai pour le prochain confinement. « Ils vont essayer de faire peur encore et on sait qu’ils préparent une prochaine plandémie. Alors ils préparent sûrement le terrain », écrit-il. Carole Faucher ajoute à cela : « Ils sont tu assez fins. Protecteurs comme c’est pas possible. Ils avaient fait un test pandémique aussi il n’y a pas si longtemps. Ouais, c’est peut-être un avant-goût de ce qui s’en vient ? » Pour sa part, Mr. Richard rejoint ce que j’ai écrit ci-haut : « Bizarre que dans la liste des tests par province, il n’y pas de test en Mai 2024, mais la ville va en faire un !!!! »

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Test de sirènes d'alerte, mercredi le 8 mai 2024 dans l'ensemble du Canada
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Il faut comprendre que les gens sont marqués par les événements malheureux qui se sont déroulés pendant et après la « crise de coronavirus ». Ces événements furent provoqués par des gouvernements autoritaires et imbus de leur pouvoir : inoculation et mises à pied forcées, dénigrement, persécution et diffamation, faillites et inflation indécente, blessures occasionnées par l’injection covid allant jusqu’au décès, etc. Le gouvernement du Québec persiste et signe avec le Projet de loi Nº 50 qui édictera l’actuelle Loi sur la sécurité civile du Québec « visant à favoriser la résilience aux sinistres et modifiant diverses dispositions relatives notamment aux centres de communications d’urgence et à la protection contre les incendies de forêt ». Comme je l’écrivais, « malgré son apparence trompeuse, ce projet de loi ne concerne pas que l’aménagement et le développement durables du territoire, l’environnement, la lutte contre les changements climatiques et l’économie. Demeurant très discret à ce sujet, il concerne aussi ce qui devrait nous préoccuper le plus par les temps qui courent, c’est-à-dire les pandémies. Volontairement bâclé, ce projet de loi laisse la porte grande ouverte à toutes sortes d’abus et d’excès pour des individus, des municipalités et un gouvernement imbus de pouvoir et de domination sur les populations. »

Le Projet de loi Nº 50 s’aligne parfaitement sur le Traité sur les pandémies de l’OMS que 194 pays s’apprêtent à signer au mois de mai prochain. Par ce traité, les chefs d’État remettront la souveraineté de leurs nations entre les mains d’un gouvernement mondial, soumettant ainsi tous les peuples à une dictature sans précédent, incluant les fermetures de frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus (englobant les exigences relatives à l’injection de vaccins ou d’autres produits pharmaceutiques). Mais le Traité sur les pandémies ratisse plus large que son titre ne le suggère. Il inclut aussi des facteurs environnementaux, climatiques, socio-économiques et anthropiques, ce qui est extrêmement grave.

En effet, le secrétaire général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, peut justifier un état d’urgence sanitaire mondial avec, par exemple, une grippe humaine basée sur un nouveau sous-type ou des infections dont la transmission interhumaine ne peut être exclue ou même d’origine environnementale : « Les Parties reconnaissent que des facteurs environnementaux, climatiques, socio-économiques et anthropiques augmentent le risque de pandémie […] » (Accord sur la pandémie 4-5)

Imaginez maintenant tout ceci entre de mauvaises mains. Entre autres problématiques, le Projet de loi Nº 50 permet à une municipalité locale de déclarer l’état d’urgence local sur son territoire. Il est écrit à l’article 11 qu’« une municipalité locale peut, par règlement, assujettir une personne dont les biens qui sont situés sur son territoire ou dont les activités qui y sont exercées peuvent être à l’origine d’un sinistre à l’obligation prévue au premier alinéa de l’article 11. » Chaque municipalité locale est chargée de veiller à l’application sur son territoire du règlement pris en vertu de l’article 11. Aux fins d’en vérifier l’application ainsi que celle d’un règlement pris en vertu de l’article 12, elle peut désigner toute personne pour agir comme inspecteur. Cet inspecteur peut, dans l’exercice de ses fonctions :

1° pénétrer, à toute heure raisonnable, dans un lieu où il a un motif raisonnable de croire qu’il s’y trouve un bien ou qu’il y est exercé une activité sous la responsabilité d’une personne visée par un règlement pris en vertu de l’article 11 ou de l’article 12 et en faire l’inspection;

2° prendre des photographies des biens ou des activités de cette personne

Le gouvernement du Québec remet donc aux maires et à leurs représentants des pouvoirs normalement dévolus aux forces de l’ordre. Les municipalités pourront désigner toute personne pour agir comme inspecteur et celui-ci pourra pénétrer dans les domiciles, et ceci sans aucun mandat.

Il faut maintenant se rappeler qui est vraiment la mairesse de Montréal, Valérie Plante. Elle n’est pas ce que l’on pense d’elle généralement. Malgré son apparente insignifiance, Plante joue un rôle déterminant au sein du “Conseil international pour les initiatives écologiques locales” et de l’élite mondialiste. Le 21 août 2019, elle fut nommée ambassadrice mondiale ICLEI pour la biodiversité locale. Un mois plus tard, elle participa au Sommet Action Climat organisé par les Nations Unies, aux côtés du président du Chili Sebastián Piñera Echenique, du président de la Finlande Sauli Niinistö, et de l’ancien maire de New York et autre hystérique climatique Michael Bloomberg. Lors de cet événement, elle eut l’outrecuidance de se moquer du président des États-Unis, Donald Trump, alors que celui-ci était dans la salle !

Un an auparavant, lors du 10e Congrès mondial ICLEI qui eut lieu au Palais des congrès de Montréal du 19 au 22 juin 2018, réunissant 1000 leaders et experts en développement durable provenant de plus de 130 villes de 52 pays, la mairesse socialiste Valérie Plante dit : « Les villes sont aux premières loges pour relever les enjeux du développement durable. Le congrès qui s’ouvre aujourd’hui nous permettra d’explorer de nouvelles avenues, d’élargir les champs d’intervention du développement durable et de favoriser son rayonnement ». Cette dernière en a profité pour ratifier la Déclaration d’Edmonton, présentée par le maire Don Iveson et le “Global Covenant of Mayors for Climate and Energy”. J’avais écrit dans un article publié le 8 janvier 2020 : « Le parti politique municipal Projet Montréal dirigé par Valérie Plante se consacre fermement à l’implantation d’une infrastructure communiste sur le territoire de Montréal, une ville soi-disant “intelligente”, qui aura pour but de prendre le contrôle sur tous les aspects de la vie de ses habitants, par le biais de ce qu’ils appellent le “développement durable”. »

Il est donc justifié de nous poser des questions et d’avoir des doutes sur les véritables intentions de celles et ceux qui prétendent nous diriger. Ces derniers utiliseront les facteurs environnementaux, climatiques, socio-économiques et anthropiques pour provoquer une crise pandémique permanente, ce qui leur permettra de prendre le contrôle total sur tous les aspects de nos vies.

Un jour, les sirènes d’alerte retentiront partout, mais ce jour-là, ce ne sera pas un test !

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Carole Lavoie
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