« Behind the Green Mask: UN Agenda 21 ». Ce livre nous révèle à quel point les mondialistes ont infiltré tous les niveaux de gouvernement

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Le 17 juin dernier, j’ai publié un article concernant l’écoquartier que les élus locaux veulent implanter aux Îles de la Madeleine, au Québec. L’écoquartier, indifféremment nommée “ville intelligente”, “ville résiliente”, “microréseau intelligent” ou “ville 15 minutes” par ses différents promoteurs, est un concept qui émane directement de la Fondation Rockefeller. J’avais profité de cet article pour y intégrer une vidéo de Rosa Koire, une auteure et évaluatrice immobilière commerciale médico-légale qui a passé une grande partie de sa vie à dénoncer et à exposer l’Agenda 21 et l’Agenda 2030 des Nations Unies, avant de décéder le 30 mai 2021 d’un cancer du poumon. Or, j’ai récemment acheté l’édition originale de son livre intitulé “Behind the Green Mask: U.N. Agenda 21” (Derrière le masque vert : l’Agenda 21 de l’ONU), publié en 2011 par The Post Sustainability Institute Press. L’auteur et critique littéraire, Ray Foy, écrit de cet ouvrage : « Le “masque vert” est le faux visage du mouvement écologiste détourné. Les élites dirigeantes du monde derrière les Nations Unies ont détourné le mouvement. Ce qu’elles masquent, c’est un ensemble d’initiatives et de projets visant à façonner le monde à l’image souhaitée par les élites. Ces projets et initiatives sont exprimés pour la consommation publique dans le projet de développement durable Agenda 21 des Nations Unies. Dans son livre, Mme Koire nous explique ce qu’est l’Agenda 21 et quelles sont ses implications pour l’humanité. »

Pour sa part, le professeur Sean Reeves écrit sur le réseau Goodreads : « Ce livre révèle à quel point les mondialistes ont infiltré tous les niveaux de gouvernement, des gouvernements nationaux aux conseils municipaux locaux, dans la poursuite des objectifs de l’Agenda 21 de l’ONU. Si vous n’avez pas encore pris conscience que votre avenir est détourné par une élite psychopathe, ce livre pourrait vous réveiller. »

L’organisation non gouvernementale internationale « Les collectivités locales pour le développement durable » (ICLEI, à l’origine « Conseil international des initiatives environnementales locales ») a été fondée en 1990 sous le parrainage des Nations Unies (UNEP) pour mettre en œuvre l’Agenda 21 et soutenir des projets de développement durable au niveau des communes à travers la planète. Il s’agit d’une organisation de membres pour les villes. En 2020, plus de 1 750 villes, communes, comtés et leurs associations dans 126 pays font partie du réseau ICLEI. En 2023, plus de 2 500 villes, communes et régions étaient répertoriées comme membres. Basé à Bonn, en Allemagne, il s’agit d’un groupe de lobbying et de politique qui vise à influencer et à changer les politiques gouvernementales locales liées à tous les aspects de la vie humaine. Il conçoit et vend des systèmes qui surveillent, signalent et contrôlent la consommation d’eau et d’énergie. Ces informations sont ensuite partagées.

En concentrant le pouvoir dans les villes, ce groupe contourne les exigences de ratification des traités internationaux et donne l’illusion d’un contrôle local. Le “Local Governments for Sustainability” (ICLEI) est structuré comme un gouvernement parallèle mais n’a aucune transparence car il s’agit d’une organisation privée à but non lucratif. En fait, les villes s’allient ensuite dans des conglomérats régionaux qui brisent les frontières juridictionnelles et détruiront le contrôle local. Ces conseils régionaux ne sont pas élus et ne sont pas responsables devant les citoyens. En fin de compte, cela facilite la gouvernance mondiale en invalidant les villes, les comtés, les États et les nations individuels avec des accords et des systèmes entrelacés auxquels ils sont liés par contrat : les partenariats public-privé.

➡ La Municipalité des Îles-de-la-Madeleine se dit heureuse d’accueillir pour l’été, Claudina Leblanc, comme stagiaire en mobilité durable dans le cadre du projet écoquartier qui prendra place en plein cœur de Cap-aux-Meules. L’altermobilité se définit comme étant une diversification des modes de déplacement, afin de réduire la dépendance à l’automobile. « Adopter l’altermobilité ne signifie donc pas de renoncer complètement à la voiture, mais de limiter l’usage de celle-ci en privilégiant d’autres modes de déplacements plus respectueux de l’environnement, comme le transport collectif, la marche, le vélo, le covoiturage, etc. », affirme le communiqué de presse publié le 2 juillet 2024.

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Diane Leboeuf
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