Je prévoyais depuis quelques semaines de publier un article concernant l’opéra urbain qui se déroulera du vendredi 25 au dimanche 27 octobre 2024 au centre-ville de Toulouse, en France : « Le Gardien du Temple – La Porte des Ténèbres« . Comme l’on dit souvent, cela faisait partie de mes cartons. Par contre, comme par hasard, j’ai récemment reçu un message sur le réseau social VKontakte de la part de Philippe Broquère, alias Phil Broq. Celui-ci m’écrivait : « Bonjour, je vous propose de venir visiter mon blog et vous alimenter en articles, à titre gratuit évidemment, afin d’informer votre public avec mes billets. » J’ai donc visité son site et j’ai découvert l’article intitulé : « Satan s’invite à Toulouse ou l’émergence du mal révélé ! » J’ai donc proposé à Phil de publier son excellent texte que j’agrémenterai de vidéos et d’informations complémentaires. Il accepta avec joie.
Toulousain, Philippe Broquère est un auteur indépendant libre ! Autodidacte passionné et hétéroclite, il aime autant les traités d’ésotérisme, de philosophie que la géopolitique ou l’anthropologie. Il souhaite transmettre et partager le savoir ainsi que la connaissance des éléments cachés de notre monde et découverts lors de l’étude des anciennes civilisations et des auteurs passés. Autrefois destinée et réservée aux initiés, il considère que la connaissance que nous ont transmis les anciens est comme un tremplin, pour l’éveil de l’homme d’aujourd’hui et surtout de demain. Philippe Broquère a écrit plusieurs livres, dont « Pandemic Circus Génocide au bio-virus« , publié chez TheBookEdition.com.
Organisé par Toulouse Métropole, et imaginé par François Delarozière et la Compagnie La Machine, le spectacle monumental de l’opéra urbain « Le Gardien du Temple – La Porte des Ténèbres » fait suite au premier volet du Gardien du Temple, qui s’était tenu à Toulouse sur 4 jours en novembre 2018. Cet événement verra le retour d’Astérion le Minotaure et d’Ariane la Grande Araignée, qui seront rejoints dans leur périple par une nouvelle Machine : Lilith la Gardienne des Ténèbres. Il s’agit d’une chimère. Elle a un visage, un buste et des bras de femme. Sa tête est surmontée de cornes de bouc. Le bas de son corps et son dard sont ceux d’un scorpion. Ses pattes ressemblent à celles d’un crabe ou d’une araignée. La Gardienne des Ténèbres est chargée, tel un cerbère, d’aller chercher les âmes damnées pour les emmener en enfer. C’est lors de l’une de ses prochaines missions que sa route croisera celle d’Astérion et d’Ariane. Une rencontre qui aura ainsi lieu dans le dédale des rues toulousaines.
Mesurant ± 10 m de haut et pesant 38 tonnes, Lilith « va vous offrir le droit d’aller en enfer si vous voulez y aller. Elle est là pour ramener les âmes damnées », sourit le directeur artistique avec malice. Elle peut également cracher du venin ou du feu, à l’aide d’un bracelet. Ses yeux sont d’un gris très clair : « Mieux vaut ne pas croiser son regard », ajoute François Delarozière comme le rapportait La Dépêche.
Les organisateurs insistent sur le chiffre 3 dans la présentation de l’affiche promotionnelle, symbolisant la Trinité Satanique selon le pasteur Daniel Vindigni : « L’affiche du « Gardien du Temple – La Porte des Ténèbres » présente les 3 Machines qui prendront part à cette nouvelle aventure. Les 3 protagonistes se tiennent dans l’entrebâillement de « la porte des ténèbres ». Une porte qui sera alors « ouverte » lors des 3 jours de spectacle, du vendredi 25 au dimanche 27 octobre, dans le centre-ville de Toulouse. »
Le quotidien La Voix du Nord rapporte que pour l’Église, le prochain spectacle de rue de la compagnie La Machine s’annonce carrément angoissant. Dans un courrier confidentiel envoyé aux curés, et que France3 Occitanie a pu consulter, l’Archevêque de Toulouse Monseigneur Guy de Kerimel a même prévu d’organiser une messe, un « acte spirituel » le 16 octobre prochain pour « repousser les forces obscures ». Ce spectacle possède trop de « symboles sataniques et ésotériques », d’après le responsable spirituel. Le premier à avoir pris la parole, l’Abbé Simon d’Artigue de l’église de Saint-Aubin déplorait l’utilisation de symboles sataniques tout en s’inquiétant des potentiels effets secondaires d’une telle proposition artistique. Joint par Actu Toulouse, le Père Hervé Gaignard, Vicaire général du diocèse de Toulouse explique que « ce qui pose question à Monseigneur de Kerimel, c’est que ce spectacle incarne une forme de fascination pour tout ce qui relève du mal, avec notamment Lilith, la démone au centre du récit, le Minotaure et cette affiche avec une cité en feu et des églises qui brûlent. » L’Archevêque Guy de Kérimel ayant en effet relevé plusieurs symboles en son sens dérangeant, dans l’affiche du spectacle notamment, relatifs à « l’enfer et à l’occultisme », comme le précise le père Hervé Gaignard.
L’autre préoccupation de Monseigneur de Kerimel, c’est que, selon lui, « cette manifestation alimente le climat ambiant de pessimisme et de désespoir dans un contexte politique et économique tendu, dans un monde en proie à plusieurs conflits et une société qui se tend et se divise. » Monseigneur de Kerimel a jugé nécessaire de proposer un acte spirituel avec cette consécration au Sacré-Cœur de Jésus.
➽ Satan s’invite à Toulouse ou l’émergence du mal révélé !
➦ Par Philippe Broquère, 26 septembre 2024
Mes amis, dérogeant à la règle du billet quotidien, je dois vous faire part de ce nouvel avertissement sur l’époque délicieuse et désolante que nous vivons !
Notre belle France, réputée pour être la « fille aînée de l’Église », se retrouve sous l’emprise d’une folie satanique aux ramifications si étendues qu’elles ressemblent à une pieuvre omniprésente dans une mer de ténèbres. Les agents zélés de ce culte obscur se faufilent dans notre quotidien, tels des spectres malicieux, prêts à renverser nos valeurs fondamentales mais avec les subventions issues de nos impôts. Face à cette offensive sans précédent, l’Église se dresse enfin comme un rempart, tout en mettant en lumière les dangers qui nous guettent. Ensemble, interrogeons-nous sur l’état de notre culture et sur les menaces qui l’assaillent. Des productions telles que « Les Portes des Ténèbres » ne sont rien de moins que des manœuvres pour nous plonger dans un océan de désespoir. À quoi bon célébrer des œuvres qui érodent notre capacité à rêver, à aimer, à espérer ?
Dans un ballet macabre d’intrigues, ces fervents disciples du mal s’activent à promouvoir une culture obsédée par le sombre et le ténébreux. Par l’inspiration de la peur et du Mal absolu. Leurs œuvres ne sont pas de simples productions artistiques, mais des vecteurs d’une idéologie insidieuse qui cherche à détourner nos esprits de la Lumière, à pervertir notre perception du bien et du mal, voire à l’annihiler. À chaque coin de rue, ils s’invitent dans nos vies, offrant des spectacles et des récits imprégnés d’une obscurité plus qu’inquiétante. Des productions telles que « Les Portes des Ténèbres » ne sont rien de moins que des manœuvres pour nous plonger dans un océan de désespoir. À quoi bon célébrer des œuvres qui érodent notre capacité à rêver, à aimer, à espérer ?
Chers Toulousains et amis du monde entier, cet événement monumental qui se profile à l’horizon, transformera notre belle Ville Rose en un théâtre de mystères obscurs et de créatures mythologiques ténébreuses à souhait. Du 25 au 27 octobre 2024, nous assisterons impuissants à l’opéra urbain « Le Gardien du Temple : La Porte des Ténèbres », orchestré par la Compagnie La Machine et Toulouse Métropole. Mais comme je viens de l’évoquer, derrière cet événement qui promet d’être grandiose, une ombre très inquiétante se profile. Ce n’est pas simplement un spectacle ; c’est un miroir tendu vers notre société, un appel à la vigilance face à une glorification des ténèbres et une façon de détruire la ville rose pour en faire la ville noire !
Les promoteurs de cette vision apocalyptique, disons-le, sont des agents du chaos. Armés d’une imagination débordante, dès lors qu’il faut promouvoir la laideur et l’inversion des valeurs, et d’un cynisme à toute épreuve, ils se frayent un chemin à travers nos traditions, détournant les symboles sacrés et les histoires qui devraient nous unir, afin de les pervertir sous l’excuse de l’Art. Ils célèbrent des entités mythologiques tordues, glorifient la souffrance, et jettent des ombres sur des valeurs qui ont, autrefois, éclairé notre chemin et développé notre société. Ce ne sont pas des satanistes qui ont créées les cathédrales, ni même la moindre bâtisse qui fasse la fierté de notre patrimoine architectural vecteur de touristes venus du monde entier. Et que serait notre patrimoine culturel sans ces récits porteurs d’espoir, sans ces légendes qui célèbrent le triomphe du bien sur le mal ? Mais non, ces agents zélés ont décidé que l’obscurité était à la mode, et que la mode, apparemment, est éternelle.
Et que dire alors des conséquences de cette exposition du glauque sur les esprits ? La société dans son ensemble semble se laisser emporter par cette marée de noirceur. Les jeunes, fascinés par ces récits de désespoir et de mort, finissent par croire que la tristesse et l’anxiété sont les seuls véritables compagnons de route. Désabusés, déconnectés du beau, du bon et du vrai ; soumis et abrutis par la technologie, ils ne voient plus que cela dans leur environnement proche et on comprend leur dégoût de l’avenir. Les héros de ces spectacles ne sont plus des modèles de bravoure et de dignité, mais plutôt des figures énigmatiques oscillant entre rébellion et déchéance, comme si la lutte pour la Lumière était devenue une rareté, une relique d’un passé révolu. Or, ceci n’est qu’une illusion, un leurre mais que nous laissons croitre sans réagir.
Cet opus, suite de la première édition en 2018, nous ramène au cœur d’une histoire où le spectaculaire semble supplanter le sens. Astérion, le Minotaure, et Ariane, la Grande Araignée, reviennent, mais cette fois, ils sont rejoints par Lilith, la Gardienne des Ténèbres. À travers cette nouvelle aventure, elle est chargée de conduire les âmes vers les enfers, un rôle qui questionne sur notre rapport à l’obscurité. Ce grand événement, financé par des mécènes sous prétexte de célébrer la créativité artistique, soulève une question fondamentale : jusqu’où ira cette glorification des ténèbres ?
La Porte des Ténèbres, que gardent ces gardiens du Temple (ne sont-elles pas celles du temple des francs-maçons adorateurs de Lucifer ?), se profile comme un écran de fumée, une distraction dont le véritable but est de nous plonger dans un univers où l’obscurité et le mal sont célébrés comme des héros. Astérion, avec son passé enchanteur, évoque des légendes anciennes, mais ce spectacle devient un rappel inquiétant des forces qui régissent notre existence. La présence de Lilith (l’épouse du diable) n’est pas anodine ; elle incarne les ténèbres, un archétype qui menace notre équilibre et notre identité collective. En glorifiant ces figures, nous sommes appelés à interroger notre rapport à la mythologie et à la réalité. Et en ajoutant un concours de dessins pour enfants intitulé « Dessine ta machine imaginaire », où les jeunes sont invités à exprimer leur créativité, nous nous demandons : quel message voulons-nous vraiment leur transmettre ? La normalisation d’un univers où le mal est célébré n’est pas qu’un simple détail ; c’est un choix délibéré qui pourrait façonner les esprits de demain.
S’élever contre cette tendance à glorifier l’obscurité, c’est avant tout protéger notre héritage culturel et spirituel. Au lieu de célébrer le mal, pourquoi ne pas réécrire notre histoire en mettant en avant les héros lumineux, ceux qui ont fait de notre culture un bastion d’espoir et de force. Alors que « Le Gardien du Temple : La Porte des Ténèbres » s’apprête à ouvrir ses portes, il est impératif de rester vigilants. Je vous le répète, CE N’EST PAS UN DIVERTISSEMENT ! Mais les perspicaces comprendront que c’est avant tout un appel à l’action pour toute personne qui possède encore une âme. Que ce soit à travers les gigantesques machines qui peuplent notre centre-ville ou par les récits qui nous sont contés, il est de notre devoir de questionner et de résister à la tendance grandissante qui cherche à infiltrer notre culture avec ces éléments hautement toxiques et ténébreux. Que signifie vraiment ce spectacle sous son apparence ludique ? Une manipulation insidieuse, sans aucun doute, mais surtout une mise en plein jour de leur programme machiavélique, tissé comme une toile d’araignée et défendu avec les cornes de Satan.
Quel vent de folie s’est encore levé ! Et cette fois, ce n’est pas seulement à cause du vent d’autan qui rend fou, des dernières tendances culinaires ou des performances Rugbystiques, c’est bien plus grave et nauséabond que cela ! Les manipulateurs de l’ombre, sous couvert de spectacles grandioses, s’attaquent bel et bien à notre belle Ville Rose. Par le biais de ces événements montés de toutes pièces par des pseudos artistes ne vivant qu’au crochet de subventions, pour nous attirer dans les filets d’une culture de la désespérance et du désespoir. Mais enfin, mes amis, si même l’Église, d’habitude si placide depuis son inversion et son allégeance aux talmudistes avec le pacte de Vatican II, commence à voir à travers ce mirage, nous avons la permission de retrouver l’espoir dans la providence Divine !
Bien que je me demande encore comment une ville aussi vibrante que Toulouse peut-elle se laisser séduire par les sirènes de la noirceur ? Ne sommes-nous pas des héritiers de tant de Lumière, de tant de beauté, de tant de bonté, de tant de vérité ? Ne sommes nous pas Terre de Rugby aux valeurs viriles qui glorifient la vie ? Pourtant, la célébration des ténèbres sous toutes leurs formes semble y devenir la norme. Car ces spectacles, censés être de l’art sont en réalité de dangereux vecteurs d’une idéologie nihiliste. Les artistes se présentent eux-mêmes comme des sorciers, des enchanteurs, se moquant de notre foi et de nos valeurs. Ils prennent plaisir à nous plonger dans des histoires de souffrance et de désespoir, tandis que nous regardons, fascinés et impuissants. Tout en ruinant les impôts locaux et les aides aux étudiants.
Face à cette offensive satanique, l’Église, bien que parfois maladroite dans sa réponse, se dresse enfin comme un rempart par l’intermédiaire de Mgr de Kerimel (Archevêque de Toulouse) et de ses semblables qui ne sont plus là pour rire, mais bien pour avertir. Pour offrir un échappatoire spirituel à tout ce marasme malsain, savamment entretenu depuis des années et accéléré depuis Macron et sa clique de fanfarons aliénés aux loges obscures dans lesquelles se fomentent ces attaques. Le diocèse de Haute-Garonne voit, avec une clairvoyance troublante, que ces manifestations artistiques ne sont pas de simples spectacles de rue. Elles portent en elles une menace insidieuse, un poison lent qui pourrait faire éclore des graines de désespérance dans les cœurs les plus fragiles. Ainsi, les initiatives comme la messe du 16 octobre 2024, où chacun doit trouver le temps de participer tellement c’est important, ne sont pas non plus des cérémonies religieuses banales. Car ce sont des cris de ralliement désespérés et ultime, pour préserver notre culture et notre identité face à ces influences dévastatrices. Nous devons être légion ce jour là pour éclairer l’espoir et la vie en chassant les ténèbres.
C’est la raison pour laquelle, il faut noter dans vos agendas cette messe du 16 octobre prochain, afin de « Consacrer Toulouse et son diocèse au Sacré-Cœur de Jésus« . Il faut y participer en famille et entre amis afin de marquer cet événement et dire STOP à ces agissements malsains qui nous entrainent vers l’abîme de notre destin. N’est-ce pas un acte fort, un acte de résistance ultime contre cette marée noire qui tente encore une fois d’engloutir notre Lumière ? L’Église, par son message d’espoir, cherche à raviver la flamme de la foi et de l’amour, à rappeler que la victoire sur le mal est non seulement possible, mais nécessaire. Mais cette bataille ne se limite pas à une lutte entre l’obscurité et la Lumière ; elle nécessite également une prise de conscience collective. La culture de la peur et du désespoir ne devrait plus être la norme. Et pourquoi ne pas redécouvrir les trésors oubliés de notre patrimoine, ces récits de courage, de sacrifice et de beauté, pour redonner aux générations futures des repères solides, des héros à admirer, et des valeurs à chérir ?
C’est un véritable acte de résistance ultime, un cri de ralliement pour tous ceux qui, chrétiens ou non, décident de faire quelque chose contre ceux qui veulent notre destruction, car on ne combat les ténèbres qu’avec l’Esprit Saint ! Mes amis, si nous ne prenons pas conscience de la bataille qui se livre sous nos yeux, qui le fera ? Qui sauvera l’avenir et l’esprit de nos enfants? Qui s’opposera ensuite si cela se fait dans nos rues à la vue et au su de tous ? Nous ne pouvons plus laisser ces forces obscures gouverner notre réalité. Il est grand temps d’affirmer notre identité, de célébrer nos racines, nos valeurs, et de rappeler que nous sommes les seuls bâtisseurs de notre avenir. Et il ne sera pas dans leur toile d’araignée tissée pour l’occasion. Il est temps de combattre ces démons une fois pour toute !
Toulouse, ma belle, je t’exhorte à ne pas laisser la nuit engloutir ta Lumière ! Dans un monde où les ombres semblent s’allonger et où les forces du mal tentent de s’immiscer dans nos vies, il est de notre devoir de rester vigilants et de combattre cette obscurité qui menace d’étouffer notre essence. Nous sommes ici pour nous battre, pour revendiquer notre culture, notre héritage, et pour rappeler au monde entier que la France est un pays de Lumière, de beauté et d’espoir. Et non, les Chrétiens ne sont pas pacifiques dès lors que le combat se fait contre le Mal ! C’est d’ailleurs la seule action qui nous est permise avec violence et la volonté de faire éclore la vérité du sacré.
La richesse de notre histoire, de notre culture, de notre spiritualité et de notre patrimoine, mérite d’être célébrée, non pas comme de simples reliques d’un passé révolu, mais comme des phares qui nous guident vers l’avenir. Malgré les agissements de certains de nos dirigeants, souvent corrompus et trop souvent dévoués à un système qui se nourrit de la division et du désespoir, nous devons résister à la tentation de sombrer dans l’apathie. Ce système, soutenu par des forces obscures, se présente sous un masque séduisant, prétendant apporter progrès et modernité, mais il ne fait que nourrir les ténèbres.
Toulouse, ville emblématique de la culture et de l’art, doit se lever comme un bastion de résistance. Et par elle, la France suivra et cessera son déni d’identité et sa soumission aux entités du Mal. L’enfer est pavé de bonnes intentions, dit-on. Mais en ajoutant ce concours de dessins pour enfants intitulé « Dessine ta machine imaginaire », où les jeunes sont invités à exprimer leur créativité, nous nous demandons : quel message voulons-nous vraiment leur transmettre ? La normalisation d’un univers où le mal est célébré n’est pas qu’un simple détail ; c’est un choix délibéré qui pourrait façonner les esprits de demain.
Car, Astérion, avec son passé enchanteur, évoque des légendes anciennes noires, mais ce spectacle devient un rappel inquiétant des forces qui régissent notre existence et ceci sera vissé dans le cerveau de nos enfants à jamais. L’araignée tisse sa toile, d’où les moucherons que nous sommes face à ces dirigeants devenus fous, ne sortirons pas. Ainsi, la présence de Lilith n’est bien évidemment pas un hasard, car elle incarne celle qui donne naissance aux ténèbres, un archétype qui menace clairement notre équilibre et notre identité collective.
Alors, relevons cet ultime défi ensemble, en unissant nos voix pour proclamer notre détermination à préserver notre identité et notre culture, lors de cette messe de consécration offerte par le diocèse de Toulouse. Exprimons notre fierté d’être Toulousains, Français, sains de corps et d’esprit, et sûrement pas dupes devant leurs manigances, nous les héritiers d’un riche passé et bâtisseurs d’un avenir lumineux. La Lumière que nous portons en nous est plus forte que toutes les ténèbres qui veulent l’éteindre. Faisons-en un étendard, un symbole d’espoir et de renaissance qui brillera loin dans leurs tentatives de noircir le monde et notre ville. Car ce n’est qu’ensemble, dans la solidarité et l’amour, que nous ferons briller à nouveau la Lumière de Toulouse.
Dans ce combat pour nos valeurs, n’oublions jamais que nous sommes les gardiens de notre culture, et que chaque action, chaque décision compte. Face à cette offensive des ténèbres, il est de notre devoir d’être les véritables porteurs de la Lumière Divine. En cette heure de turbulence, restons ferme dans notre conviction que la beauté, la vérité et l’espoir triompheront. Ne laissons plus jamais la nuit engloutir notre Lumière !
➽ Les personnages de l’opéra urbain selon les organisateurs :
➧ Astérion, un Minotaure à Toulouse
Le « Gardien du Temple », c’est lui ! Astérion veille à ce titre sur Toulouse. Il occupait un rôle clé dans le récit du 1er opus de l’opéra urbain du même nom, en novembre 2018. Né des eaux de la Garonne, il reparaît en 2018 accomplissant la prophétie inscrite sur une pierre d’un antique capitole retrouvé lors de fouilles archéologiques dans le quartier Esquirol :
« Toulouse marquée par l’or, le feu, le sang et l’eau verra son temple disparaître. Son gardien enfoui sous terre restera. Quand le jour se lèvera sur le temple enfin découvert, cinquante équinoxes lui seront nécessaires pour revenir à la vie. Protecteur de la Cité, il renaîtra par les eaux du fleuve à la faveur de la nouvelle lune bleue.
« Errant à la recherche du temple perdu au cœur du labyrinthe, seule Ariane métamorphosée le guidera vers sa nouvelle demeure. »
C’est ainsi qu’avait débuté le récit du 1er volet de l’opéra urbain. Durant 4 jours, le Minotaure avait alors arpenté les rues de la Ville rose à la recherche de son temple, en étant guidé par sa demi-sœur Ariane, la Grande Araignée. Un périple qui s’était soldé par un succès.
➧ Ariane, une Grande Araignée à Toulouse
Ariane occupait un rôle clé dans le récit du 1er opus de l’opéra urbain Le Gardien du Temple, en novembre 2018, où elle évoluait dans le centre-ville de Toulouse aux côtés d’une autre Machine géante : Astérion le Minotaure. Elle était alors apparue sur le toit de l’Hôtel Dieu, et avait aidé Astérion à accomplir la prophétie inscrite sur une pierre d’un antique capitole retrouvé lors de fouilles archéologiques dans le quartier Esquirol :
« Toulouse marquée par l’or, le feu, le sang et l’eau verra son temple disparaître. Son gardien enfoui sous terre restera. Quand le jour se lèvera sur le temple enfin découvert, cinquante équinoxes lui seront nécessaires pour revenir à la vie. Protecteur de la Cité, il renaîtra par les eaux du fleuve à la faveur de la nouvelle lune bleue.
« Errant à la recherche du temple perdu au cœur du labyrinthe, seule Ariane métamorphosée le guidera vers sa nouvelle demeure. »
C’est ainsi qu’avait débuté le récit du 1er volet de l’opéra urbain. La Grande Araignée avait alors guidé Astérion, le « gardien du temple » de la prophétie, dans les rues de Toulouse à la recherche du temple perdu. Un périple qui s’était soldé par un succès.
➧ Lilith, la Gardienne des Ténèbres à Toulouse
Gardienne des Ténèbres, Lilith aura un rôle clé lors de l’opus 2 de l’opéra urbain Le Gardien du Temple, du 25 au 27 octobre 2024 à Toulouse. Construite cette année par la compagnie La Machine pour le festival de musiques heavy metal Hellfest à Clisson (où elle réside), Lilith se rendra à Toulouse à l’automne.
Elle rejoindra ainsi Astérion le Minotaure et Ariane la Grande Araignée, les protagonistes du précédent opus de l’opéra urbain Le Gardien du Temple (aujourd’hui pensionnaires de la Halle de la Machine), pour une nouvelle aventure dans le dédale des rues du centre-ville toulousain.
La Gardienne des Ténèbres est une femme-scorpion qui contrôle le passage entre notre monde et celui des enfers. Missionnée par Hadès, Lilith erre de ville en ville à la recherche d’âmes damnées. C’est lors de l’une de ses prochaines missions, à Toulouse, que sa route croisera celle d’Astérion et d’Ariane, lors du 2e opus de l’opéra urbain du Gardien du Temple.
Selon la version hébraïque de Wikipédia, Lilith est une figure féminine qui apparaît dans le Talmud et les Midrashim, dans les livres externes, dans la littérature kabbalistique et dans les contes populaires comme étant un symbole de rébellion, de meurtre, de méchanceté et de manque de pudeur. Elle guette les hommes et les séduit pour les féconder et voler leur semence et sa progéniture est des démons et de la vermine. Dans la croyance populaire, Lilith est considérée comme particulièrement dangereuse pour les mères et les nouveau-nés qui doivent être protégés d’elle par des amulettes et des sorts. Lilith est théorisée comme étant la première épouse d’Adam et une démone primordiale.
Lilith n’est mentionnée qu’une seule fois dans la Bible, soit dans Isaïe 34:14. Au IVe siècle, la Vulgate traduit le même mot par « lamia » : « Et occurrent daemonia onocentauris, et pilosus clamabit alter ad alterum; ibi cubavit lamia, et invenit sibi requiem ». La traduction étant : « Et les démons rencontreront les monstres, et l’un velu criera à l’autre ; là la lamie s’est couchée et a trouvé le repos pour elle-même ».
Lilith apparaît quatre fois dans le Talmud. Elle est décrite comme un démon féminin aux cheveux longs et pourvu d’ailes (Talmud de Babylone Eruvin 100a et Nidda 24b). Sa figure de succube est mise en avant. Le tanna du Ier siècle rabbi Hanina ben Dossa met en garde les hommes dormant seuls dans une maison de crainte que Lilith ne s’approche d’eux (Shabbat 151b). Elle est la fille d’Ahriman, l’adversaire d’Ormuzd dans la religion zoroastrienne (Baba Batra 73a). Dans le Talmud, Lilith est une créature qui s’attaque à tous les humains, pas spécifiquement aux enfants
Abonnez-vous à ma lettre d’information
Et recevez un code de réduction de 40 % pour l’adhésion à mon Club VIP.
« Que Dieu vous garde, vous et tous ceux & toutes celles qui prennent des risques pour que les vérités cachées soient révélées au Public. Merci. »