La Génisse rousse et la Fin des temps planifiée. Une série d’événements orchestrés semblent s’aligner pour déclencher une guerre de religion

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Dans le cadre de ma série d’articles concernant la génisse rousse qui ― selon toute vraisemblance ― devrait bientôt être sacrifiée par des rabbins fanatiques, je partage avec vous une publication de The Straight Juice qui fut publiée le 3 avril 2024 sur la plateforme Substack. À en croire les prophéties, le sacrifice de la génisse rousse fera apparaître le mashiach juif, ou plutôt al-Masīḥ ad-Dajjāl (Messie trompeur) selon l’eschatologie islamique, correspondant parfaitement à l’Antéchrist dans le christianisme. Après ce sacrifice, le Troisième Temple sera construit à Jérusalem dans lequel le fils de la perdition s’assoira, « se proclamant lui-même Dieu » (2 Thessaloniciens 2:4). Sommes-nous donc arrivés à la fin des temps ? Plusieurs signes et événements actuels le laissent entendre à ceux qui ont assez de sensibilité spirituelle pour les comprendre. Je vous souhaite une bonne lecture.

« Une série d’événements planifiés semblent s’aligner pour orchestrer une guerre de religion qui pourrait s’étendre à l’échelle mondiale et avoir des ramifications qui remodèleraient l’histoire humaine. » The Straight Juice. le 3 avril 2024


La génisse rousse revêt une signification profonde dans le christianisme, le judaïsme et l’islam, servant de point focal dans leurs récits eschatologiques et leurs croyances théologiques respectifs.

Dans la tradition juive, la vache rousse est un élément essentiel des rituels de purification nécessaires à la reconstruction du Troisième Temple de Jérusalem, étape cruciale vers l’accomplissement de la prophétie messianique. Sa rareté et ses exigences spécifiques, telles que décrites dans le Livre des Nombres de la Torah, soulignent son importance symbolique dans la mystique juive, en particulier dans les enseignements du Talmud et de la Kabbale.

Pour les chrétiens, la génisse rousse est étroitement liée à l’anticipation de la seconde venue du Christ et aux événements entourant l’apocalypse, tels que décrits dans les prophéties bibliques. Son association avec la purification et le sacrifice fait écho aux thèmes de la rédemption et de l’expiation, qui sont au cœur de la théologie chrétienne.

De plus, la revendication musulmane sur le Dôme du Rocher (mosquée Al-Aqsa) à Jérusalem complique encore davantage la signification de la Vache Rousse, car sa construction au sommet du Mont du Temple est considérée par certains comme un obstacle à l’accomplissement des événements de la fin des temps. La convergence de ces croyances et de ces récits souligne le rôle central de la Génisse rousse comme catalyseur du renouveau spirituel et comme point culminant de la prophétie divine dans ces trois grandes religions du monde. En outre, elle met en lumière les composantes religieuses sous-jacentes qui pourraient déclencher une « guerre sainte » mondiale.

La Torah, le Talmud et la Kabbale :

La Torah, et plus précisément le Livre des Nombres (Nombres 19:1-22), fournit la principale source de conseils concernant le sacrifice de la vache rousse. Selon la Torah, une vache rousse sans défaut, n’ayant jamais porté de joug, doit être sacrifiée et ses cendres utilisées dans des rituels de purification. Ces rituels étaient nécessaires pour purifier les personnes et les objets qui avaient été en contact avec la mort, rétablissant ainsi la pureté rituelle.

Le Talmud, texte central du judaïsme rabbinique composé de la Michna et de la Guemara, développe les lois et pratiques décrites dans la Torah. Dans le traité Parah de la Michna, les procédures détaillées pour la sélection, l’abattage et l’incinération de la vache rousse sont décrites, ainsi que la manière précise dont ses cendres doivent être préparées et utilisées dans les rites de purification. Le commentaire talmudique offre des éclaircissements supplémentaires sur l’importance de la vache rousse dans la loi et la théologie juives, en soulignant son rôle dans la restauration de la pureté et dans la facilitation de l’accès aux espaces sacrés tels que le Temple.

La génisse est sacrifiée à l’extérieur du camp, où elle est brûlée avec du bois de cèdre, de l’hysope et de la laine écarlate. Ce brûlage rituel produit des cendres, soigneusement recueillies, qui deviennent un élément fondamental de la purification de l’impureté de la mort, appelée « touma ». Ces cendres jouent un rôle essentiel dans la restauration de la pureté rituelle, offrant un moyen de purifier les individus et les objets qui ont connu la mort.

Dans la tradition kabbalistique, la génisse rousse a une signification mystique plus profonde que ses objectifs pratiques de purification. La Kabbale, le mysticisme juif, interprète la génisse rousse comme un symbole de transformation spirituelle et de restauration de l’équilibre cosmique. La couleur rouge représente la passion ardente de l’amour divin, tandis que la pureté de la génisse signifie l’état sans tache de l’âme. De plus, le rouge signifie le jugement divin, connu sous le nom de gevurah, tandis que la génisse sans défaut incarne sa mise en œuvre parfaite et complète. Considérées comme un symbole puissant, les cendres dérivées de ce sacrifice sont considérées comme un agent transformateur de purification spirituelle, éliminant « l’impureté » de la négativité et facilitant le retour à un état de sainteté. Les textes kabbalistiques se penchent sur les significations allégoriques du rituel de la génisse rousse, explorant ses liens avec le voyage de l’âme vers l’illumination et la rectification du monde.

Dans l’ensemble, ces textes du judaïsme offrent une compréhension multiforme de la Génisse rousse, englobant des dimensions juridiques, rituelles et mystiques qui soulignent son rôle central dans la foi et la pratique juives.

Le processus :

Le processus d’acquisition, de préparation et de sacrifice de la Génisse Rousse est méticuleusement décrit dans le livre des Nombres (chapitres 19:1-10), avec des détails supplémentaires élucidés dans le Talmud (traité Parah). Pour commencer, l’acquisition de la génisse est une tâche précise. Elle doit être entièrement rouge, dépourvue de toute tache ou variation de couleur, symbolisant la pureté et la perfection divine. De plus, la génisse ne doit jamais avoir été attelée au travail, témoignant de sa nature intacte et de sa séparation du monde terrestre.

La phase de préparation se déroule en plusieurs étapes. Dans un premier temps, la génisse est amenée à l’extérieur du camp israélite ou, selon les interprétations ultérieures, à l’extérieur des murs de la ville. C’est là qu’un prêtre désigné procède à l’acte solennel de l’abattage. Ensuite, un autre prêtre, rituellement propre, orne la génisse de bois de cèdre, d’hysope et de laine écarlate, les attache avant de placer l’animal entier sur un bûcher en bois de cèdre. Après l’incinération, un troisième prêtre, également rituellement propre, recueille méticuleusement les cendres de la génisse. Ces cendres ont une signification profonde, devenant un élément indispensable des rituels de purification.

En approfondissant les subtilités du processus, le Talmud fournit des indications supplémentaires. Il précise les dimensions exactes du bûcher pour assurer une incinération complète. De plus, les prêtres impliqués dans l’acte sacrificiel se soumettent à des rituels de purification rigoureux au préalable, soulignant le caractère extrêmement sacré de l’opération. Enfin, la collecte des cendres nécessite un soin méticuleux pour éviter toute contamination, soulignant le respect accordé à cette composante sacrée du rituel juif.

Chronologie des événements :

Introduction/Résumé : Depuis 1967, les non-musulmans sont autorisés à visiter Al-Aqsa mais n’ont pas le droit de prier sur le site sacré. Cependant, ce statu quo s’est rapidement dégradé ces dernières années, car des groupes de colons juifs israéliens ont collaboré avec le gouvernement pour affirmer leur contrôle sur le site. Selon la loi juive, les cendres d’une génisse rousse (une jeune vache femelle) doivent être dispersées sur le Haram al-Sharif avant que les Juifs puissent y monter et reconstruire le Troisième Temple. Si la recherche d’une génisse rousse était initialement considérée comme une initiative marginale promue par des militants du mont du Temple, des recherches récentes indiquent que le gouvernement israélien s’est impliqué dans cette entreprise.

En 1987, l’Institut du Temple, en partenariat avec Boneh Israël, une organisation évangélique, a importé cinq vaches des États-Unis (2022) pour le sacrifice de la génisse rousse, avec l’aide présumée du ministère de l’Agriculture pour contourner la réglementation. Le ministère des Affaires de Jérusalem et du Patrimoine a également soutenu le projet, en finançant le développement de la zone du mont des Oliviers pour le sacrifice rituel de la génisse rousse. Le but ultime de l’initiative est de reconstruire le Troisième Temple, ce qui implique la destruction du Dôme du Rocher. Les hauts responsables impliqués dans le projet affirment que la génisse rousse est essentielle à cette entreprise. Cependant, cette initiative a suscité des inquiétudes quant à son potentiel à perturber le statu quo à Al-Aqsa et à provoquer une guerre de religion.

Malgré ces dangers, des particuliers et des organisations, notamment des associations caritatives exonérées d’impôts aux États-Unis, continuent de soutenir le projet Red Heifer. Ils collaborent avec des groupes de colons israéliens comme Reshit pour faire avancer leurs objectifs, notamment l’effacement de l’identité palestinienne par le développement de routes touristiques et de projets d’infrastructures à Jérusalem-Est. Néanmoins, la résistance palestinienne reste un obstacle important à ces efforts, comme le démontrent les précédentes manifestations contre les menaces contre le caractère sacré d’Al-Aqsa.

1987 : L’Institut du Temple a été créé en 1987, avec le rabbin Yisrael Ariel comme fondateur et actuel directeur. En tant qu’organisation à but non lucratif, ses sources de financement varient, englobant des dons de particuliers, y compris probablement de riches donateurs juifs, en particulier des États-Unis, comme l’ont rapporté certaines sources. En outre, il existe des indications de financement du gouvernement israélien, bien que l’étendue précise de ce soutien reste ambiguë. L’Institut du Temple est profondément enraciné dans des aspirations religieuses, dédié à l’objectif de reconstruire le Troisième Temple sur le Mont du Temple à Jérusalem. Bien que sa mission trouve un écho auprès de certains segments de la communauté juive, ses points de vue ne sont pas universellement acceptés et il n’a pas l’approbation officielle de toutes les principales autorités rabbiniques. Fonctionnant dans le cadre d’une organisation à but non lucratif, les activités de l’Institut du Temple s’étendent au-delà de la défense religieuse, s’engageant dans des initiatives éducatives et des recherches archéologiques. Malgré des liens signalés avec le gouvernement israélien, la nature et la profondeur de cette relation restent sujettes à examen et à interprétation.

1998 : Clyde Lott, un éleveur de bétail du Mississippi, croyait fermement qu’il avait été choisi par Dieu pour la tâche spécifique de localiser l’insaisissable génisse rousse nécessaire à la reconstruction du Temple juif de Jérusalem. En tant que prédicateur pentecôtiste, Lott était profondément convaincu que l’enlèvement et le retour imminent du Messie étaient des événements imminents. Parallèlement à la conviction de Lott, l’Institut du Temple, une organisation privée composée de juifs pieux basés à Jérusalem, partageait la croyance que le Temple devait être reconstruit avant le retour du Messie. Cette conviction était enracinée dans l’Ancien Testament, qui stipulait que les cendres d’une génisse rousse étaient nécessaires pour un rituel de purification précédant la reconstruction du Temple. Lott, s’appuyant sur son expertise en matière d’élevage, croyait pouvoir élever la génisse rousse décrite dans les écritures anciennes, une notion qui suscita l’admiration et le respect de l’Institut du Temple en raison de sa sincérité et de sa compétence dans le domaine. Au cours de plusieurs années consacrées à l’élevage, Lott a identifié une génisse Red Angus qui, selon lui, répondait aux critères décrits dans l’Ancien Testament.

L’importance de cette initiative a été renforcée par les complexités historiques et religieuses entourant le mont du Temple, exacerbées par la prise de Jérusalem par Israël en 1967. Le mont du Temple, vénéré comme un site sacré pour les juifs et les musulmans, était un point focal de tension et de discorde. Malgré la présence de lieux saints musulmans, certains juifs religieux persistaient à croire que le Temple devait être reconstruit sur le mont du Temple. En réponse à ces revendications religieuses concurrentes, le gouvernement israélien s’est efforcé de trouver un équilibre délicat. L’arrivée de la vache rousse, une étape cruciale vers la reconstruction du Temple, a eu de profondes implications non seulement dans les cercles religieux juifs, mais aussi potentiellement en phase avec les prophéties chrétiennes relatives à la fin des temps.

2015 : En 2015, des efforts étaient en cours au Mont du Temple pour importer des embryons congelés de vaches Red Angus aux États-Unis, identifiées comme les candidates les plus prometteuses pour produire une progéniture entièrement rouge. Cette initiative visait à établir le premier troupeau de génisses rouges à des fins rituelles en Israël. Le terme « génisse rouge » fait référence à l’exigence selon laquelle la vache doit être une femelle et n’avoir jamais donné naissance. Cependant, cette entreprise s’accompagnait de coûts substantiels.

Pour financer le projet, le Temple Institute a lancé une campagne de collecte de fonds sur Indiegogo, cherchant à réunir plus de 125 000 dollars de dons. Chaque embryon congelé coûtait environ 3 000 NIS (800 dollars). Malgré l’investissement financier, le taux de réussite de l’implantation d’embryons chez les vaches en Israël se situait autour de 30 %. Notamment, l’importation de bovins vivants a été interdite par le ministère de l’Agriculture en raison des inquiétudes concernant la transmission de maladies transmises par le bétail comme la fièvre aphteuse ou la maladie de la vache folle. Par conséquent, les agriculteurs souhaitant introduire une nouvelle race de bovins inexistante en Israël ont été obligés d’utiliser des embryons congelés.

2021 : En 2021, la quête d’une génisse rousse s’est étendue au Texas, où un éleveur de bétail a affirmé que cinq génisses rousses étaient nées dans son ranch en une seule année. L’Institut du Temple d’Israël a dépêché une équipe pour évaluer méticuleusement ces génisses, en adhérant à des normes halakhiques strictes. L’examen mené par les rabbins a été méticuleux, d’une durée de huit heures, au cours desquelles ils ont scruté minutieusement les cinq génisses rousses, prenant de nombreuses photos et vidéos pour documenter leurs conclusions.

2022 : En 2022, une étape importante a été franchie dans les préparatifs de la construction du Troisième Temple à Jérusalem, avec l’arrivée en Israël de cinq génisses d’un rouge impeccable provenant d’un ranch du Texas. L’Institut du Temple a précisé que si ces génisses conservent leur rougeur à 100 % et restent exemptes de toute tache disqualifiante, chacune d’entre elles sera jugée éligible pour fournir les cendres nécessaires aux rituels de purification.

L’importance de cette purification ne saurait être surestimée, car elle est essentielle pour permettre aux cohanim (prêtres) d’accomplir leurs devoirs sacrés dans le futur Temple. À leur arrivée en Israël, les précieuses vaches furent rapidement transportées à Haïfa. Après la période de quarantaine, les génisses furent déplacées vers deux endroits distincts en Israël. Dans ces endroits désignés, les génisses reçurent les soins et la nourriture nécessaires jusqu’à ce qu’elles atteignent l’âge de trois ans, âge auquel elles sont censées être abattues et transformées en cendres nécessaires aux rituels de purification.

2023 : Des centaines d’Israéliens se sont rendus dans la colonie juive de Shiloh, dans le centre de la Samarie, pour accueillir chaleureusement l’arrivée initiale de trois vaches rousses pure race en provenance des États-Unis. D’une importance historique, Shiloh a été la première capitale biblique d’Israël et a abrité le Tabernacle pendant des siècles avant que le roi David ne le déplace à Jérusalem.

2024 : Les Brigades Al-Qassam du Hamas ont prononcé un discours télévisé sur les efforts du Hamas, ainsi qu’un rappel des objectifs de la guerre. Ci-dessous, un extrait de ce discours, notez leur mention de Jérusalem (Al-Qods) et de la mosquée Al-Aqsa (Dôme du Rocher).

« Nous regardons en arrière 100 jours pour nous souvenir des éduqués, des complices et des incapables parmi les puissances mondiales gouvernées par la loi de la jungle, leur rappelant une agression qui a atteint son apogée contre notre voie et Al-Aqsa, avec le début de sa division temporelle et spatiale réelle, et l’apport de « vaches rouges comme application d’un mythe religieux détestable conçu pour l’agression contre les sentiments de toute une nation au cœur de son identité arabe, et le chemin de son prophète (le Voyage nocturne) et l’Ascension au ciel. »

Prophétie biblique et Trump :

On observe une tendance croissante à considérer et à représenter Trump comme une figure ou une icône religieuse. Cette tendance est particulièrement répandue parmi certains groupes juifs en Israël ainsi que parmi les groupes évangéliques aux États-Unis.

« Voici, les jours viennent, dit l’Eternel, où j’accomplirai la bonne parole que j’ai dite sur la maison d’Israël et sur la maison de Juda. En ces jours et en ce temps-là, je ferai éclore à David un germe de justice; Il pratiquera la justice et l’équité dans le pays. En ces jours-là, Juda sera sauvé, Jérusalem aura la sécurité dans sa demeure; Et voici comment on l’appellera: L’Eternel notre justice. Car ainsi parle l’Eternel: David ne manquera jamais d’un successeur assis sur le trône de la maison d’Israël. Les sacrificateurs, les Lévites, ne manqueront jamais devant moi de successeurs Pour offrir des holocaustes, brûler de l’encens avec les offrandes, et faire des sacrifices tous les jours. » Jérémie 33:14-18

En Israël, ainsi que dans les communautés évangéliques et dans d’autres États-Unis, un nombre significatif de personnes perçoivent Donald Trump comme bien plus qu’un simple ex-président ou un ancien présentateur de « The Apprentice ». Au contraire, ils le considèrent comme une figure imprégnée d’un sens de la sainteté, établissant souvent des parallèles entre lui et la figure biblique de David. Ce sentiment est renforcé par la décision de Trump, alors président, de transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, une décision d’une profonde signification religieuse. En outre, Trump s’est activement positionné comme une figure messianique à travers sa rhétorique, ses actions et même dans sa vidéo de campagne présidentielle intitulée « God Made Trump ». Cette représentation a cimenté l’image de Trump comme un leader transformateur et ordonné par Dieu aux yeux de nombre de ses partisans, tant au pays qu’à l’étranger.

Cependant, au milieu de l’adulation fervente de Donald Trump par certaines factions, il existe un récit plus sombre qui le présente comme un élément crucial d’un complot mondialiste plus vaste. Dans ce grand projet, Trump sert de pièce de puzzle orchestrant une sorte d’apocalypse imminente. Ce récit suggère que l’accession au pouvoir de Trump et les actions qui en découlent font partie d’un programme méticuleusement planifié pour semer le chaos et ouvrir la voie à une transformation radicale de la politique et de la religion mondiales.

Le rôle présumé de Trump va au-delà des simples manœuvres politiques : il est en partie impliqué (par le biais de décisions politiques prises au cours de son administration) dans des événements géopolitiques plus vastes, tels que l’attaque orchestrée du 7 octobre contre Israël. Cette attaque aurait jeté les bases de la destruction de la mosquée Al-Aqsa et provoqué une grande guerre sainte, conduisant à un chaos et à des bouleversements de masse.

Les partisans de ce récit soutiennent que ce chaos servira de prétexte à la mise en œuvre de solutions mondialistes sous couvert d’unité religieuse, à la construction d’un troisième temple et à l’émergence d’un prétendu « Messie ». Ainsi, au sein de ce réseau complexe de théories du complot, Trump apparaît comme une figure centrale d’un grand projet qui menace de remodeler l’ordre mondial tel que nous le connaissons.

Une grande partie du battage médiatique religieux peut être liée aux passages bibliques suivants :

  • Esaïe 44:26-28 et 45:1-6 : Ces passages parlent de Cyrus comme d’un instrument choisi par Dieu, le qualifiant même d’« oint » (Esaïe 45:1). Dieu déclare que Cyrus va conquérir des nations et permettre aux Israélites de retourner à Jérusalem et de reconstruire le Temple (Esaïe 44:28).
  • Esdras 1:1-8 et 6:3-5 : Ces passages décrivent le décret de Cyrus autorisant les Juifs à retourner en Judée et à reconstruire le temple. Il leur fournit même un soutien financier et la restitution des vases sacrés pris à Jérusalem par les Babyloniens.
  • 2 Chroniques 36:22-23 : Ce verset relie le décret de Cyrus à l’accomplissement d’une prophétie de Jérémie concernant l’exil des Israélites qui durera 70 ans.

[Note de l’analyste : j’ai écrit plusieurs articles sur Donald Trump en tant que personnage religieux présumé apparenté à un faux prophète ou à une figure messianique, voir l’article 53 : Trump est-il l’Antéchrist ? J’ai également examiné l’une des vidéos de campagne de Trump, truffée de symbolisme et d’images, voir l’article 58 : « Dieu a créé Trump » – Messagerie subliminale. Enfin, j’ai écrit sur les politiques de Trump et sur la façon dont nombre de ces politiques ont façonné les événements actuels, voir l’article 75 : L’agenda de Trump est-il l’agenda des mondialistes ?]

Ingersoll Lockwood – Le dernier président :

Il existe de nombreux éléments qui semblent liés à un plan d’envergure, une opération psychologique massive qui se déroule dans de multiples sphères d’influence. L’un d’entre eux s’est joué sur des groupes de conspiration alternatifs et marginaux comme QAnon. Il relie la figure énigmatique d’Ingersoll Lockwood, le site Web actuel du même nom (avec des liens Web pro-Trump cachés) et un livre écrit il y a plus de cent ans : « Le dernier président ».

Le Dernier Président : En 1900 : ou Le Dernier Président a été publié en 1896. L’histoire se déroule à New York et suit les événements entourant une élection présidentielle controversée aux États-Unis. Le livre décrit le chaos et les troubles civils qui s’ensuivent après qu’un candidat étranger a été élu de manière inattendue comme dernier président des États-Unis.

Le roman est souvent cité pour ses parallèles apparents avec des événements politiques contemporains, notamment l’élection présidentielle américaine de 2016 et ses conséquences. Il y a quelques parallèles intéressants qui méritent d’être mentionnés.

  • Une élection controversée et surprenante : le roman met en scène une élection présidentielle qui se termine par la victoire d’un candidat outsider, provoquant un choc et des troubles civils. Certains ont fait des comparaisons avec l’élection inattendue de Donald Trump en 2016, qui était considéré par certains comme un outsider.
  • Manifestations et troubles civils : Après les élections, le roman décrit des manifestations généralisées, des troubles civils et des bouleversements à New York. Certains lecteurs ont noté des similitudes avec les manifestations et les troubles sociaux qui ont eu lieu après les élections de 2016.
  • La mention de la Cinquième Avenue : le roman de Lockwood mentionne que le soulèvement et les manifestations se concentrent autour de la Cinquième Avenue à New York. Certains ont souligné que la Trump Tower, une propriété bien connue associée à Donald Trump, est située sur la Cinquième Avenue, établissant un lien ténu.

[Note d’analyste : au sujet du site Web d’Ingersoll Lockwood, voici les liens cachés d’aujourd’hui : lien 1 (discours de Trump, lien actif depuis longtemps), lien 2 (un mème Twitter sur la Force spatiale qui contrôle les satellites et donc les transactions monétaires), lien 3 (National Credit Union Association), lien 4 (publicité God Bless the Bible, avec l’image de Trump), lien 5 identique au lien 4, et lien 6 (DHS Blue Campaign – Human Trafficking awareness). Pour en savoir plus sur les bizarreries d’Ingersoll Lockwood et du site Web ainsi nommé, voir le message 30 : Ingersoll Lockwood.]

Importance de la mosquée Al-Aqsa :

La mosquée Al-Aqsa occupe une place primordiale dans le cœur et l’esprit des musulmans du monde entier. Située au cœur de la vieille ville de Jérusalem, elle est non seulement l’un des sites les plus sacrés de l’islam, mais aussi un symbole historique et religieux important. Son importance est intimement liée à l’histoire complexe de la région et aux croyances religieuses des musulmans et des juifs, ce qui entraîne des tensions et des conflits permanents concernant sa propriété et son accès.

Pour les musulmans, la mosquée Al-Aqsa est le troisième lieu saint de l’islam, après la Kaaba à La Mecque et la mosquée du Prophète à Médine. Selon la tradition islamique, c’est là que le prophète Mahomet serait monté au ciel lors de son voyage nocturne (Isra et Mi’raj). La mosquée elle-même, ainsi que le Dôme du Rocher, auraient été construits sur le site de l’ancien Temple juif, ce qui en fait un site d’une immense importance historique et religieuse pour les musulmans comme pour les juifs.

Le site revêt également une grande importance pour les Juifs. Appelé Mont du Temple dans le judaïsme, il abriterait les Premier et Second Temples, les institutions religieuses et culturelles centrales de la vie israélite et juive de l’Antiquité. Le Mur occidental, vestige du Second Temple, est considéré comme le site le plus sacré du judaïsme et se trouve à côté du Mont du Temple.

L’importance historique et religieuse commune du site a donné lieu à une profonde animosité entre musulmans et juifs concernant sa propriété et son contrôle. Les deux parties ont formulé des revendications et des contre-revendications concernant la légitimité de leurs liens historiques et religieux avec le site, ce qui a souvent donné lieu à des conflits et des tensions.

Des accusations et des allégations ont été lancées des deux côtés au sujet du site. Les musulmans accusent Israël de tenter de judaïser Jérusalem et d’empiéter sur le site d’Al-Aqsa, tandis que les juifs accusent les musulmans de nier les liens historiques juifs avec le site et de restreindre l’accès et le droit de prière des juifs. Ces accusations alimentent encore davantage l’animosité et contribuent aux tensions actuelles dans la région.

Historiquement, l’accès des Juifs au site a été limité. Après la guerre des Six Jours en 1967, Israël a conquis Jérusalem-Est, y compris la Vieille Ville et le Mont du Temple. Cependant, reconnaissant la sensibilité du site, Israël a accordé le contrôle du site au Waqf islamique, les Juifs étant autorisés à s’y rendre mais pas à y prier. Cet arrangement visait à maintenir le statu quo et à empêcher une nouvelle escalade des tensions.

Cependant, ces dernières années, la politique israélienne à l’égard du site a changé. En 2017, Israël a installé des détecteurs de métaux aux entrées du site d’Al-Aqsa, déclenchant de nombreuses protestations et condamnations de la part du monde musulman. De plus, en 2019, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé son intention d’autoriser les Juifs à prier sur le site, ce qui a encore exacerbé les tensions et suscité des critiques de la part de la communauté internationale.

La décision de Netanyahou d’autoriser les juifs à prier à la mosquée Al-Aqsa représente une rupture significative avec le statu quo de longue date et a suscité une vive opposition de la part des musulmans du monde entier. Nombreux sont ceux qui craignent que de telles mesures ne conduisent à une nouvelle escalade des tensions et de la violence dans la région, compromettant ainsi les efforts visant à instaurer la paix et la stabilité.

La décision de Netanyahou de restreindre l’accès des musulmans à la mosquée Al-Aqsa pourrait être considérée comme une provocation qui risque d’attiser les tensions et d’inciter à la violence, compte tenu notamment de l’importance religieuse et historique du site pour les musulmans. De telles actions pourraient être interprétées comme faisant partie d’une stratégie plus vaste visant à consolider le contrôle sur les territoires contestés et à affirmer la souveraineté israélienne à Jérusalem.

Les attaques du Hamas du 7 octobre, qui ont été tolérées sans intervention, ont servi de prétexte à une incursion militaire israélienne de grande envergure à Gaza, comme cela s’est déjà produit par le passé. Le conflit qui en a résulté a entraîné de nombreuses pertes humaines parmi les Palestiniens, exacerbant encore les tensions et alimentant le ressentiment et la colère dans la région.

[Note de l’analyste : pour en savoir plus sur les bizarreries entourant les attentats du 7 octobre, voir le billet 15 : Israël – Iran – Troisième Guerre mondiale.]

La perspective d’une guerre élargie impliquant le Hezbollah ajoute un niveau de complexité supplémentaire à la situation. Un conflit avec le Hezbollah, connu pour son arsenal considérable de roquettes et de missiles, constituerait une menace importante pour la sécurité d’Israël et pourrait entraîner des destructions et des pertes massives des deux côtés. Le ciblage potentiel des infrastructures civiles, notamment des réseaux électriques et de communication, pourrait perturber davantage la vie quotidienne et aggraver la situation humanitaire dans la région. En outre, cela pourrait fournir la couverture nécessaire à une action et l’excuse requise pour la destruction de la mosquée Al-Aqsa.

Programmation prédictive : La destruction de la mosquée Al-Aqsa a été montrée dans un court-métrage en images de synthèse de 2012 : I, Pet Goat II. La vidéo, truffée de symboles occultes, est à nouveau active sur la page YouTube « Heliophant » depuis quelques mois.

[Note de l’analyste : pour une analyse approfondie des bizarreries de la vidéo I, Pet Goat II et de son symbolisme, voir le billet 21 : I, Pet Goat II, éclairé ou satanique ? et le billet 22 : I, Pet Goat II – prédit-il l’avenir ?]

En examinant les décisions de Netanyahou, notamment son alignement avec l’Institut du Temple et le projet Red Heifer, ainsi que le paysage géopolitique plus large, un récit inquiétant émerge. L’objectif potentiel et présumé de ces actions va bien au-delà de simples manœuvres politiques ; elles laissent entrevoir un programme plus profond ayant des implications importantes pour la région et le monde.

L’engagement de Netanyahou dans des organisations comme l’Institut du Temple, qui milite pour la reconstruction du Troisième Temple, et le Projet de la Génisse Rouge, qui cherche à satisfaire aux exigences bibliques pour sa construction, soulève des questions sur ses motivations et ses objectifs à long terme. Si officiellement ces initiatives peuvent être présentées comme des questions de liberté religieuse et de préservation du patrimoine, leurs implications vont bien au-delà du domaine de l’expression culturelle.

La décision de Netanyahou de restreindre l’accès des musulmans à la mosquée Al-Aqsa et l’escalade des tensions avec le Hamas et potentiellement le Hezbollah font émerger une tendance inquiétante. La confluence de ces facteurs suggère un effort concerté pour créer un prétexte à une action qui pourrait finalement conduire à la destruction de la mosquée Al-Aqsa et à la construction du Troisième Temple.

Un tel scénario aurait de profondes répercussions pour la région, avec le risque de marginaliser et de déplacer davantage les Palestiniens, aggravant une situation humanitaire déjà désastreuse. De plus, la portée symbolique de ces événements ne peut être sous-estimée, car ils sont susceptibles d’attiser la ferveur religieuse et l’instabilité géopolitique à l’échelle mondiale.

[Note de l’analyste : pour en savoir plus sur l’idée de troubles civils et de division religieuse intentionnelle, voir le billet 31 : Troubles civils – Développement.]

Un « autel massif » a maintenant été préparé en Israël pour le sacrifice de la génisse rousse.

Importance historique du temple avec l’occultisme :

Le Temple de Salomon, et sa version ultérieure sous le nom de Temple de David, revêtent une importance capitale non seulement dans la tradition israélite et juive antique, mais aussi dans les traditions ésotériques et mystiques telles que la Kabbale et l’hermétisme. Au-delà de leur fonction religieuse conventionnelle, ces temples ont captivé l’imagination des praticiens des écoles de mystères secrets et des traditions occultes à travers l’histoire, servant de points focaux du pouvoir spirituel et de dépositaires de connaissances cachées.

Dans la mystique juive, notamment dans la tradition de la Kabbale, le Temple représente un microcosme de l’univers, incarnant les principes divins et les énergies cosmiques. L’architecture et les rituels associés au Temple sont interprétés comme des expressions symboliques de l’ordre divin, fournissant un modèle pour l’ascension spirituelle et la contemplation mystique. Dans le cadre de la pensée kabbalistique, le Temple sert de pont entre le monde terrestre et les mondes divins, facilitant le voyage du pratiquant vers la transformation spirituelle et l’union avec le divin.

De même, dans l’hermétisme, une tradition ésotérique enracinée dans les enseignements attribués à Hermès Trismégiste, le Temple de Salomon revêt une signification profonde en tant que symbole de l’alchimie spirituelle et de la transformation de l’âme. L’architecture et le symbolisme du Temple sont considérés comme des représentations allégoriques des étapes de l’évolution spirituelle, chaque aspect de la structure correspondant à un aspect différent du voyage intérieur du praticien. Par l’étude et la contemplation des mystères du Temple, les hermétistes cherchent à percer les secrets de l’univers et à atteindre l’illumination.

Dans la Franc-Maçonnerie, qui s’inspire à la fois de la Kabbale et de l’Hermétisme, le Temple de Salomon occupe une place centrale dans sa mythologie symbolique. La légende d’Hiram Abiff, le maître artisan associé à la construction du Temple, sert d’allégorie au voyage maçonnique d’initiation et de transformation spirituelle. Dans les rituels et les enseignements maçonniques, le Temple symbolise le sanctuaire intérieur de l’âme, dans lequel le chercheur s’efforce de purifier et de perfectionner son être, pour finalement atteindre les plus hauts degrés d’illumination spirituelle.

En résumé, le Temple de Salomon et son importance ultérieure dans le Temple de David ont transcendé leurs contextes historiques et religieux pour devenir de puissants symboles de sagesse spirituelle et de connaissance ésotérique. Dans diverses traditions mystiques telles que la Kabbale, l’Hermétisme et la Franc-Maçonnerie, le Temple sert de point focal pour l’exploration et l’illumination spirituelles, incarnant la quête intemporelle de la vérité divine et de la transformation intérieure.

[Note de l’analyste : l’importance du symbolisme occulte du Temple de Salomon ne peut être sous-estimée, car il est un pilier de l’idéologie franc-maçonnique, et donc une force motrice du Grand Œuvre des Âges. Ne sous-estimez pas l’impulsion des lucifériens mondialistes, déterminés à instaurer un Nouvel Ordre Mondial par la guerre et l’introduction d’une Nouvelle Religion Mondiale.]

L’Apocalypse Psyop :

Dans cet examen spéculatif, cette sous-pile entretient l’idée que les événements mondiaux sont délibérément orchestrés pour manipuler les croyances en une apocalypse imminente, ouvrant ainsi la voie à un nouvel ordre mondial.

[Note de l’analyste : la lettre d’Albert Pike semble être une autre opération psychologique. La chaîne alambiquée de qui a fait quoi n’est rien d’autre qu’une longue série de rumeurs. Pourquoi Albert Pike ? Probablement parce qu’Albert Pike était un franc-maçon du 33e degré qui a écrit « Morals & Dogma », et donc une figure importante de la franc-maçonnerie. Il en était de même pour Ingersoll Lockwood. Rappelons que Pike a fait valoir que Lucifer est le vrai dieu.]

L’idée qu’un ensemble d’événements, qui pourraient être interprétés comme la Fin des Temps , soit délibérément orchestré, est abordée en détail dans le Post 63 : The Apocalypse Psyop. Dans cet article, Albert Pike (un célèbre franc-maçon) est évoqué, et en particulier une lettre des médias alternatifs qui avait circulé il y a quelque temps. La lettre affirme que la troisième guerre mondiale sera provoquée par la création d’une division entre les sionistes et les islamistes, qui engloberait une grande partie du monde.

[Note de l’analyste : rappelons que la couverture de The Economist de 2012 avait représenté un conflit entre le Hamas et Israël impliquant l’utilisation d’avions ultra-légers, prédisant en fait des événements futurs. Il s’agit peut-être d’un autre exemple de planification à long terme et de programmation prédictive et de révélation de la méthode.]

Essentiellement, la notion d’« apocalypse », telle que propagée par diverses entités influentes telles que Hollywood, les médias grand public, les gouvernements, les médias alternatifs, les médias sociaux et les grandes institutions religieuses, semble être une opération psychologique conçue pour instiller la peur et faciliter un programme de contrôle plus large.

En conclusion :

En conclusion, le réseau complexe de dynamiques religieuses, politiques et géopolitiques qui entoure la mosquée Al-Aqsa et le complexe du Mont du Temple souligne la nature volatile de la situation au Moyen-Orient. L’alignement de Netanyahou avec des organisations telles que le Temple Institute et le Red Heifer Project, ainsi que les aspirations sionistes plus larges, soulèvent des questions sur les motivations sous-jacentes des politiques israéliennes dans la région.

En outre, le rôle de l’ancien président Trump en Israël, souvent présenté comme un sauveur et une figure religieuse, ajoute un niveau de complexité supplémentaire aux événements en cours. La décision de Trump de transférer l’ambassade américaine à Jérusalem et son soutien perçu aux intérêts israéliens ont encore renforcé certaines factions au sein d’Israël. L’implication des États-Unis dans le conflit israélo-palestinien, associée au symbolisme des génisses rouges – dont les origines remontent aux États-Unis – et à l’idée de fabriquer la « Fin des temps », dresse un tableau troublant de chaos orchestré et de manipulation.

Alors que les théories du complot et les programmes prédictifs laissent entrevoir la possibilité d’une apocalypse forcée, il devient impératif d’examiner les événements géopolitiques avec un œil critique. En fin de compte, pour parvenir à la paix et à la stabilité dans la région, il faudra une compréhension globale des multiples facteurs en jeu et un effort concerté pour répondre aux griefs et aux aspirations sous-jacentes de toutes les parties concernées.

Il ne faut pas sous-estimer la convergence d’événements célestes, notamment l’éclipse solaire du 8 avril, le passage de la « comète du diable » et la Pâque imminente du 22 avril, qui marquent une période potentiellement importante au cours de laquelle les occultistes peuvent orchestrer le sacrifice de la Génisse rousse. Cet alignement de phénomènes célestes revêt une immense importance symbolique dans les traditions occultistes, les praticiens interprétant souvent ces événements comme des moments propices à la mise en œuvre de pratiques rituelles.

Il faut donc être attentif à une escalade au Moyen-Orient qui inclurait Israël et le Hezbollah. Le sacrifice d’une génisse rousse. La destruction possible et ultime de la mosquée Al-Aqsa, et une guerre plus vaste qui inclurait l’Iran et une grande partie du monde musulman contre les sionistes et leurs sympathisants, c’est-à-dire une grande partie du monde occidental. Tout cela est lié aux politiques de migration massive mises en œuvre délibérément au cours des dernières décennies.

Dernières réflexions : L’avenir n’est pas inévitable. Les machinations de quelques-uns ne doivent pas nécessairement prendre le dessus sur le pouvoir collectif d’une population en éveil, qui a le pouvoir de manifester un avenir meilleur. Prions pour la paix, un réveil à la vérité et la révélation des mensonges. Les mensonges ne peuvent pas opérer à la lumière du jour.


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Paul Philippe
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