Il y a quelques jours, j’ai découvert un commentaire que Virginie Kyburz a publié sur le réseau X concernant l’affaire JFK Jr., alias David Keith Quigley. Celle-ci a lu son livre “Stolen Identity” (Identité volée) publié en 2023, à la suite duquel elle semble être convaincue qu’il s’agit bien du vrai JFK Jr. « Ce sont les photos qui me font dire cela », écrit-elle. Virginie se base aussi sur le commentaire d’une internaute qui suppose que Jacqueline Kennedy était en réalité un homme et qu’« elle » aurait été engagée par la CIA pour assassiner John F. Kennedy. Personnellement, je ne crois pas que Jackie O était un homme, et ceci pour plusieurs raisons. Par contre, le fait qu’elle ait été engagée par la CIA pour assassiner JFK est assez probable. Cela a été discuté par plusieurs analystes, dont Patrick Scrivener. La journaliste Jacqui Deevoy pose la question : « Se pourrait-il que ce soit Jackie, engagé par la CIA, qui ait tiré le coup fatal dans la gorge de Kennedy ce matin ensoleillé d’automne de 1963 ? » [The New Zealand Herald, 22 novembre 2017] Déjà, pour vous faire une idée de cet imbroglio entre la CIA et les Onassis/Kennedy, je vous invite à lire l’article intitulé “Les écrits de Patrick Scrivener corroborent ceux de David Keith Quigley, alias JFK Jr. : Aristote Onassis était lui-même une doublure de la CIA” publié le 2 octobre 2024. Vous pouvez aussi lire l’article du 18 octobre qui fait le lien entre le film de Roman Polanski “Rosemary’s Baby”, les Kennedy, les Onassis et le “fils secret” de la cantatrice grecque Maria Callas, c’est-à-dire l’imposteur John-John.
C’est donc avec son aimable autorisation que je publie le commentaire de Virginie Kyburz. Celle-ci est une psychologue clinicienne formée à la psychothérapie psychanalytique et au diagnostic. Elle a exercé le mandat de juge assesseure spécialisée de l’Autorité de Protection de l’Enfant et de l’Adulte (APEA) des tribunaux neuchâtelois de 2013 à 2019. Ayant l’habitude des analyses comportementales, nous pouvons donc considérer son texte. « Je ne pense pas détenir une quelconque vérité mais je pose des hypothèses », m’écrivait-elle en privé. Mais comme elle le dit elle-même : « On a encore tant à découvrir… »
Je vous rappelle que David Keith Quigley affirme être le véritable JFK Jr., alors qu’il se serait fait voler son identité à l’âge de 10 ans et aurait été remplacé par le fils illégitime de Maria Callas et d’Aristote Onassis, c’est-à-dire George Onassis, alias « John-John ». Quigley écrivait dans l’introduction de son livre “Stolen Identity” (Identité volée) : « Tous ces meurtres avaient pour but de voler la fortune des familles Kennedy et Onassis. Les actions et attitudes de ceux qui ont commis ces actes odieux vont au-delà du mal et de l’avidité. Ils existent dans un monde de folie que les gens ordinaires auraient du mal à comprendre. Ils ont leur propre langue, leur culture et leur code de conduite. Pendant la majeure partie de ma vie, j’ai été un cerf-volant dans la féroce tempête de ces fous. D’une manière ou d’une autre, quelqu’un en bas tenait le bout de la ficelle, et je suis donc toujours là, vivant pour raconter mon histoire. »
Jackie Kennedy et le vrai JFK Jr.
Il y a quelques mois, j’ai lu le livre “Stolen Identity. Unveiling the real John Kennedy Jr.” de David Keith Quigley ou plutôt, peut-être, le livre du vrai JFK Jr… tel qu’il le prétend et signe l’ouvrage. Voici le canal Telegram de cet homme : https://t.me/davidkeithquigley.
Il semble bien que cet homme soit le vrai JFK Jr. Ce sont les photos qui me font dire cela (la photo de profil du canal Telegram cité compare pour exemple le visage de Quigley à celui de JFK…). Je ne me suis pas saisie comme prévu du logiciel de reconnaissance faciale chinois (Face++) pour ajouter des chiffres à cette hypothèse, par manque de temps. Le logiciel en question se trouve à cette adresse, pour ceux que cela intéresse : https://faceplusplus.com.
Je m’étais fait une idée assez précise des manipulations dont cet homme, David Keith Quigley, remplacé par le JFK Jr officiel (qui serait un Onassis) avait été victime, mais des zones d’ombre subsistaient… et tout récemment une nouvelle pièce du puzzle est apparue.
En effet, il y a quelques jours, je tombe sur cette nouvelle information qui me laisse sans voix, mais qui nous permet de mieux appréhender, il me semble, la possibilité que David Keith Quigley soit bien le vrai JFK Jr… : Jackie Kennedy serait un (et pas une) Onassis formé par la CIA pour épouser JFK… dingue mais crédible… La source de cette nouvelle information se trouve ici.
Cela signifie en toute logique que le garçon de JFK (s’il est bien de lui) que l’on voit sur toutes les images présidentielles avant la mort de son père n’est pas celui de « Jackie »… Et que du coup la thèse de David Keith Quigley commence à prendre une forme intéressante… Ce dernier n’est pas connu du public ou des mainstream donc je vois mal comment cet homme pourrait être une opposition contrôlée. Du coup, il est sans doute de bonne foi. Mais en tant qu’enfant MK Ultra, il a été trompé. Sur tout un tas de choses.
Il semble croire que sa mère Jackie est un bonne personne (jusqu’à, selon lui, que cette dernière ait été remplacée) : elle a été à ses côtés quand il était petit. Si “Jackie” était bien infiltré-e, quelle capacité “maternelle” a-t-il/elle été capable de déployer ? Quelle place en tant “qu’épouse” auprès de son mari qui, malgré la structure psychique névrotico-normale de ce dernier (pour comprendre le concept, suivre mon canal Telegram consacré aux 3 structures psychiques), n’aurait eu de cesse de la tromper ? La source précitée évoque quant à elle une autre piste : une homosexualité dans le chef de JFK. Passons. Je n’ai aucun élément à ce sujet.
Bref : l’on comprendrait ainsi très bien que « Jackie » soit retourné-e aux Onassis après la « mort » (l’exfiltration ?) de JFK. Et que ce soit un Onassis qui ait pris la place de David Keith Quigley… (le Junior officiel). Jackie serait juste redevenu « elle »-même en traitant mal, après la mort de son mari, le vrai garçon de JFK.
On a encore tant à découvrir…
➽ Jackie Kennedy, agent de la CIA, a flirté avec Lyndon B. Johnson après l’assassinat de John F. Kennedy
➦ Par Henry Makow, le 19 février 2018
Écoutez Jackie Kennedy flirter avec l’homme (Lyndon B. Johnson) dont elle croyait qu’il avait tué son mari, quelques mois seulement après l’assassinat. Cela donne de la crédibilité à l’affirmation peu connue selon laquelle Jackie Kennedy était un agent de la CIA. Certains pensent même qu’elle était impliquée dans l’assassinat. L’auteur irlandais Noel Kilkenny, alias Patrick Scrivener, écrit sur son site internet : « Le 21 juin 1942, Janet [la mère de Jackie] épousa Hugh Auchincloss, un ami proche des Rockefeller, des Morgan et des Dulles Brothers. Auchincloss était donc désormais le beau-père de Jacqueline et Caroline Lee Bouvier. C’est Auchincloss qui recommanda Jackie O pour le poste de première espionne de la CIA nouvellement créée. » Pour sa part, Christina Onassis a enfreint sa propre règle lorsqu’elle a dit à un ami : « Jackie était la personne la plus mercenaire que j’aie jamais rencontrée. Elle pense, parle et rêve d’argent, rien que d’argent. Le plus drôle, c’est que je lui aurais donné cinquante fois ce que je lui ai donné pour le plaisir de ne plus jamais la revoir. Ce qui m’étonne, c’est qu’elle survive alors que tout le monde autour d’elle tombe. Elle est dangereuse, elle est mortelle. » (Michael Wright, “All the Pain That Money Can Buy: The Life of Christine Onassis”, p. 210).
Jackie et Lyndon B. Johnson (LBJ) étaient complices. Ils avaient un point commun : ils avaient tous deux été écartés de la vie privée de John F. Kennedy. Peut-être leur amertume les a-t-elle poussés à conclure un accord pour s’entraider afin de faire disparaître la source. LBJ savait que les républicains voulaient enquêter sur ses éventuelles pratiques de corruption, et Jackie savait sans aucun doute que la liaison de son mari avec une possible espionne communiste, Ellen Rometsch (ainsi que son mariage secret avec Durie Malcolm) était sur le point d’être rendue publique.
Les conversations téléphoniques enregistrées entre LBJ et Jackie peu après l’assassinat révèlent une familiarité excessive de la part de LBJ qui pourrait provenir du fait qu’il connaissait le rôle de Jackie ce jour-là à Dallas. Il semble qu’il ait utilisé cette information à outrance pour contraindre Jackie à une relation plus intime avec lui. Jackie ne savait apparemment pas qu’elle était enregistrée mais semble choisir ses réponses avec soin, peut-être en raison de sa formation à la CIA et de son sens politique.
LBJ : Écoute, ma puce. Maintenant, la première chose que tu dois apprendre, c’est que tu as des choses à apprendre, et l’une d’entre elles, c’est que tu ne m’embêtes pas. Tu me donnes de la force.
JBK : Mais je n’allais pas t’envoyer une lettre de plus. J’avais tellement peur que tu répondes.
LBJ : Ne m’envoie rien, ne m’envoie rien ! Tu viens juste et tu me prends dans tes bras. C’est tout ce que tu fais. Quand tu n’auras rien d’autre à faire, allons faire une promenade. Allons faire un tour dans la cour et laisse-moi te dire combien tu comptes pour nous tous et comment nous pouvons continuer si tu nous donnes un peu de force !
JBK : Mais tu sais ce que je voulais te dire à propos de cette lettre ? Je sais combien une lettre de la main d’un président est rare. Sais-tu que j’en ai plus de la main de ton écriture que de celle de Jack maintenant ?
Lors d’un second appel téléphonique, Johnson dit à Jackie : « Ta photo était magnifique. Tu avais le menton relevé et la poitrine bombée et tu étais si jolie en première page du New York Daily News aujourd’hui (…) Je le regarde en ce moment, et je viens d’arriver, je me suis assis à mon bureau et j’ai commencé à signer beaucoup de longs documents, et j’ai décidé que je voulais flirter un peu avec toi. »
Jacqueline Bouvier, une agente de la CIA ?
Jacqueline Bouvier était une agente de la CIA chargée d’infiltrer le clan Kennedy alors qu’il gravissait les échelons politiques. Voici un extrait d’une biographie en ligne de Jackie (entre autres) qui cite ce fait. « Jackie … s’est inscrite à l’Université George Washington à Washington, DC, où elle a obtenu son diplôme en 1951. Elle a pris un emploi à la CIA et en janvier 1952, elle est allée travailler dans un journal de Washington, où elle était photographe. Au cours d’une mission, elle a rencontré le sénateur américain John F. Kennedy. Ils se sont mariés le 12 septembre 1953. Leur premier enfant, qui a survécu, était Caroline Kennedy, née le 27 novembre 1957. » La biographie complète peut être lue ici. Jackie a peut-être simplement suivi les ordres de ses supérieurs pour atteindre leur cible.
La longue association de Jackie et de sa mère avec George de Morenschildt, un agent connu de la CIA, ami le plus proche de Lee Harvey Oswald, connaissance de George HW Bush, LBJ, Abraham Zapruder (!) et d’autres, me conduit à me demander s’il était, peut-être, le « gestionnaire » (handler) de Jackie (et peut-être de sa mère), ainsi que celui de Lee Harvey Oswald !
Voici un extrait d’un site consacré à une publication intitulée “Timeline Chart”, dont il est question sur ce forum : « J’ai commencé à faire des recherches sur les 26 volumes de la Commission Warren pour trouver des indices, lorsque je suis tombé sur George de Mohrenschildt. J’ai trouvé étrange qu’un homme qui rendait régulièrement visite à la mère de Jacqueline Kennedy se lie également d’amitié avec l’assassin présumé, Lee Harvey Oswald. Au cours des premières années de mes recherches, j’ai même fait un cauchemar dans lequel Jackie Kennedy avait été impliquée dans l’assassinat. J’ai commencé à envisager cette possibilité ou la possibilité que sa mère, Mme Hugh D. Auchincloss, soit impliquée. Mais j’en ai conclu que personne de sensé n’aurait placé sa fille ou elle-même dans une décapotable ouverte avec la possibilité d’être abattue, car Jackie était assise à un mètre de JFK ce 22 novembre 1963 fatidique. De Mohrenschildt a témoigné qu’avant même la naissance d’Oswald, il rendait visite quotidiennement à Jackie et à sa mère en 1938 à Easthampton, New York. Vous trouverez peut-être, comme moi, cela difficile à digérer. »
La mère de Jackie, Janet Norton Lee Bouvier Auchincloss, était d’origine juive. Le nom d’origine de son père était « Levy » mais il a été changé en « Lee » lorsque ses parents ont émigré aux États-Unis. [Elle était liée à la CIA et connaissait George de Mohrenschildt et Allan Dulles.] À cause de son alcoolisme, de ses fréquentations de coureurs de jupons et de son incapacité à garder ses filles éloignées, Janet a divorcé de Jack [Bépuvier, le père de Jackie] en 1940. Jack était irrésistible pour les femmes qui le prenaient souvent pour Clark Gable. Après son divorce avec Janet, Jack a acheté un appartement à Manhattan et Jackie a passé les week-ends avec lui pendant qu’elle fréquentait le Vassar College.
Coup d’état de la CIA en France
En juin 1951, Jackie O et sa sœur cadette Caroline Lee furent envoyées en Europe en « vacances ». En réalité, Alan Dulles voulait renverser le gouvernement légitime français et le remplacer par une dictature militaire. Le renversement des gouvernements constitutionnels est la raison d’être de la CIA. La couverture d’espionnage de Jacke était “reporter” pour le magazine Vogue. Vincent Jules Auriol fut le premier président de la IVe République française. Une équipe de la CIA était déjà présente en France, prévoyant de le renverser et de le remplacer par une dictature militaire. Jackie O et sa sœur faisaient partie de cette équipe. Grâce à la Direction générale de la sécurité extérieure et à la Direction générale de la sécurité intérieure, le complot fut déjoué. La France resta une République, dotée d’une politique étrangère indépendante, et ne fut jamais prise dans l’hystérie anticommuniste de Dulles, Joe McCarthy et autres fanatiques de droite.
Les deux espionnes découragées rentrèrent chez elles en septembre 1951. Cette expérience en France fut considérée comme un bon entraînement pour les futurs exploits de la James Bond féminine.
La deuxième mission de Jackie fut un coup d’État réussi de la CIA à Cuba !
Même si ce coup d’État a échoué, Dulles a dû être très satisfait de la performance de sa première espionne, car elle a été recommandée pour une formation plus avancée. D’octobre 1951 à janvier 1952, on ne sait rien de l’endroit où se trouvait Jackie O. Il est fort probable qu’elle suivait un entraînement intensif aux opérations secrètes en vue de sa prochaine mission de grande importance :
« Il n’existe aucune trace des activités de Jackie d’octobre 1951 à janvier 1952. Elle et Lee ont voyagé en Europe pendant l’été, un voyage qui était un cadeau de fin d’études pour Lee, qui venait de terminer Miss Porter et était sur le point d’aller à Sarah Lawrence. Les sœurs Bouvier ont créé un charmant album de leur voyage, qu’elles ont publié plus tard dans les années 1970 sous le titre One Special Summer. Elles sont revenues d’Europe le 15 septembre et le travail de Jackie en tant que photographe curieuse pour le Washington Times-Herald a commencé en janvier 1952, mais il n’existe aucune trace dans aucune des nombreuses biographies qui ont été écrites sur Jacqueline Kennedy Onassis et qui couvrent ses activités à la fin de l’automne et au début de l’hiver 1951. »
(Jay Mulvaney, “Diana and Jackie: Maidens, Mothers, Myths”, pp. 73-74)
Après avoir terminé sa formation à la CIA, Jackie O fut envoyée à Cuba pour participer à un coup d’État de la CIA contre le gouvernement légalement élu de Cuba… Aidé par Jackie O et la CIA, Fulgencio Batista prit le pouvoir en mars 1952. Ce fut la fin de l’âge d’or pour Cuba.
Jackie O parlait couramment l’espagnol et avait déjà vécu la tentative de coup d’État en France. Jackie a également été intimement impliquée dans la Révolution qui a porté le « communiste » Fidel Castro au pouvoir en 1959. La dictature de Fulgencio Batista a conduit directement à la dictature de Fidel Castro. À partir de 1952, le pays a été ruiné par la CIA, dont la mafia a pris le contrôle de l’économie. Ce qui a finalement conduit à la crise des missiles de Cuba, ce sont les liens étroits entre Castro, agent de la CIA, et Nikita Khrouchtchev, agent du MI6.
Mission John Fitzgerald Kennedy
Après avoir ruiné Cuba avec une dictature militaire, la prochaine mission de Jackie était d’épouser un jeune sénateur du Massachusetts nommé John Fitzgerald Kennedy. En suivant la carrière de la James Bond féminine, on peut prouver de manière concluante qu’elle était entièrement la propriété de l’Agence. Une fois que vous avez réussi un « coup » ou une exécution, vous leur appartenez complètement pour le reste de votre vie. Rien ne peut vous sortir du piège de la CIA, sauf une intervention divine. C’est pourquoi vous ne trouverez pas beaucoup d’anciens espions écrivant leurs autobiographies.
Au début de l’année 1952, Jackie O décroche un emploi de « reporter » et de photographe au Washington Times-Herald. Les yeux de hibou de Jackie, associés à sa vision périphérique extraordinaire, font d’elle une excellente photographe. Ce travail ne lui déplut pas trop, car il consistait simplement à prendre des photos et à poser des questions idiotes aux gens. Peu de temps après avoir accepté le poste de photographe curieuse, Allen Dulles lui lança une bombe. On lui dit d’utiliser son travail pour rencontrer et épouser un jeune sénateur du Massachusetts nommé John Fitzgerald Kennedy… Jack était tout aussi réticent à épouser Jackie, mais son père menaça de le déshériter s’il n’obtempérait pas.
Il n’y avait pas deux personnes différentes dans aucun pays. La passion de Jackie était l’équitation, mais Jack était allergique aux chevaux ! Mais il « montait » tout ce qui portait une jupe !
Au début, Jackie O abhorrait l’idée d’épouser Jack, mais les ordres sont les ordres, surtout lorsqu’ils venaient de son patron Alan Dulles.
Depuis que son père l’a forcé à divorcer de sa première femme, Durie Malcolm, Jack n’avait aucune envie de se remarier. Le père de Jack, le tristement célèbre Joe Kennedy, tenait tous les cordons de la bourse de la famille et menaçait de ruiner Jack financièrement s’il ne se conformait pas à ses ordres. Jackie prévoyait en fait d’épouser un jeune agent de change du nom de John Husted… Janet ne faisait que suivre les ordres de son mari et d’Allan Dulles. Jackie a peut-être été consolée par Dulles, qui lui a rappelé que Jack était très malade et qu’il pouvait mourir à tout moment. Comme Diana Spencer avant son mariage avec le prince Charles, Jackie O croyait que Jack changerait après le mariage.
La quatrième mission de Jackie fut un coup d’État de la CIA aux États-Unis ! Peu de temps après la nomination de Lyndon Johnson à la vice-présidence, Dulles lui rendit visite au Texas et l’informa de son rôle dans le coup d’État à venir. Il lui rappela le coup d’État réussi à Cuba et le fait que la femme du président était de la CIA jusqu’au bout. Le sinistre général Edward Lansdale était chargé de la planification minutieuse du coup d’État. Il rassura Curtis « Mad Bomber » LeMay en lui disant qu’il lancerait sa première frappe contre l’Union soviétique dès l’assassinat de Kennedy.
Quand Allen Dulles a parlé à Jackie O de son rôle dans le coup d’État à venir, elle n’était pas très enthousiaste. Imaginez que quelque chose se passe mal ou que le complot se retourne contre elle. Lorsque Dulles l’a rassurée en lui disant que le Pentagone, le FBI et la police locale de Dallas coopéreraient pleinement, elle a finalement accepté. Dulles lui a également assuré que la CIA et le FBI feraient tout leur possible pour éliminer quiconque remettrait en question son rôle dans l’assassinat.
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« Guy, tu me tiens occupé à lire tout ce que tu fais, c'est fantastique et surtout très intéressant car chaque fois que je te lis je me dis bon enfin un journaliste indépendant qui comprend ce qui se passe ! »
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs AuthorsDen et de la Nonfiction Authors Association (NFAA) aux États-Unis. Il adhère à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).