Vous êtes toutes et tous invité(e)s au lancement du livre choc de Guy Boulianne, intitulé « La Société fabienne: Les maîtres de la subversion démasqués ». Guy Boulianne est le fondateur des Éditions Dédicaces. Il profitera de cette occasion pour célébrer ses 35 ans de carrière et les dix ans d’existence de la maison d’édition. Achetez votre billet dès maintenant et vous aurez droit, non seulement au livre de l’auteur, mais aussi à un livre surprise au choix de l’éditeur d’une valeur minimum de 17 $ (les premiers arrivés seront les premiers servis).
L’événement aura lieu dans le décor très chaleureux du Café-Bar Saint-Sulpice, à Montréal, dimanche le 15 septembre de 15:00 à 17:00. Vous pourrez cueillir vos livres sur place, sur la présentation de votre billet. Ceux-ci sont en vente en cliquant sur le bouton ci-dessous.
La Société fabienne
Soutenue par les Rothschild et les Rockefeller, la Société fabienne (Fabian Society) est à l’origine de ce qu’on appelle aujourd’hui le Nouvel Ordre Mondial par l’intermédiaire de ses nombreuses ramifications, dont le Council on Foreign Relations (CFR), le Bilderberg, la Commission Trilatérale et d’autres instruments de pouvoir antidémocratique.
La Société fabienne est aussi à l’origine des Nations Unies et autres organisations supra-nationales. A partir des années 1920, le gouvernement mondial a été particulièrement promu par le département des relations internationales de la London School of Economics, une université fondée par la Société fabienne.
Cette prestigieuse école de sciences économiques a formé dans un esprit fabien des générations de dirigeants, dont l’ancien président de la Commission européenne – Romano Prodi, la reine du Danemark Margarethe II, l’ex-premier ministre canadien Pierre Elliott Trudeau, le financier George Soros (fondateur de l’institut Open Society) et l’ex-premier ministre du Québec Jacques Parizeau (nous vous rappelons que le Parti Québécois est membre du Montreal Council on Foreign Relations, une filiale du CFR, créé par les mondialistes fabiens Rockefeller).
Le livre de Guy Boulianne, « La Société fabienne : Les maîtres de la subversion démasqués », vous dévoilera des informations qui vous feront mieux comprendre les enjeux actuels de la mondialisation, de l’immigration massive et du multiculturalisme. L’objectif de la Société fabienne étant de détruire les identités raciales et culturelles, le nationalisme et de mettre fin à la démocratie en utilisant les principes du socialisme démocratique et du gradualisme dans le but ultime d’implanter un gouvernement mondial, sous l’égide d’un régime totalitaire.
Vous pouvez écouter l’entrevue de Guy Boulianne ci-haut, ou vous rendre directement sur Youtube.
Le Café-Bar Saint-Sulpice
Les Terrasses Saint-Sulpice sont citées dans les guides touristiques comme étant un point de repère incontournable de la métropole montréalaise. Véritable institution, les Terrasses Saint-Sulpice sont situées au cœur du Quartier latin, au 1680, rue St-Denis à Montréal.
Elles sont installées dans une magnifique résidence victorienne érigée à la fin du 19e siècle par le président de la Banque Hochelaga et qui devint ensuite la résidence du Lieutenant-gouverneur Évariste Leblanc. Aujourd’hui restaurée, cette résidence abrite les Terrasses Saint-Sulpice et est devenue un haut lieu de rencontres où se déroulent de nombreuses manifestations sociales, artistiques et culturelles.
Fondées en 1980 par le docteur en psychologie Maurice Bourassa et le diplomate Pierre-Luc D’Orsonnens, les Terrasses Saint-Sulpice étaient au départ un petit café-bar qui se voulait d’abord un lieu d’échanges social et culturel. Le bar respecte toujours l’aspect du lieu convivial où les gens peuvent venir en toute quiétude, puisque l’on y retrouve une sécurité des clients basée sur l’accueil et la prévention.
En vue de préserver le caractère patrimonial du site, les fondateurs ont favorisé le maintien de l’architecture originale et des matériaux d’époque de cette résidence et ce en mettant en valeur à la fois ses boiseries, la configuration des pièces, qui deviennent autant de bars d’ambiances différentes, ainsi que ses jardins. Les Terrasses Saint-Sulpice comptent plus de 1000 places réparties sur 4 étages, une terrasse en façade ainsi qu’un immense jardin-terrasse située à l’arrière de l’édifice, un havre de tranquillité où l’on peut se reposer sous les féviers au son d’une magnifique fontaine.
Les Terrasses Saint-Sulpice tirent leur nom de l’ancienne Bibliothèque Saint-Sulpice installée dans l’immeuble voisin et où était située jusqu’à récemment la Bibliothèque nationale. En utilisant le nom Saint-Sulpice, les fondateurs des Terrasses ont voulu perpétuer la mémoire du nom de cette institution.
Les Terrasses Saint-Sulpice sont au cœur de la vie culturelle montréalaise et québécoise. Le bar se veut culturel de par l’ambiance qui y prévaut et aussi par les nombreux événements qui s’y produisent : lancements, vernissages, conférences de presse, récitals, etc. L’endroit recèle en outre de biens culturels, telle, à titre d’exemple, une sculpture d’Armand Vaillancourt dévoilée lors du 30e anniversaire des Terrasses, ou encore des toiles de plusieurs peintres, une fontaine monumentale placée au cœur du jardin intérieur de la terrasse, etc.
« Monsieur. Votre travail est impressionnant et mes plus sincères félicitations et remerciements de votre présence. »