Covid-19 / Great Reset — Les totalitaires visent une société utopique dans laquelle les maux sociaux, réels ou imaginaires, sont éliminés

Cet article s’adresse particulièrement à celles et ceux qui croient encore que le Président des États-Unis, Donald Trump, fera différemment que les autres dirigeants mondialistes. Bien sûr, le président américain a indiqué prendre de l’hydroxychloroquine pour se prémunir du coronavirus, [1] mais ceci a pour principal objet de préserver et de garder un contrôle sur sa base électorale qui se compose en grande partie de « patriotes » antimondialistes et réfractaires à toutes les législations qui pourraient enfreindre leurs droits au sein de la Constitution des États-Unis.

Dans le même temps, le président annonçait son objectif de développer 300 millions de doses de vaccin COVID-19 d’ici janvier 2021, suffisamment pour protéger la plupart des Américains. [2] L’Opération Warp Speed (OWS), un programme nouvellement créé pour relier toutes les principales entités fédérales, médicales et de surveillance, ainsi que l’armée, a été chargée de cette tâche visant à accélérer le développement, la fabrication et la distribution de vaccins de COVID-19, de produits thérapeutiques et de diagnostics (collectivement appelés contre-mesures). Le Président Trump a salué le programme et a déclaré qu’il le superviserait lui-même. [3] À l’intérieur de lui, l’homme est sans doute de bonne volonté, mais on ne peut nier le fait qu’il fait partie de la même élite mondialiste que ses homologues. En 2019, il participa par personnes interposées à la réunion du groupe Bilderberg en Suisse, entre autres par l’intermédiaire de son gendre Jared Kushner et de son secrétaire d’État Mike Pompeo. [4] Il participa aussi au Forum économique mondial en 2020, année où fut annoncée la « grande remise à zéro » (Great Reset) de l’humanité [5] qui est elle-même alignée à l’Agenda 21 des Nations Unies. [6] Par contre, il est vrai que celui-ci prononça un discours empreint de patriotisme :

« Mais pour embrasser les possibilités de demain, nous devons rejeter les éternels prophètes de malheur et leurs prédictions de l’apocalypse. Ils sont les héritiers des folles diseuses de bonne aventure d’hier. Ces alarmistes exigent toujours la même chose : le pouvoir absolu de dominer, transformer et contrôler tous les aspects de nos vies. Nous ne laisserons jamais les socialistes radicaux détruire notre économie, détruire notre pays ou éradiquer notre liberté. »

Donald Trump est un homme rempli de contradictions. N’oublions pas — et ceci n’est pas négligeable — qu’il s’est déjà dit en faveur de la puce électronique (RFID) et du système de suivi biométrique :

« Nous allons enfin achever le système de suivi (tracking system) biométrique des visas d’entrée et de sortie dont nous avons désespérément besoin. Pendant des années, le Congrès a exigé un système de suivi biométrique des visas d’entrée et de sortie, mais il n’a jamais été achevé. Dans mon administration, nous veillerons à ce que ce système soit en place, et je vous le dis, ce sera sur terre, sur mer, dans les airs. Nous aurons un bon système de suivi. » [7]

L’archevêque Carlo Maria Viganò a bien raison d’émettre des incertitudes lorsqu’il écrit « et j’ose croire que nous sommes tous les deux du même côté dans cette bataille » dans sa lettre ouverte à Donald Trump publiée le 7 juin dernier. Il se pourrait bien que ses doutes soient bientôt avérés. [8]


Trump signe un décret pour améliorer les vaccins

National Security Council

L’ancien directeur principal de la contre-prolifération et de la biodéfense au Conseil de sécurité nationale, Tim Morrison, nous apprend que des experts nationaux ont rédigé ensemble la Stratégie nationale de biodéfense de 2018, un mémorandum présidentiel de sécurité nationale qui l’accompagne pour la mettre en œuvre, ainsi qu’un décret exécutif pour moderniser les vaccins antigrippaux. [9]

Le président Trump a publié ce décret le 19 septembre 2019, ordonnant au ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) de réviser la production de vaccins contre la grippe saisonnière et d’exhorter davantage d’Américains à se faire vacciner. Le décret, intitulé « Modernizing Influenza Vaccines in the United States to Promote National Security and Public Health » (Moderniser les vaccins antigrippaux aux États-Unis pour promouvoir la sécurité nationale et la santé publique), promeut de nouvelles technologies de fabrication de vaccins pour soutenir des vaccins plus robustes et fait progresser le développement de vaccins qui offrent une couverture plus durable contre une large gamme de virus de la grippe. [10]

Étrangement, ce décret fut signé à peine un mois avant la tenue de l’Événement 201 (Event 201) et deux mois avant l’apparition du COVID-19 dans la ville de Wuhan, en Chine centrale. Moins de huit mois avant la signature du décret, la “Loi américaine sur l’aide, les secours et la sécurité économique concernant les coronavirus” (CARES Act) avait été déposée, ce qui est pour le moins surprenant en terme de coïncidences et de synchronicité ! [11] Le 18 octobre 2019, à New York, le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé l’Événement 201, un exercice de pandémie de haut niveau. L’exercice illustrait les domaines dans lesquels des partenariats public/privé seraient nécessaires lors de la réponse à une grave pandémie, ce qui advint quelques semaines plus tard. Le Secrétaire adjoint à la préparation et à l’intervention (ASPR), Robert P. Kadlec, écrivait le 10 décembre 2019 :

« Nous devons être mieux préparés à faire face à la prochaine pandémie. Ne vous y trompez pas, ce n’est pas “si” il y a une autre pandémie; c’est “quand” il y a une autre pandémie. Selon une étude sur la pandémie de grippe réalisée par le Conseil des conseillers économiques de la Maison Blanche, une future pandémie entraînerait probablement des coûts allant de 413 milliards de dollars à 3,79 billions de dollars et coûterait la vie à environ un demi-million de personnes aux États-Unis seulement.

« Par le biais de la Division de la recherche, de l’innovation et des entreprises (DRIVe) de BARDA, ASPR soutient le développement de capteurs biométriques portables pour informer et permettre aux patients de rechercher un traitement plus précoce. DRIVe investit également dans des approches non pharmaceutiques pour réduire la gravité de la maladie et sa propagation. »

Robert P. Kadlec ajoute plus loin dans son article : « Nous devons nous assurer que, à tout moment, nous sommes prêts à répondre à une nouvelle flambée de grippe pandémique. Bien que nous ne puissions pas prédire quand la prochaine pandémie émergera, nous pouvons nous attendre à ce qu’elle survienne avec peu ou pas d’avertissement. » [12] Sept semaines plus tard, l’Organisation mondiale de la santé déclenchait l’état d’urgence de santé publique de portée internationale.


Le Matin des magiciens (ou la levée des dictateurs)

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Gerald R. Flurry écrivait le 15 juin dernier : « La satisfaction populaire à l’égard de la démocratie est à son plus bas niveau, a fait remarquer le Département de politique de Cambridge, en janvier. Les Européens croient de plus en plus que la démocratie ne peut pas résoudre leurs problèmes, et le coronavirus n’a fait qu’intensifier cette croyance. Les nations prennent, de manière croissante, des mesures extrêmes pour lutter contre le virus. De plus en plus d’Européens recherchent un homme fort. » [13]

« L’Autriche a massivement restreint les libertés civiles en raison du coronavirus », a écrit Hasnain Kazim dans le Zeit Online. « C’est compréhensible dans cette situation, mais c’est, également, dangereux ». Compte tenu de la longue et douloureuse histoire de l’Europe faite de dirigeants forts, restreignant les libertés pour réaliser leurs ambitions, c’est extrêmement dangereux !

Le journaliste et écrivain allemand, Hasnain Kazim, écrit en effet : « De quoi un virus est capable. Soudain, des mesures sont socialement acceptables dont les autocrates et les dictateurs ne peuvent que rêver : couvre-feux, abolition de la liberté de réunion, le plus grand contrôle possible de la vie publique. De nos jours, il devient clair que même dans des pays très démocratiques comme l’Autriche, des situations spéciales peuvent nécessiter des mesures spéciales. Décidé démocratiquement et bien communiqué, il peut aussi y avoir des restrictions aux droits à la liberté qui semblaient auparavant impensables. » Il ajoute plus loin : « Un gouvernement qui déclenche de telles coupes dans la vie et la liberté des gens devra s’établir et s’expliquer encore et encore dans les prochains jours. Et un public exposé à de telles compressions ne doit jamais se lasser de porter un regard critique sur ce que fait le gouvernement. Et il ne doit pas en être dissuadé si le gouvernement veut délégitimer cette critique avec l’appel à “la cohésion dans la crise”. La restriction de la liberté ne doit pas devenir un instrument politique normal. » [14]

Pour sa part, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán devient également plus autocratique dans cette crise. La Hongrie n’a été que légèrement touchée par le coronavirus, mais le 30 mars, le Parlement hongrois a accordé à Orbán des pouvoirs dictatoriaux. Les nouvelles lois hongroises permettent à Orbán de gouverner par décret dans le cadre de l’état de droit. [15] Maintenant, le Parlement est fermé, les élections sont annulées, et quiconque diffuse des informations « fausses » peut être emprisonné pendant cinq ans. La démocratie a été remplacée par un gouvernement par décrets.

The Guardian a écrit que la nouvelle loi donne à Orbán « ce qui équivaut au gouvernement par un seul homme, dans un État de l’UE ». [16] Richard Palmer, rédacteur en chef adjoint de theTrumpet.com, l’a formulé plus clairement : « Coronavirus Brings the EU Its First Dictator » (Le coronavirus apporte à l’UE son premier dictateur). [17] La prise de pouvoir d’Orbán peut affecter l’ensemble du continent. « Le Premier ministre hongrois a aboli la démocratie », a averti Spiegel Online le 3 avril. « Si l’UE n’agit pas, l’autoritarisme se répandra en Europe ». Mais l’UE n’a pas agi pour punir Orbán—elle n’a rien fait. [18]

Danemark — Modification de la loi sur les mesures pour les maladies infectieuses et autres maladies transmissibles (extension des mesures de prévention et de contenu de la pollution ainsi que la sauvegarde des ressources, etc.). Adoptée par le Parlement en troisième lecture le 12 mars 2020.

De son côté, le Danemark a adopté une loi d’urgence qui permet au gouvernement de forcer les gens à recevoir un vaccin contre le coronavirus. La loi d’urgence donne aux autorités des pouvoirs étendus pour lutter contre la pandémie COVID-19 et restera en vigueur jusqu’en mars 2021. [19] Les citoyens qui refuseront de se soumettre à un test de dépistage du coronavirus seront passibles d’amendes et de peines de prison potentielles, et se verront interdire l’accès aux magasins, aux épiceries, aux institutions publiques et aux hôpitaux, tout en étant également limités dans l’utilisation des transports publics. [20]

« En plus d’appliquer des mesures de quarantaine, la loi permet également aux autorités de forcer les gens à se faire vacciner, même s’il n’existe actuellement aucune vaccination contre le virus », rapporte The Local. [21] Jens Elo Rytter, professeur de droit à l’Université de Copenhague, a déclaré que les mesures ne ressemblaient à rien de ce qui avait été adopté au cours des 75 dernières années. « C’est certainement la plus extrême depuis la Seconde Guerre mondiale », a-t-il déclaré au journal Jyllands-Posten. « Il y a eu de fortes interventions dans divers forfaits terroristes, y compris après l’attentat terroriste de 2001. Mais cela va plus loin. » [22] Initialement, le gouvernement voulait que la loi donne à la police le droit d’entrer dans les maisons privées sans ordonnance d’un tribunal en cas de suspicion d’infection par un coronavirus. Mais cela a été abandonné après l’opposition des partis au Parlement.

Projet de loi 61

Plus proche de nous, au Québec, le gouvernement caquiste de François Legault a tenté de faire adopter une loi liberticide qui aurait mené la province francophone tout droit vers l’autoritarisme. Le projet de loi 61 sur la relance économique du Québec éveille en effet « diverses préoccupations » chez le Barreau du Québec. Selon l’organisme, certains articles de la mesure législative pourraient aller jusqu’à ébranler les piliers de la démocratie québécoise. Le bâtonnier du Québec, Paul-Matthieu Grondin, a participé le 10 juin à une consultation particulière sur cette mesure controversée. À ses yeux, le projet de loi amène des « risques d’affaiblissement du contre-pouvoir » à l’Assemblée nationale. [23]

La pression citoyenne augmente aussi. Une pétition condamnant le projet de loi a déjà amassé près de 200 000 signatures sur le site Change.org. L’instigatrice de ce document y accuse notamment le gouvernement de “dictature”. « Nous sommes contre le fait que cela pourrait vous autoriser à passer outre certaines lois à l’Assemblée nationale », écrit Élizabeth Dufresne-Gagnon. Le parti d’opposition Québec solidaire fait également circuler une pétition sur le sujet.

Mylène Crête écrit dans le journal Le Devoir : « Le pari était risqué : faire adopter un projet de loi omnibus sur la relance économique en dix jours avec le consentement des partis d’opposition et des députés indépendants. Le gouvernement Legault a eu beau plaider l’urgence et rallier les grandes associations municipales, il n’a pas réussi à convaincre ses adversaires de la nécessité de lui accorder des pouvoirs exceptionnels durant deux ans. Les travaux de l’Assemblée nationale ont été ajournés pour la relâche estivale, reportant ainsi le débat à l’automne. » [24]


Les totalitaires visent une société utopique

Illustration de L'Utopie de Thomas More.
L’Utopie de Thomas More.

Les totalitaires visent une société utopique dans laquelle les maux sociaux, réels ou imaginaires, sont éliminés. Leur objectif utopique implique de révolutionner (transformer) la société et l’État, d’une manière ou d’une autre, et ils ne pourront pas l’obtenir sans changement radical.

Le professeur émérite à l’Université de Buffalo aux États-Unis, Michael S. Rozeff, écrit : « Même si tous ceux-ci ou d’autres non nommés ne sont pas de purs totalitaires ou nieraient vigoureusement cette accusation en prétendant qu’ils soutiennent la démocratie, les droits et certains autres objectifs comme la santé publique, le fait désagréable est qu’ils ont évolué dans le sens totalitaire et loin de la liberté. Ils nous révèlent qu’ils veulent nous gouverner selon leurs agendas, non pas pour promouvoir la liberté des individus mais pour créer leur utopie imaginaire. » [25]

Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a exposé son sens totalitaire en signant le 11 juin 2019 un projet de loi mettant fin aux exemptions de vaccination fondées sur des croyances religieuses. Il a déclaré : « La science est limpide: les vaccins sont sûrs, efficaces et le meilleur moyen d’assurer la sécurité de nos enfants. Bien que je comprenne et respecte la liberté de religion, notre premier travail consiste à protéger la santé publique et en signant cette mesure dans la loi, nous aiderons à prévenir de nouvelles transmissions et à stopper cette épidémie sur son passage. » La législature contrôlée par les démocrates a approuvé la mesure, qui élimine également les autres exemptions non médicales pour les écoliers à travers l’État. [26] Un petit nombre d’autres États, dont la Californie, le Mississippi et l’Arizona, ont déjà adopté des lois interdisant les exemptions de vaccins pour des motifs religieux (la loi de l’Arizona permet actuellement à un parent de retirer un enfant des vaccinations obligatoires en raison de « convictions personnelles », mais pas pour des motifs religieux. Un projet de loi proposé à l’Assemblée législative de l’Arizona avait cherché à étendre les exemptions de vaccination aux croyances religieuses, mais il est au point mort). [27]

L’Association du barreau de l’État de New York a aussi montré son caractère totalitaire en déclarant le 28 mai qu’il devrait être obligatoire pour tous les Américains de se faire vacciner au COVID-19, le cas échéant, y compris ceux qui ne le voudront pas pour « des raisons religieuses, philosophiques ou personnelles. » La seule et unique exception, selon le rapport du groupe — qui appelle à l’adoption d’une loi — devrait être destinée aux personnes qui ne devraient pas recevoir la vaccination pour des raisons médicales, conformément aux directives de leur médecin. Faisant un argument légalement soutenu aux pages 60-63 d’un rapport récemment publié sur les questions juridiques et éthiques “uniques” soulevées par la pandémie mondiale, la Section du droit de la santé de l’association du barreau écrit que « certains Américains peuvent repousser la vaccination COVID-19 pour des raisons religieuses, philosophiques ou personnelles », mais « pour des raisons de santé publique, des vaccinations obligatoires pour le COVID-19 devraient être exigées aux États-Unis dès qu’il sera disponible ». [28]

« Les vaccinations obligatoires sont soutenues par l’autorité du pouvoir de police de l’État lorsque les vaccinations sont nécessaires pour protéger la santé de la communauté », écrit le groupe dans le rapport, tout en citant la décision de la Cour suprême des États-Unis de 1905 dans Jacobson c. Massachusetts. Le rapport déclare : « La gravité de COVID-19 présente une justification convaincante pour les législatures des États et le Congrès de mandater une vaccination COVID-19. » [29]

N’est-il pas étrange que l’année 2020 corresponde au projet de vaccination globale de Bill Gates, par l’intermédiaire de l’alliance ID2020 (Accenture | Gavi, the Vaccine Alliance | Rockefeller Foundation | Microsoft | IDEO.org), une organisation non gouvernementale qui fournira une identité numérique à tous, un objectif de développement durable défini, incluant 1,5 milliard de personnes vivant sans aucune forme d’identification reconnue. Un capteur sera alors implémenté dans le corps de chaque individu afin de détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Le brevet de ce dispositif a été enregistré le 26 mars dernier par Microsoft sous le numéro WO/2020/060606 (World Order | 2020 | 666). Il ne s’agit pas de science-fiction ou d’une théorie conspirationniste, mais bien d’une information officielle, très bien documentée (j’y reviendrai dans un prochain article). [30]


« Il est temps de comprendre que le terme “totalitaire” est un terme précis pour décrire certaines tendances perverses et odieuses chez beaucoup trop de gens à l’intérieur et à l’extérieur du gouvernement, des gens qui sont prêts et désireux de sacrifier la liberté pour une perfection irréalisable de la société et de l’État. »

Michael S. Rozeff, professeur émérite


RÉFÉRENCES :

  1. Véronique Le Billon : Donald Trump prend de la chloroquine pour se prémunir du coronavirus. Les Échos, 19 mai 2020.
  2. Elizabeth Weise : In the race for a coronavirus vaccine, can Operation Warp Speed avoid politics?. USA Today, may 24, 2020.
  3. Marty Johnson : Trump administration’s ‘Operation Warp Speed’ looking at 14 potential COVID-19 vaccines to fast-track. The Hill, may 2, 2020.
  4. Lire : « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués », par Guy Boulianne. Éditions Dédicaces, 23 août 2019.
  5. Guy Boulianne : COVID-19 — Les Globalistes préparent la Grande Réinitialisation et votre asservissement sous le couvert de développement durable. Publié le 10 juin 2020
  6. Guy Boulianne : The Great Reset : la grande remise à zéro est une coalition élitiste pour repenser le monde. Publié le 18 juin 2020.
  7. Guy Boulianne : L’État Profond ne peut être vaincu que par la force même du pouvoir populaire. Publié le 16 avril 2019.
  8. Guy Boulianne : Mgr Viganò au Président Trump : « Les enfants des ténèbres ont décidé de montrer leurs cartes en révélant maintenant leurs plans ». Publié le 17 juin 2020.
  9. Tim Morrison : No, the White House didn’t ‘dissolve’ its pandemic response office. I was there. The Washington Post, march 16, 2020.
  10. Lisa Schnirring : Trump signs executive order to improve flu vaccines. CIDRAP News, University of Minnesota, September 20, 2019.
  11. Guy Boulianne : La Loi concernant les coronavirus est déposée dix mois avant la pandémie de Covid-19. Publié le 4 mai 2020.
  12. Robert P. Kadlec : Preparing for the Next Pandemic. Assistant Secretary for Preparedness and Response (ASPR), U.S. Department of Health and Human Services, december 10, 2019.
  13. Gerald R. Flurry : Le coronavirus et le Saint-Empire romain. La Trompette, 15 juin 2020.
  14. Hasnain Kazim : Davon träumen Autokraten. Zeit Online, 16. März 2020.
  15. Jan Puhl : Eine Diktatur mitten in Europa. Spiegel, 31.03.2020.
  16. Opinion : The Guardian view on Hungary’s coronavirus law: Orbán’s power grab. The Guardian, 29 Mar 2020.
  17. Richard Palmer : A powerful example of how quickly a strongman can take over in crisis. The Trumpet, march 31, 2020.
  18. Markus Becker; Peter Müller : Hilflos gegen den Westentaschen-Diktator. Spiegel, 03.04.2020.
  19. Martin André Dittmer; Thomas Edelgaard Christensen : COVID-19: The Danish Epidemic Act. Gorrissen Federspiel, 3 April 2020.
  20. Janne Rothmar Herrmann : How Denmark’s Epidemic Act Was Amended to Respond to COVID-19. The Petrie-Flom Center, Harvard Law School, May 26, 2020.
  21. The Local : Denmark rushes through emergency coronavirus law. 13 March 2020.
  22. Coronakrisen : Hastelovens beføjelser er uden fortilfælde i Danmark. Jyllands-Posten, 13.03.2020.
  23. François Carabin : Le PL61 pose d’importants risques pour la démocratie, affirme le Barreau. Journal Métro, 10 juin 2020.
  24. Mylène Crête : Projet de loi 61: le gouvernement Legault perd son pari. Le Devoir, 13 juin 2020.
  25. Michael S. Rozeff : The Logic of Totalitarians in Our Midst. LewRockwell, June 14, 2020.
  26. Health; Legislation : Governor Cuomo Signs Legislation Removing Non-Medical Exemptions from School Vaccination Requirements. New York State, June 13, 2019 Albany, NY.
  27. Bobby Allyn : New York Ends Religious Exemptions For Required Vaccines. NPR, June 13, 2019.
  28. Jason Grant : State Bar Group Calls for ‘Mandatory’ COVID-19 Vaccinations, Regardless of Objections. Law.com, May 28, 2020. [PDF]
  29. New York State Bar Association : Report of the New York State Bar Association’s Health Law Section Task Force on COVID-19. May 13, 2020.
  30. Guy Boulianne : Arthur Firstenberg résume : « En bref, la 5G fait partie de l’équation des coronavirus ». Publié le 15 mai 2020.
Lafleur Delavérité
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).

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