Je vous invite à revoir en rediffusion une entrevue vidéo avec Jarl Alexandre Alé de Basseville, un descendant du premier roi de Norvège, Harald Ier, surnommé Harald à la Belle Chevelure (en vieux norrois : Haraldr hárfagri). Cette rencontre amicale et conviviale eut lieu samedi le 16 avril 2022 à 11h (Montréal) — 17h (Paris). En février 2016, j’ai eu le bonheur de publier son manifeste, « Mon Devoir » où il évoque son enfance, son éducation et son parcours qui lui ont permis d’avoir une vision bien à lui de la politique, de la géopolitique, de l’économie et de la société. Fort d’un héritage historique familial qui lui a été transmis de génération en génération, la vision, qui lui est propre, est également au cœur des préoccupations sociétales actuelles. Jarl Ale de Basseville a décidé d’écrire et d’exposer non seulement les objectifs de son mouvement, mais sa genèse. Cet ouvrage a d’ailleurs été traduit en anglais (My Duty) et en albanais (Detyra Ime). [Voir l’émission Zone e lire]
Photographe de mode réputé, c’est Alexandre de Basseville qui avait vendu en 2016 d’anciens clichés nus de Melania Trump au « New York Post ». Mais les clichés dataient déjà de 1995. A l’époque, celui-ci avait 25 ans, Melania aussi. Les photos publiées avaient alors fait le tour du monde. Plus récemment, Jarl Alé a écrit l’introduction de mon dernier livre, intitulé “L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique”.
Lors de la conférence, nous parlerons de sujets très variés. Nous essaierons de mieux connaître Jarl Alexandre Alé de Basseville à travers son passé, son présent et son futur. Ayant pour but de revoir complètement le système d’une économie de proximité, nous discuterons de l’ONG qu’il souhaite créer et qui aura pour but de mettre en place un écosystème et la possibilité de construire une maison pour moins de 10000 dollars. Nous reviendrons aussi sur son autre projet d’une Principauté d’Alexandre qu’il souhaitait créer en Albanie. Évidemment, nous parlerons de la « crise de coronavirus » et du conflit actuel en Ukraine. En effet le 7 mars dernier, Alé de Basseville m’écrivait : « Saches que je connais bien l’Ukraine. Je peux t’en parler et je connais toute l’histoire. De plus ma famille a créé la principauté au 9ème siècle. S’il y a une personne qui peut en parler, c’est moi. »
Cette entrevue eut lieu en direct samedi le 16 avril 2022 à 11h (Montréal), simultanément sur Youtube, Twitter (13,000++ abonnés) et VKontakte (10,000 abonnés). L’Entrevue est aussi disponible en rediffusion sur Internet Archive, Bitchute, Odysee, Rumble et UGETube.
À propos de Jarl Alexandre Alé de Basseville
Jarl Alexandre Alé de Basseville de Normandie, descendant du 1er Roi Harald de Norvège, est né à Bordeaux le 8 juillet 1970, au pays d’Aliénor d’Aquitaine. Il est l’un des derniers descendants directs de la lignée des rois vikings et normands.
De son arrière-grand-père qui a créé la première société de négoce au Luxembourg en 1927, à son grand-père qui a dirigé l’industrie pétrolière Caltex, Alexandre Alé de Basseville voit le rôle important de l’énergie comme pierre angulaire d’une Europe économiquement forte et durable. Né dans le secteur pétrolier, il en est passionné et a noué de solides relations avec les familles royales et les chefs d’entreprise du pétrole au Moyen-Orient.
Alexandre Alé de Basseville a grandi au milieu d’artistes, de philosophes, d’hommes politiques, d’hommes et de femmes de grande influence et a développé un goût pour l’entrepreneuriat. Avide d’expériences et de connaissances nouvelles, il mène des affaires à sa manière. Sa passion pour les Arts s’épanouit à l’âge de 15 ans, lorsqu’il rejoint le monde de l’art contemporain et se perfectionne en photographie, peinture, filmographie et sculpture sous les conseils d’Andy Warhol. Après des études à La Scuola di Arte de Milan, il fait la connaissance de Lucchi Renato Chiesa, surnommé « le dernier surréaliste ». Cette relation a conduit à de grandes opportunités, telles que la représentation par un agent international, la reconnaissance du Metropolitan Museum de New York et la collaboration avec des magazines de mode et de design légendaires. Plus tard, il sera directeur de création pour plusieurs grandes marques françaises et internationales.
Tout en menant une carrière réussie dans le domaine des arts, il s’est tourné vers le soutien des activités bancaires étroitement liées au secteur pétrolier, titulaire d’une licence bancaire légale et travaillant dans les secteurs financiers avec des intérêts en devises étrangères, les plateformes bancaires en ligne et la banque privée. Alexandre Alé de Basseville a porté avec succès le concept du premier fonds de divertissement adossé au soutien de la banque AAA. Sa passion pour l’expansion du commerce sur Internet est associée à la première société de streaming en Amérique.
Les ONG et les associations tiennent une place importante dans sa vie. À l’âge de 19 ans, il s’est joint à la lutte contre le sida en faisant de l’art qui représentait la violence du sida. Sa mobilisation se poursuit aujourd’hui autour d’une autre cause tout aussi importante : donner du travail et de l’éducation aux filles et aux femmes des pays émergents. Atteint d’une maladie génétique rare, Alexandre Alé de Basseville est handicapé et comprend la nécessité de se battre pour la construction d’infrastructures spéciales pour améliorer la vie et l’intégration des personnes handicapées.
De ce passé inspiré et de sa passion pour un avenir meilleur, Alexandre Alé de Basseville a décidé de s’engager politiquement en Europe pour servir la culture et la tradition dont il se considère comme un représentant charismatique et légitime. De plus, il a la possibilité de créer sa propre formation.
À propos de Vladimir le Grand
Vladimir Sviatoslavitch, dit « le Beau Soleil », dit Vladimir Ier, mais plus connu sous le nom de Vladimir le Grand, le Soleil Rouge ou encore saint Vladimir, est un grand-prince de la Rus’ de Kiev de la dynastie des Riourikides (né en 958 et mort le 15 juillet 1015 à Berestova, aujourd’hui Kiev), qui régna de 980 à 1015.
Fils cadet de Sviatoslav Ier et de sa concubine Maloucha, il est également prince de Novgorod à la mort de son père en 972, puis fut forcé de s’enfuir pour la Scandinavie en 976 après l’assassinat de son frère Oleg par son autre frère Iaropolk Ier pour la conquête du Rus’ de Kiev. En Suède, avec l’aide du jarl de Norvège Håkon Sigurdsson, il rassemble une armée de Varègues et reprend Novgorod à son frère aîné Iaropolk et le tue (il devient alors ensuite officiellement grand-prince de Kiev).
Après son mariage, il renonce au paganisme (notamment à la luxure, étant connu sous le terme de « fornicator maximus ») et à ses nombreuses concubines. Il reçoit le baptême en 988 sous le nom de Basile (baptême donné par le métropolite de Chersonèse ou le patriarche de Constantinople Nicolas II Chrysobergès selon les sources), et impose à son peuple le christianisme de rite byzantin.
Son baptême est rapporté selon deux traditions :
• Dans la première, Vladimir, régnant à Kiev, fait appeler à lui les représentants des principales religions connues (ou envoie ses émissaires) : le christianisme de Rome, le christianisme byzantin ou orthodoxie, le judaïsme et l’islam. Il opte pour l’orthodoxie et fait baptiser son peuple.
• Dans la deuxième, il demande le baptême à Chersonèse en Crimée en échange de la prise de la ville, de la main de la princesse byzantine et de la guérison de ses yeux.
Selon les chroniques russes, un missionnaire musulman fut envoyé auprès de Vladimir pour le convertir. Il lui vanta les joies éternelles du Paradis où chaque homme recevrait soixante-dix épouses. Vladimir le Grand fut séduit par cette promesse, mais quand on lui dit qu’un musulman doit renoncer au vin, il déclara : « Boire, c’est la joie des Russes. On ne peut pas vivre sans ce plaisir. » Le Grand-prince reçut ensuite une délégation de catholiques romains. L’austérité du rite, notamment la pratique du jeûne, le rebuta. Il dit : « Allez-vous en ! Nos pères n’ont jamais admis pareil principe. »
La troisième mission fut celle de Khazars juifs. Vladimir chercha à connaître la raison pour laquelle les juifs avaient perdu Jérusalem. « Dieu s’irrita contre nos ancêtres », lui répondirent les juifs, « et les dispersa parmi les Gentils à cause de nos péchés ». Vladimir lança alors : « Comment espérez-vous enseigner autrui quand vous avez été chassés et dispersés par la main de Dieu ? Voudriez-vous que nous acceptions ce destin nous aussi ? » Le missionnaire envoyé par les Grecs de Byzance laissa Vladimir dubitatif. Les enquêteurs qu’il dépêcha ensuite pour observer les différentes religions lui rapportèrent que le culte byzantin était « plus beau que les cérémonies des autres nations ».
Au bout d’un an, il accepta finalement de recevoir le baptême en échange de la main de la princesse Anne, sœur des empereurs byzantins. L’adoption du christianisme entraina la construction de nouveaux édifices sacrés avec un programme iconographique de peintures monumentales.
Il est l’une des grandes figures de la Rus’ de Kiev, tant d’un point de vue politique que spirituel. Il est fêté comme saint par l’Église catholique et l’Église orthodoxe le 15 juillet. Le 4 novembre 2016, Vladimir Poutine inaugure au pied du Kremlin une statue monumentale (18 mètres de haut) du prince Vladimir
À propos de Iaroslav le Sage
Iaroslav Vladimirovitch (en ukrainien : Яросла́в Володи́мирович et en russe : Ярослав Владимирович), dit Iaroslav Ier et plus connu sous le nom de Iaroslav le Sage (en russe : Ярослав Мудрый, en ukrainien : Ярослав Мудрий, et en vieux norrois : Jarizleifr), est un grand-prince de la Rus’ de Kiev de la dynastie des Riourikides (né en 978 et mort le 20 février 1054 à Vychgorod), qui régna de 1016 à 1018, puis de 1019 à 1024 et enfin de 1024 à 1054.
Fils du Varègue Vladimir Ier le Grand et de Rogneda de Polotsk, il est également prince de Rostov de 978 à 1010, et prince de Novgorod de 1010 à 1019. C’est sous son règne que la Rus’ de Kiev connaît son apogée.
Né en 978, Iaroslav, formé aux armes par son grand-oncle et tuteur de son père le général Dobrynia (frère de sa grand-mère Maloucha), est d’abord fait prince de Novgorod. Après la mort de son père en 1015, il doit d’abord lutter contre son demi-frère Sviatopolk Ier « le Maudit » (qui tua plusieurs autres de ses frères pour s’emparer du trône de Kiev), soutenu par la Pologne, mais il devient grand-prince de Kiev en 1019, après sa victoire sur ce dernier, aidé par les Novgorodiens et des mercenaires varègues, mettant fin à la guerre civile au sein de la Rus’ de Kiev. En 1024, il est détrôné seulement pour quelques mois par son frère Mstislav de Tchernigov dit « le Brave ».
En 1036, une grande victoire élimine la sempiternelle menace des Petchenègues. En 1038, Iaroslav marche contre les Iatviagues et en 1040, il fait une expédition en Lituanie. En 1041, avec des bateaux, il attaque les Mazoviens. En revanche, une expédition lancée contre l’Empire byzantin, en 1043, par son fils aîné Vladimir, tourne au désastre. En 1047, il marche de nouveau contre les Mazoviens, tue leur prince Moïslav et les soumet au roi Casimir Ier le Restaurateur de Pologne.
L’église de la sainte Mère de Dieu qu’avait bâtie Vladimir Ier, le père de Iaroslav, est consacrée par le métropolitain Théopompte en 1039. Grand bâtisseur et législateur, il obtient des Byzantins que Kiev devienne le siège d’un métropolite ruthène (de la Rus’).
À sa mort le 20 février 1054, son patrimoine est partagé entre ses six fils survivants dont trois lui succéderont comme grands-princes de Kiev. Son testament écarte son petit-neveu Vseslav de Polotsk, et son petit-fils Rostislav de Novgorod, qui commencèrent déjà avant sa mort à fomenter des troubles. Cet évènement causera une guerre civile entre cousins riourikides (Vseslav et ses alliés contre les fils de Iaroslav), qui durera plusieurs décennies et qui touchera plusieurs générations de princes ukrainiens.
En 2010 sort un film en Russie consacré au début de la vie de Iaroslav, intitulé Prince Yaroslav (en russe : Ярослав. Тысячу лет назад ; Yaroslav. Tysyachu let nazad).
« Mr Boulianne. Grâce à vous et d’autres comme vous la vérité finira par être révélée. Je vous porte dans mes prières, vous le méritez pour cette tâche colossale et cette mission que vous accomplissez. »