Le médecin-hygiéniste en chef de l’Ontario, au Canada, déclare que le vaccin COVID-19 sera traité de la même manière que les autres vaccins: pas obligatoire, mais requis pour un certain accès. Le Dr David Williams a déclaré que le gouvernement ne pouvait forcer personne à l’accepter.
Les résidents de l’Ontario qui refusent de se faire vacciner contre le COVID-19 peuvent faire face à certaines limites, dit le médecin hygiéniste en chef, le Dr David Williams. Quelqu’un peut devoir présenter une preuve de vaccination, par exemple, pour entrer dans une maison de retraite ou un hôpital sans équipement de protection individuelle, a-t-il déclaré le 3 décembre dernier.
Une preuve pourrait également être requise pour aller à l’école, bien qu’aucune décision n’ait encore été prise, a-t-il déclaré. « Non pas que quelqu’un va être forcé de le prendre contre sa volonté », a déclaré Williams. « Nous ne voyons pas que cela soit nécessaire parce que… nos vaccins se sont avérés historiquement être la meilleure chose que nous ayons. »
"What may be mandatory, is proof of vaccination, in order to have latitude and freedom to move around without wearing personal protective equipment." – Chief Medical Officer, Dr. Williams pic.twitter.com/gHupcMxbcm
— CrasHTalk (@CrasTalk) 3 décembre 2020
Le débat sur la vaccination obligatoire a été analysé pendant la pandémie, comme par Léger et l’Association d’études canadiennes. En octobre, leur sondage a révélé que 39% des personnes interrogées ont déclaré que le vaccin devrait être obligatoire, ce qui représente une baisse de 18% par rapport à un sondage similaire en juillet et de plus de 20% en mai.
Il est trop tôt pour dire combien de personnes devront être vaccinées en Ontario avant que le gouvernement ne commence à assouplir les restrictions liées au COVID-19, a-t-il déclaré. Parfois, le seuil est « l’immunité du troupeau », un pourcentage qui garantit la protection de la population générale, a-t-il déclaré.
Le premier ministre Doug Ford a déclaré que la province serait prête à commencer à vacciner les Ontariens dès que les doses arriveront. Des responsables fédéraux ont déclaré à la province que les premiers vaccins seraient disponibles au début de 2021. « L’approvisionnement initial sera très limité », a dit Ford. « Et il reste encore beaucoup de travail à faire. Il reste de nombreuses questions sans réponse. »
Le médecin-hygiéniste en chef de l’Ontario, Dr David Williams, déclare que le vaccin COVID-19 sera traité de la même manière que les autres vaccins: pas obligatoire, mais requis pour un certain accès. (à partir de 25:50 minutes)
La ministre de la Santé, Christine Elliott, a déclaré que les populations vulnérables comme les résidents des foyers de soins de longue durée et les travailleurs de la santé de première ligne bénéficieront d’une priorité absolue. Ford et Elliott ont déclaré qu’ils publieraient prochainement plus de détails sur un groupe de travail mis en place pour aider à gérer le déploiement du vaccin.
Nous pouvons donc conclure que les gouvernements n’ont pas à rendre le vaccin obligatoire, ils peuvent simplement rendre la vie invivable pour les personnes qui refusent de se faire vacciner. Si les bars, les restaurants, les cinémas, les sites sportifs, les compagnies aériennes, les employeurs et autres font tous de la vaccination une condition de service obligatoire, toute personne qui refuse de la prendre sera réduite à une forme personnelle de verrouillage de facto avec une vie sociale et une mobilité complètement ralenties.
« J'ignore quelles vitamines vous avalez ou s'il y a une énergie bienveillante qui vous alimente mais vous êtes à vous seul une salle de presse! »
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).
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Ça peut être un couteau à double tranchant. Si des commerces, des salles de spectacles ou d’autres domaines d’activité exigent une preuve de vaccination. Ces endroits peuvent-ils se privé d’une partie de leur clientèle qui refuse le vaccin. Qu’en est-il des personnes qui ont eu le virus ? Normalement on suppose qu’elles sont immunisées. Va-t-il y avoir des test pour connaître l’immunité avant de recevoir le vaccin ? C’est du grand n’importe quoi, un vaccin expérimental que l’on a fabriqué sans avoir isolé le fameux virus et sans connaître les effets à long terme.