Un message de Élie, patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin : « La racine spirituelle de l’ego et le parcours de vie de l’être humain »

En cette journée de Pâques, je vous transmets un message de Élie, patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin, intitulé « La racine spirituelle de l’ego et le parcours de vie de l’être humain » en date du 18 janvier 2023. Elijah Anthony Dohnal est né en 1946 à Hluk, en République tchèque. Il fut ordonné prêtre en 1972 et entra dans l’Ordre de Saint-Basile-le-Grand avec changement de rite en 1991. Il obtint un Doctorat en théologie à Prague. Professeur de dogmatique (à Presov, en Slovaquie), évêque catholique, il est nommé archevêque en 2009. Le 5 avril 2011, il fut nommé patriarche catholique byzantin par élection et imposition des mains par le Synode des évêques, synode qui était dirigé par l’archevêque Michael Osidach.

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné. Le Patriarcat Byzantin est universel, ou catholique. Ce Patriarcat ne possède aucun contrôle sur les évêques ou l’Eglise.

Le PCB pratique le ministère prophétique dans l’Eglise d’aujourd’hui, défend la doctrine et la tradition orthodoxes contre les dangereuses hérésies, ainsi que contre le syncrétisme avec l’esprit du paganisme. Le Patriarcat Byzantin déclare (rend publiques) les punitions de Dieu, les anathèmes, sur les individus qui abusent de l’autorité de l’Eglise, qui ont adopté des hérésies et qui refusent de se repentir ! C’est un ministère qui est effectué pour leur bien, afin de les amener au repentir, ainsi que pour le bien des fidèles, afin de les aider à identifier les hérétiques qui ne cessent d’abuser de leur fonction au sein de l’Eglise. Les fidèles et les prêtres ne sont donc plus tenus d’obéir à ces membres du clergé !

Le Patriarcat Byzantin a déclaré un anathème sur un certain nombre d’évêques et de cardinaux catholiques et, finalement, sur les trois derniers papes car ces derniers ont abusé de leur fonction et ont permis que des hérésies pénètrent au cœur de l’Eglise. Le résultat est qu’une nouvelle pensée gagne du terrain, une pensée qui est contraire aux 2000 ans de tradition de l’Eglise. La conséquence de ceci est que les Etats anciennement chrétiens promeuvent des lois anti-humaines sur le genre qui approuvent et privilégient l’homosexualité, la transsexualité, la pédophilie, la zoophilie, et qui détruisent moralement l’individu, la famille et la société. Les différents Etats “chrétiens” sont ainsi entraînés dans le processus d’auto-génocide moral, spirituel et physique. La tragédie est que le Vatican et la hiérarchie ecclésiastique qui lui est subordonnée restent hypocritement silencieux, et approuvent par le fait même ce chemin d’autodestruction temporelle et éternelle.

Guy Boulianne – Podcast général – Radio Impact
Épître de Jude
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La racine spirituelle de l’ego et le parcours de vie de l’être humain

L’homme ne possède pas que le côté matériel, qu’il reçoit par son père et sa mère. L’homme est essentiellement un être spirituel. Dieu a créé l’homme en utilisant la matière – la poussière du sol – et lui a insufflé Son esprit. L’homme est devenu une âme vivante, c’est-à-dire un être mental et pensant, contrairement aux animaux (cf. Gn 1-3). Le péché originel, un poison spirituel, est entré dans l’âme de l’être humain par la violation du commandement de Dieu. L’homme s’est rendu coupable de désobéissance à Dieu, l’Être suprême. En même temps, il s’est ouvert à un autre être spirituel, le diable.

L’essence du code génétique du mal dans l’âme humaine consiste à se détourner de Dieu et à se déifier. Cet égocentrisme est, à son stade final, une identification avec l’esprit du mensonge et du mal, c’est-à-dire le diable. La semence du diable est une partie intrinsèque de l’ego humain. C’est ce qu’on appelle le péché originel, ou la racine spirituelle, ou le dépôt du mal dans notre âme. De l’ego découle tout le mal qui a toujours été et sera toujours présent dans l’humanité. La source du mal dans l’homme est un profond mystère ; elle transcende le temps et ne cesse pas d’exister avec la mort de l’individu ou de l’humanité. Le soi-disant surmoi, ou l’esprit humain, est intimement lié à l’âme. Il est maintenu comme dans la prison de l’âme (psyché), qui est infectée par le poison spirituel du péché originel et par un programme autodestructeur. Ce poison obscurcit l’esprit et le rend incapable de reconnaître la vérité, surtout la vérité spirituelle. La volonté est encline au mal.

Le dépôt du mal dans l’âme, c’est-à-dire le péché originel, est programmé pour un suicide spirituel progressif. En revanche, le but fixé par Dieu pour chaque personne est la vie éternelle dans un bonheur parfait. L’esprit humain aspire à Dieu, source de vérité et d’amour éternel. Peu à peu, le code génétique du mal supprime la conscience, c’est-à-dire la voix de Dieu dans l’âme. En cachette, par le mensonge et l’auto-illusion, il poursuit son objectif : l’émancipation ou la séparation d’avec Dieu. L’égocentrisme entraîne la mort éternelle, c’est-à-dire la séparation d’avec la Source de la vérité et du bonheur. Cet état de séparation de l’esprit humain d’avec Dieu est l’essence de la souffrance éternelle que nous appelons l’enfer. Le diable est un esprit mauvais, menteur et meurtrier (Jn 8,44), ennemi de la race humaine. Le péché originel, source du mal en nous, se manifeste par l’égocentrisme. C’est le refus ou plutôt l’incapacité à admettre la vérité. Lorsqu’on lui montre une erreur ou un mal qu’il a causé, il se sent offensé, se venge, se met en colère, voire en furie. Il sait comment dissimuler sa culpabilité sous un bien, du moins apparent, ou il rejette la faute sur quelqu’un d’autre, même sur Dieu. La vérité humilie et convainc l’homme, c’est pourquoi il déteste la vérité. Mais la vérité nous libère de l’esclavage du mensonge et de diverses dépendances. Et reconnaître la vérité est aussi une condition pour le pardon des péchés. C’est pourquoi chacun doit commencer le chemin de la vérité à partir de lui-même. Nous pouvons appeler ce processus un changement de pensée ou, en d’autres termes, une métanoïa biblique. La pensée du vieux moi est égocentrique ; elle ne cherche pas la vérité, même si cette vérité conduit au bonheur éternel.

La nouvelle façon de penser est fondée sur la vérité de Dieu – sur l’Évangile (Mc 1, 15), qui nous relie verticalement à Dieu. La vérité de Dieu concerne en particulier notre existence, notre but dans la vie et le sens de notre vie. Elle se concentre dans notre rédemption et notre délivrance, c’est-à-dire en la personne de notre Sauveur. Au lieu de l’égocentrisme, nous acceptons le théocentrisme et le christocentrisme. Dieu, notre Père et Créateur, devient le centre de notre vie et nous acceptons le salut donné par Lui et l’amour qui est en Son Fils, Jésus-Christ. En hébreu, le nom Yehoshua signifie que Dieu est mon Sauveur. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a reçu ce nom lorsqu’il est venu dans la plénitude des temps pour prendre sur Lui notre nature humaine. Il nous a donné le programme de vie, qui est Son Évangile. Après avoir accompli Son œuvre de salut, en mourant sur la croix dans la disgrâce, il nous a donné Son Esprit. Par le baptême, nous avons reçu la vie de Dieu. Nous sommes devenus les enfants de Dieu (Jn 1). Par le baptême, nous avons été mystérieusement immergés dans le moment de la mort du Christ dans le temps, et par le baptême, nous avons également été rendus participants à Sa nouvelle vie, la vie du Christ ressuscité. Nous ne connaîtrons cette plénitude de la résurrection qu’au-delà du temps, c’est-à-dire après notre mort physique, à la fin de l’histoire, lors de la seconde venue du Christ. Alors, notre corps matériel sera non seulement ranimé, mais aussi transformé à l’image du corps ressuscité du Christ. Grâce à l’intervention de la toute-puissance de Dieu lors de la résurrection du Christ, les lois physiques ont été subordonnées à des lois supérieures, spirituelles. Jésus ressuscité a traversé le tombeau de pierre, ainsi que la porte fermée (de ce tombeau), lorsqu’il est apparu aux apôtres après Sa résurrection. Il est également apparu à une foule de plus de 500 personnes en Galilée.

Nous sommes amenés à entrer dans le domaine de la foi. Il existe une foi naturelle par laquelle nous croyons, par exemple, que la Terre est ronde, que les ours polaires vivent dans l’Arctique, etc. Mais il existe un autre degré de foi avec lequel nous acceptons les réalités spirituelles. Nous nous unissons à elles avec notre esprit ou notre âme. Cette foi ouvre notre esprit, ainsi que notre intelligence et notre volonté, au monde spirituel. Mais il faut ici distinguer à quel type d’esprit nous nous ouvrons. Il y a aussi le domaine de l’occulte, c’est-à-dire le domaine des êtres spirituels que l’on appelle aujourd’hui souvent des énergies. Il s’agit en fait d’anges déchus, de démons. Ces esprits du mensonge influencent la pensée de l’homme par des inspirations apparemment vraies. Si l’on n’aime pas la vérité et que l’on n’est pas enraciné en elle, on peut difficilement reconnaître le mensonge caché derrière ces inspirations suggestives. De plus, le dépôt du mal en l’homme résonne avec ces fausses inspirations et s’y unit totalement. Ces inspirations conduisent finalement à la rébellion contre Dieu et ses lois. L’homme justifie toujours ses fausses inspirations par un pseudo-bien, une pseudo-vérité ou une pseudo-justice. Mais Jésus dit : « On reconnaît un arbre à ses fruits ». La connexion de l’ego humain à l’inspiration démoniaque apporte le mal et la mort, non seulement temporaire, mais aussi éternelle. Le paganisme, de même que le christianisme actuel, rassis ou apostat, est la religion du vieux moi. Il vénère le démon Pachamama et d’autres démons, et encourage la perversion LGBTQ. Tout cela mène à la destruction.

Le paganisme vénère diverses divinités, auxquelles il donne la forme d’animaux, d’oiseaux ou de bêtes. Par exemple, dans le bouddhisme, une personne qui médite devient unie par l’esprit à une bête et, par conséquent, s’imprègne de l’esprit de cruauté et de cynisme. En substance, cette fausse voie spirituelle est le culte de l’ego orgueilleux et le rejet complet de la voie de la vérité et de la voie du salut. Cette fausse voie est désignée par le terme “do”, par exemple aiki-do, bu-do, taekwon-do. Mais ce n’est pas le chemin de la vérité ou de la libération de la racine du mal qui est en nous. C’est une grande tromperie et un mensonge. L’esprit du paganisme, avec ses soi-disant énergies spirituelles, ne fonctionne pas pleinement si l’art martial est pris uniquement en tant qu’un simple sport. Mais il y a un danger que celui qui s’adonne à ce sport désire un maximum de succès. On lui conseille alors de méditer, car c’est ce que font les grands maîtres d’arts martiaux. Ce n’est qu’alors que l’esprit qui agit dans le bouddhisme païen agira en puissance à travers lui. Il en va de même pour l’hindouisme païen et la pratique du yoga. Le hatha yoga est présenté comme une gymnastique ordinaire. Ceux qui veulent aller plus loin doivent continuer avec des exercices de respiration, suivis de la méditation, jusqu’au yoga dit royal, où le méditant est totalement possédé par le démon du mensonge. Le méditant dit : « Je suis un dieu. » Cette voie de la soi-disant auto-rédemption, associée à l’enseignement de la réincarnation, est une grande tromperie et un piège pour de nombreux chrétiens également. Le yoga fait l’objet d’une promotion intensive dans l’Occident chrétien depuis les années 1960. Un boom du bouddhisme a commencé peu après, par le biais de la littérature promotionnelle et de films qui ont popularisé les arts martiaux et ouvert la porte à l’invasion de la spiritualité bouddhiste.

Une atmosphère a été créée, comme si le bouddhisme apportait une spiritualité plus élevée et prestigieuse. La voie sûre du salut, qui nous est donnée en Christ par Sa mort rédemptrice sur la croix, a commencé à être considérée comme étant une chose inférieure. Cette tromperie tragique s’est appuyée sur l’orgueil et l’ego humains, c’est pourquoi elle s’est répandue si facilement au milieu d’un christianisme pourri. En fait, elle a ouvert la porte au monde spirituel, c’est-à-dire à des êtres spirituels, les démons. Jésus chasse les démons par Sa parole de vérité et par l’Esprit de Dieu. Il a également donné ce pouvoir aux apôtres et à chaque chrétien afin qu’ils puissent vaincre ces démons. Toutefois, la condition est qu’un chrétien soit enraciné dans le Christ et son Évangile, et qu’il soit un véritable disciple du Christ.

Le paganisme possède de nombreuses branches. Dans son essence, il consiste à s’ouvrir à un gouvernement démoniaque et à adorer les démons et Satan. La pseudo-culture occulte influence surtout les jeunes d’aujourd’hui. Ce n’est plus l’athéisme qui fait partie d’une bonne image, mais plutôt le paganisme et l’occultisme. Nous pouvons prendre comme exemple le livre populaire, Harry Potter. Presque tous les films et les livres pour enfants, et même les livres universitaires, font la promotion de la magie et de l’occultisme. Halloween, fête sataniste, qui s’accompagnait de sacrifices humains, est imposée aux enfants dans les écoles maternelles. Les Aztèques païens offraient chaque année jusqu’à 20 000 sacrifices humains à leurs prétendues divinités, c’est-à-dire à des démons.

Alors qu’il était encore vivant, la poitrine d’un jeune homme était ouverte et son cœur était sacrifié aux démons. Ce n’est que le christianisme qui a mis fin à cette pratique. Néanmoins, les chamans ont offert des sacrifices à l’idole Pachamama jusqu’à ce jour, par exemple lors de la construction de maisons. Un petit lama est placé dans les fondations des petites maisons, ou un sacrifice humain est offert et placé dans les fondations des grands bâtiments. Ils prennent généralement un sans-abri ou un touriste, le droguent avec des opioïdes ou des narcotiques, puis l’enterrent vivant dans les fondations. Des rituels sataniques similaires sont pratiqués non seulement en Amérique du Sud, mais aussi au Tibet.

Dans le cinquième livre de Moïse, donc plus de 1000 ans avant l’ère commune, le Seigneur, par l’intermédiaire de Moïse, met en garde contre des formes spécifiques de divination, de magie et de spiritisme (Deutéronome 18:10-11).

On parle beaucoup aujourd’hui d’ésotérisme, de parapsychologie, de l’énergie dite reiki, de la méthode Silva, du ying-yang, du feng-shui, des bonsaïs, de l’acupuncture chinoise et d’autres pratiques du bouddhisme chinois. Les martyrs ont préféré subir des tortures cruelles et la mort, plutôt que d’adorer des divinités païennes, parce qu’ils savaient que le premier commandement du Décalogue dit clairement : « Je suis le Seigneur ton Dieu, le seul Dieu, tu n’auras pas d’autres dieux (païens) devant moi. Tu ne te créeras pas d’idole sous forme d’animal, d’oiseau, de reptile ou d’être humain, car moi, le Seigneur ton Dieu, je suis un Dieu jaloux ».

Lorsque le diable a tenté Jésus dans le désert, Jésus lui a dit : « Éloigne-toi de moi, Satan, car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu ne serviras que Lui ». Le système païen est un service et un culte rendu à de faux dieux : les démons et Satan lui-même.

Certes, il est parfaitement clair pour tout le monde aujourd’hui que la voie, ou un programme des élites dirigeantes, qui promeuvent le paganisme, l’immoralité et la dépopulation, est une voie de l’anti-christ. Le pseudo-Pape François marche aussi sur cette voie, et l’appelle une voie synodale. Il n’est pas nécessaire de commenter sa consécration aux démons lors du rituel païen exécuté par un chaman. Il a commis une apostasie publique, pour laquelle il a attiré sur lui l’anathème – l’excommunication – à savoir, l’exclusion de l’Église du Christ.

La foi rédemptrice est enracinée dans la vérité révélée par Dieu. « Quiconque croit (en Christ) et est baptisé, sera sauvé » (Mc 16,16). C’est le fondement. Mais il doit être suivi d’un chemin, qui est Jésus-Christ. Celui qui persévère sur ce chemin jusqu’à la fin, sera sauvé (Mt 24:13). En suivant ce chemin, une personne a surtout besoin d’une routine de prière quotidienne. Idéalement, un dixième du temps de la journée. Ceux qui donneront à Dieu 2,5 heures par jour se libéreront de la dépendance à l’esprit du monde et à la tromperie, qui est active dans les médias grand public et les réseaux sociaux. Ainsi, ils préféreront la communication verticale à la communication horizontale ou, en d’autres termes, ils préféreront la vérité rédemptrice à la tromperie, aux demi-vérités et à la vanité.

Quant à la prière, elle nous amène à la croix du Christ. Là, nous confessons nos péchés et recevons le pardon par la foi dans le sang du Christ versé pour la rémission des péchés.

La foi rédemptrice se manifeste principalement dans la prière intérieure et dans une relation personnelle avec le Sauveur. Elle nous unit à Lui. Nous unissons nos souffrances et nos croix à Lui, c’est-à-dire que nous vivons la co-crucifixion avec le Christ.

Notre but après cette courte vie est la vie éternelle. Il n’y a qu’un seul véritable chemin qui y mène, et c’est Jésus-Christ. Il est le Chemin et la Vérité, mais aussi la Vie : la vie éternelle (Jn 14,6).

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Gilbert Toutfaire
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« Monsieur BOULIANNE honore sa famille et notre ancien royaume de France. Il devrait être décoré par notre Président des Arts et des Lettres. Encore merci pour la tâche accomplie par un homme de bonne volonté. »

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Guy Boulianne, auteur, éditeur et journaliste indépendant, membre de la General News Service Network Association (GNS Press) et de l'International Association of Press Photographers (IAPP) Il est aussi membre de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il est le fondateur et l'éditeur en chef des Éditions Dédicaces LLC : http://www.dedicaces.ca.

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Christine Viau

Excellent! Il est bon de se faire rappeler la Vérité.

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