Le 20 janvier dernier, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé une nouvelle loi européenne sur les micropuces dans un discours spécial à l’Agenda de Davos. La loi, qui sera proposée début février, vise à augmenter la production de micropuces sur tout le continent en réponse à la demande croissante et à réduire la dépendance vis-à-vis des fournisseurs hors d’Europe. « Le besoin européen de puces doublera au cours de la prochaine décennie », a expliqué von der Leyen. « C’est pourquoi nous devons élever radicalement le jeu de l’Europe sur le développement, la production et l’utilisation de cette technologie clé. » La part de marché mondiale de l’Europe dans les semi-conducteurs n’est que de 10 % aujourd’hui, a expliqué la présidente von der Leyen. La plupart des approvisionnements proviennent d’une poignée de producteurs en dehors du continent. « D’ici 2030, 20 % de la production mondiale de micropuces devrait être en Europe », a déclaré von der Leyen. « Gardez à l’esprit que la production mondiale elle-même va doubler. Cela signifie quadrupler la production européenne d’aujourd’hui. »
L’offre a eu du mal à suivre la demande, d’autant plus que la pandémie a accru le besoin de produits de haute technologie nécessaires pour permettre le travail à distance. Mais répondre prend du temps, a déclaré à Wired David Yoffie, professeur à la Harvard Business School. Les problèmes de chaîne d’approvisionnement ont également aggravé les difficultés de production, le coût d’expédition des produits dans le monde augmentant fortement depuis le début de la pandémie de Covid-19.
« Le numérique est un sujet décisif », a insisté Ursula von der Leyen dans son discours annuel sur l’état de l’Union européenne, au cas où cela n’aurait pas été clair malgré la multiplication des règlements en cours d’élaboration (Digital Markets Act, Digital Services Act, Artificial Intelligence Act). Elle a réitéré l’importance d’investir dans la souveraineté numérique européenne. A ce titre, la présidente de la Commission européenne a consacré une partie de son exposé aux semi-conducteurs, « ces petites puces qui font tout fonctionner, des smartphones et des trottinettes électriques aux trains et aux usines. Il n’y a pas de numérique sans puces ». Un marché sur lequel la part de l’Europe dans la conception et la production mondiales a diminué.
Discours spécial d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, 20 janvier 2022. [Version anglaise]
Après le discours de Ursula von der Leyen, le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, s’est joint à cette dernière pour discuter de la loi européenne sur les micropuces (European Chips Act) et de la “Déclaration de Rome” décidée lors du Sommet mondial sur la santé le 21 mai 2021. Klaus Schwab dit : « J’aimerais mettre en lumière ce que vous avez dit à propos de l’European Chips Act parce que c’est un pas important pour créer un cerveau sophistiqué pour la numérisation et pour l’avoir localisé dans une certaine mesure en Europe et également votre référence à la Déclaration de Rome, (…) lancé en fait au sein du club des rapports mondiaux. » (L’interprète français traduit par « matière physique », alors que Schwab dit bien : « cerveau sophistiqué pour la numérisation ». Veuillez comparer la version française à la version anglaise, à 22:32 min.) La Déclaration de Rome contient les principes internationaux afin de répondre aux futures crises sanitaires, assurer l’efficacité et la détermination dans le secteur de la santé. Alors, pourquoi associer la Déclaration de Rome avec la Loi européenne sur les micropuces, si ce n’est pour instaurer et pérenniser le passeport vaccinal dans le cadre des futures crises sanitaires ?
Lors du Sommet mondial sur la santé à Rome le 21 mai 2021, les dirigeants du G20, les responsables d’organisations internationales et régionales et les représentants d’organismes de santé mondiaux ont adopté la “Déclaration de Rome” dans laquelle ils s’engagent à respecter des principes communs pour lutter contre la Covid-19, à prévenir les pandémies futures et à se préparer à de telles pandémies. Nous pouvons lire dans cette déclaration commune :
Réaffirmons que la pandémie continue d'être une crise sanitaire et socio-économique mondiale sans précédent, avec des effets directs et indirects disproportionnés sur les plus vulnérables, sur les femmes, les filles et les enfants, ainsi que sur les travailleurs de première ligne et les personnes âgées. Ce ne sera pas fini tant que tous les pays ne seront pas en mesure de maîtriser la maladie et, par conséquent, une vaccination à grande échelle, mondiale, sûre, efficace et équitable, associée à d'autres mesures de santé publique appropriées, reste notre priorité absolue, parallèlement au retour à une forte, une croissance durable, équilibrée et inclusive. Reconnaître l'impact très néfaste de la pandémie sur les progrès vers la réalisation des objectifs de développement durable (ODD). Nous réaffirmons notre engagement à les atteindre pour renforcer les efforts visant à mieux reconstruire (comme dans la résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies du 11 septembre 2020) et au Règlement sanitaire international 2005 (RSI), qui ensemble amélioreront la résilience et les résultats en matière de santé mondiale. Soulignent avec force le besoin urgent d'intensifier les efforts, y compris par le biais de synergies entre les secteurs public et privé et les efforts multilatéraux, pour améliorer l'accès rapide, mondial et équitable à des outils COVID-19 sûrs, efficaces et abordables (vaccins, produits thérapeutiques, diagnostics et équipements de protection, ci-après "outils"). Reconnaître la nécessité de soutenir ces efforts par des systèmes de santé renforcés, rappelant le sommet extraordinaire du G20 du 26 mars 2020.
Y a-t-il encore quelqu’un sur cette planète pour croire que la « vaccination obligatoire » du poison à ARN messager obtenue par l’extorsion, la coercition, la menace et la ségrégation (comme le fait le gouvernement caquiste au Québec) a quelque chose à voir avec la santé publique ?!
Nous n’avons plus à nous poser de questions sur les raisons pour lesquelles les gouvernements insistent tant à injecter l’ensemble de la populations mondiale sans aucune exception, et ceci malgré le fait que tout le monde sait à l’heure actuelle que la « pandémie » est en train de devenir une simple « maladie endémique » grâce au variant Omicron. L’objectif réel est d’injecter des nanoparticules dans tous les individus, ce qui permettra de les connecter et de les contrôler à travers un réseau tentaculaire et sataniste détenu par les globalistes, ce qui les mènera tout droit vers la grande Bête de l’événement.
L’injection du poison à ARNm nanotechnologique a tout à voir avec la mise en esclavage de la population et sa soumission au gouvernement totalitaire par l’intermédiaire des techniques de torture psychologique et de conditionnement mental, illustrées par Albert Biderman dans sa fameuse charte.
Les principes de la Déclaration de Rome
Nous nous engageons à promouvoir et à faire des progrès tangibles vers ces principes et l’action qu’ils guident par le Sommet du G20 à Rome en octobre et au-delà et invitons leur examen lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé (AMS) et d’autres forums pertinents, ainsi que par toutes les parties prenantes concernées. Nous allons:
1) Soutenir et améliorer l’architecture sanitaire multilatérale existante pour la préparation, la prévention, la détection et la riposte avec une OMS efficace, financée de manière appropriée, durable et prévisible en son centre, en tenant compte de la prochaine Assemblée mondiale de la santé et des divers processus d’examen récents et en cours, y compris ceux qui en résultent de la WHA précédente. Soutenir la réalisation des ODD, de leurs cibles et d’initiatives spécifiques telles que le Plan d’action mondial pour une vie saine et le bien-être pour tous afin de mieux aider les pays à accélérer les progrès vers les ODD liés à la santé, y compris vers la couverture sanitaire universelle. Soutenir l’objectif d’une reprise durable, inclusive et résiliente qui promeut la réalisation progressive du droit pour tous de jouir du meilleur état de santé possible.
2) Œuvrer et mieux soutenir la mise en œuvre intégrale, le suivi et le respect du RSI, et la mise en œuvre renforcée de l’approche multisectorielle fondée sur des données probantes Une seule santé pour faire face aux risques émergeant de l’interface homme-animal-environnement, la menace de résistance aux antimicrobiens, notant le rôle des organisations internationales compétentes à cet égard et encourageant de nouvelles orientations de santé publique en consultation avec les organisations de santé concernées sur les voyages internationaux par voie aérienne ou maritime, y compris les navires de croisière.
3) Favoriser les approches politiques de l’ensemble de la société et de la santé pour tous, avec des éléments nationaux et communautaires qui se renforcent mutuellement, et promouvoir la responsabilité aux plus hauts niveaux du gouvernement pour parvenir à une meilleure préparation, prévention, détection et réponse.
4) Promouvoir le système commercial multilatéral, en notant le rôle central de l’OMC et l’importance de chaînes d’approvisionnement mondiales ouvertes, résilientes, diversifiées, sûres, efficaces et fiables sur l’ensemble de la chaîne de valeur liée aux urgences sanitaires, y compris les matières premières à produire vaccins, et pour la fabrication et l’accès aux médicaments, diagnostics, outils, équipements médicaux, produits non pharmaceutiques et matières premières pour faire face aux urgences de santé publique.
5) Permettre un accès mondial équitable, abordable, opportun et à des outils de prévention, de détection et d’intervention de haute qualité, sûrs et efficaces, en tirant parti de l’expérience d’ACT-A, ainsi qu’aux mesures non pharmaceutiques, à l’eau potable et à l’assainissement. , l’hygiène et la nutrition (alimentaire adéquate) et à des systèmes de santé solides, inclusifs et résilients ; et soutenir des systèmes de distribution de vaccins solides, la confiance dans les vaccins et la littératie en santé.
6) Aider les pays à revenu faible et intermédiaire à renforcer leur expertise et à développer leurs capacités de fabrication locales et régionales d’outils, notamment en s’appuyant sur les efforts de COVAX, en vue de développer des capacités mondiales, régionales et locales de fabrication, de manutention et de distribution améliorées. Permettre davantage une utilisation accrue des technologies de la santé et la transformation numérique des systèmes de santé.
7) Tirer parti des synergies et s’appuyer sur l’expertise des organisations et plateformes concernées pour faciliter le partage de données, le renforcement des capacités, les accords de licence et les transferts volontaires de technologie et de savoir-faire à des conditions mutuellement convenues.
8) Renforcer le soutien aux structures existantes de préparation et de prévention pour une vaccination équitable contre les maladies évitables par la vaccination, et aux programmes de surveillance et de santé pour ces maladies et d’autres, y compris le VIH/sida, la tuberculose, le paludisme et autres, et les maladies non transmissibles, dans le cadre d’une stratégie intégrée prestation de services et veiller à ce que personne ne soit laissé pour compte.
9) Investir dans le personnel de santé et de soins dans le monde entier, pour réaliser le triple dividende d’une meilleure santé, d’une accélération du développement et de progrès en matière d’inclusion sociale et d’égalité des sexes, en développant des compétences mutuellement reconnues par l’éducation et la formation, notamment par le biais d’initiatives pertinentes de l’OMS, notamment le Académie de l’OMS. Investir dans la santé communautaire et dans les systèmes de santé pour obtenir des services de santé renforcés, résilients, inclusifs et de haute qualité, la continuité des soins, les soins locaux et à domicile et les capacités de santé publique dans tous les pays. Investir dans des mécanismes multilatéraux dirigés par l’OMS pour faciliter l’assistance et les capacités de réponse à utiliser dans les pays en développement et touchés par les crises. Investissez également dans l’assainissement de l’eau et l’hygiène dans les établissements de santé afin de réduire les risques d’infection et de protéger les travailleurs de la santé.
10) Investir dans des ressources, une formation et un personnel adéquats pour les laboratoires de diagnostic de santé publique et animale, y compris la capacité de séquençage génomique, et partager rapidement et en toute sécurité des données et des échantillons pendant les urgences au niveau national et international, conformément aux lois applicables, aux accords, réglementations et arrangements existants pertinents .
11) Investir dans le développement, le renforcement et l’amélioration des systèmes interopérables d’information, de surveillance et de déclenchement d’alerte précoce conformément à l’approche One Health. Investir dans de nouveaux efforts pour renforcer la surveillance et analyser les données sur les épidémies potentielles, y compris le partage rapide et transparent d’informations et de données intersectorielles et internationales, conformément au RSI.
12) Investir de manière prévisible, efficace et adéquate, conformément aux capacités nationales, dans la coopération nationale, internationale et multilatérale dans la recherche, le développement et l’innovation, pour les outils des systèmes de santé et les mesures non pharmaceutiques, en tenant compte des questions d’évolutivité, d’accès et de fabrication à partir de un stade précoce.
13) Coordonner les mesures pharmaceutiques et non pharmaceutiques et la réponse d’urgence (y compris la coordination en ligne des centres de crise et d’opération), dans le contexte d’une reprise durable et équitable, avec des investissements dans la santé, la préparation et la réponse et des politiques éclairées par des avis scientifiques. Les politiques doivent accélérer les progrès vers la réalisation des ODD, lutter contre les causes profondes des urgences sanitaires, y compris les déterminants sociaux de la santé, la pauvreté, les inégalités structurelles et la dégradation de l’environnement, renforcer le capital humain, accélérer les transitions verte et numérique et stimuler la prospérité pour tous.
14) Accroître l’efficacité des mesures de préparation et d’intervention en soutenant et en promouvant un dialogue significatif et inclusif avec les communautés locales, la société civile, les travailleurs de première ligne, les groupes vulnérables, les organisations de femmes et autres et toutes les autres parties prenantes concernées et en luttant contre la désinformation et la désinformation. Soutenez cela avec confiance et transparence en ce qui concerne la gouvernance et la prise de décision, découlant de la communication opportune et culturellement adaptée d’informations précises, de preuves et d’incertitudes, et des leçons tirées de la réponse à la pandémie de COVID-19 et des précédentes urgences de santé publique. Entreprendre la promotion de la santé et travailler sur les déterminants sociaux de la santé pour aborder d’autres problèmes de santé critiques tels que les maladies non transmissibles, la santé mentale et l’alimentation et la nutrition,
15) Répondre au besoin de mécanismes améliorés, rationalisés, durables et prévisibles pour financer la préparation, la prévention, la détection et la réponse à long terme en cas de pandémie, ainsi qu’une capacité d’appoint, capables de mobiliser rapidement des fonds et des ressources privés et publics de manière coordonnée, transparente et collaboration et avec une responsabilisation et une surveillance solides. Dans un esprit de solidarité, joignez vos efforts pour soutenir en particulier la fabrication et la fourniture de vaccins et autres fournitures et/ou la fourniture de financements pour l’achat de vaccins, aux pays à revenu faible et intermédiaire.
16) Chercher à garantir l’efficacité de ces mécanismes de financement, notamment en mobilisant des financements mixtes, des mécanismes innovants, des sources publiques, privées et philanthropiques et des fonds d’institutions financières internationales. Chercher à éviter la duplication des efforts et souligner la nécessité pour les pays de financer leurs capacités nationales en matière de RSI et de R&D, principalement par des ressources nationales en fonction de leur situation nationale, et de mobiliser un soutien pour ceux qui ne peuvent pas le faire. Souligner l’importance des efforts multilatéraux pour répondre aux besoins de financement des pays à revenu faible et intermédiaire, y compris la nouvelle allocation générale proposée de droits de tirage spéciaux par le FMI, une reconstitution ambitieuse de l’IDA20 et les mesures existantes approuvées par le G20.
Le 22 mai 2021, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, visita le Saint-Siège/État de la Cité du Vatican et rencontra avec le pape François. (Commission européenne)
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Les ancêtres de Ursula von der Leyen
Ursula von der Leyen, née Albrecht le 8 octobre 1958 à Ixelles (Belgique), est une femme d’État allemande. Membre de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), elle est ministre fédérale entre 2005 et 2019 et présidente de la Commission européenne depuis 2019. Elle descend d’une famille de la bourgeoisie hanséatique, avec des connexions aristocratiques, et dont l’origine remonte au XVIIe siècle.
La plupart de ses ancêtres sont originaires des États autrefois indépendants de Hanovre et de Brême, dans le nord de l’actuelle Allemagne. Elle a par ailleurs une arrière-grand-mère américaine d’ascendance principalement britannique, des ancêtres français et italiens plus éloignés, et quelques ascendances dans ce qui est aujourd’hui les États baltes, appartenant alors encore à l’Empire russe. La famille Albrecht figurait parmi les familles dites hübsche (patriciennes, de haute bourgeoisie) de l’électorat de Hanovre, et les ancêtres d’Ursula von der Leyen étaient soit médecins, juristes, universitaires ou fonctionnaires depuis le XVIIe siècle. Son trisaïeul George Alexander Albrecht se transporta à Brême au XIXe siècle, où il prospéra comme négociant en coton, devint un hanséate (c’est-à-dire membre de l’élite dans l’une des villes hanséatiques) et occupa la fonction de consul d’Autriche-Hongrie à partir de 1895. Il épousa Louise Knoop, fille du baron Ludwig Knoop, l’un des entrepreneurs les plus fortunés du XIXe siècle dans l’Empire russe.
Le bisaïeul d’Ursula von der Leyen était le négociant en coton Carl Albrecht (1875–1952), qui épousa Mary Ladson Robertson (1883–1960), Américaine issue de la famille Ladson, qui appartenait à l’aristocratie sudiste de Charleston en Caroline du Sud. Ses ancêtres américains ont joué un rôle notable dans la colonisation britannique de l’Amérique du nord et dans la traite trans-atlantique. Mary Ladson Robertson en effet était la fille d’Edward Twells Robertson, marchand de coton de Charleston, et de Sarah Gilmor Ladson, descendante de trois des enfants du révolutionnaire américain et lieutenant-gouverneur de Caroline du Sud James Ladson, de plusieurs gouverneurs coloniaux britanniques, et des tout premiers colons anglais dans les Barbades, dans la Caroline, en Virginie et en Pennsylvanie. Parmi les ancêtres de von der Leyen figurent également les gouverneurs John Yeamans, James Moore, Robert Gibbes, Thomas Smith et Joseph Blake, mais aussi Joseph Wragg et Benjamin Smith, qui se rangent parmi les plus grands marchands d’esclaves en Amérique du Nord britannique. Au moment où l’esclavage fut aboli aux États-Unis, son ancêtre James H. Ladson (1795–1868) détenait environ 200 esclaves. Mary Ladson Robertson, qui était affiliée à la National Society of the Colonial Dames of America, était aussi une descendante du vice-gouverneur de Pennsylvanie Samuel Carpenter et de Christopher Branch, l’un des premiers colons anglais, et était apparentée à Thomas Jefferson. Carl Albrecht et Mary Ladson Robertson étaient les parents du grand-père d’Ursula von der Leyen, le psychologue Carl Albrecht, connu pour avoir conçu une nouvelle méthode de méditation et pour ses recherches en matière de conscience mystique.
La famille der Leyen vit près de Hanovre (Allemagne) depuis 2007, sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils ont sept enfants et un petit-fils.
RÉFÉRENCES :
- Nouvelles et communiqué de presse : « Sommet mondial sur la santé : Déclaration de Rome [EN/DE/IT] ». Publié à l’origine le 21 mai 2021. ReliefWeb, Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA), 21 mai 2021. [Afficher l’original]
- Joe Myers : « ‘There’s no digital without chips’: New European Chips Act announced ». World Economic Forum, 20 January 2022.
- Will Knight : « Why the Chip Shortage Drags On and On … and On ». Wired, November 12, 2021.
- Latest News : « Global Semiconductor Sales Increase 23.5% Year-to-Year in November; Industry Establishes Annual Record for Number of Semiconductors Sold ». Semiconductor Industry Association, January 03, 2022.
- Chris Baraniuk : « Why is there a chip shortage? ». BBC News, 27 August 2021.
- Tech Tent : « Intel chief warns of two-year chip shortage ». BBC News, 28 July 2021.
- Raphaële Karayan : « Souveraineté numérique : l’Europe veut sa législation sur les semi-conducteurs ». L’Usine Digitale, 15 septembre 2021.
- Léna Corot : « L’European Chips Act présenté début 2022, selon Thierry Breton ». L’Usine Digitale, 30 novembre 2021.
- Nick Flaherty : « Europe preps its CHIPS Act ». European Business Press (eeNews), January 21, 2022.
- Matthew Townsend and Jonathan Benson : « European Chips Act: towards EU semiconductor autonomy ». Allen & Overy, 22 December 2021.
- Setra : « L’UE va proposer une nouvelle législation pour quadrupler la production de puces ». Presse Citron, 24 janvier 2022.
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