Selon le Patriarcat Catholique Byzantin, le pape François a placé l’Eglise sous la domination des démons via un rituel païen effectué au Canada

La tournée de plusieurs jours de Bergoglio au Canada avait un objectif principal : effectuer une percée dans l’opinion publique de l’Église catholique, à savoir que le culte et l’invocation des démons, l’ouverture et la consécration à eux sont tout à fait au même niveau, voire à un niveau supérieur, que le culte du vrai et seul Dieu. Bergoglio cherche à supprimer le premier commandement qui dit : « Je suis le Seigneur ton Dieu… Tu n’auras pas d’autres dieux que Moi. Tu ne te feras pas d’idole sous la forme de quoi que ce soit dans les cieux en haut (oiseaux), sur la terre en bas ou dans les eaux en bas. Tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les adoreras pas. » (Exo 20, 1-5) L’Apôtre des nations met en garde contre le paganisme : « Bien qu’ils se prétendent sages, ils sont devenus fous et ont échangé la gloire du Dieu immortel contre des images ayant l’apparence de l’homme mortel, des oiseaux, des animaux et des reptiles. Ils ont échangé la vérité de Dieu contre le mensonge, et ils ont adoré et servi les choses créées plutôt que le Créateur. » (Rom 1:22-23.25)

Bergoglio poursuit un objectif choquant et absurde : effacer de la conscience des catholiques l’incompatibilité entre Dieu et le diable ! Effacer la différence entre la lumière et les ténèbres, entre le salut et la damnation ! Il s’agit non seulement d’apostasie et de rébellion contre Dieu, mais aussi d’un péché commis contre le Saint-Esprit.

Lors d’un rituel païen au Canada, un chaman a demandé à Bergoglio, aux évêques et aux personnes présentes de mettre leurs mains sur leur cœur. Ce chaman a ensuite invoqué les démons pour qu’ils viennent s’emparer de leurs esprits et de leurs cœurs, tout en soufflant rituellement dans un sifflet en os de dinde sauvage.

La plupart des rituels païens auxquels Bergoglio a participé étaient accompagnés de tambours ou de chants forts. Les participants portaient des coiffes faites de plumes d’oiseaux et représentaient divers oiseaux. Un chaman effectuait une cérémonie sacrée sur une coiffe de plumes, qu’il plaçait ensuite sur la tête de Bergoglio en signe de soumission à Satan et aux démons adorés par les païens (cf. 1Co 10:20).

La spiritualité païenne, cachée derrière les danses et les rituels, n’est pas une chose innocente. Rappelons-nous simplement la soi-disant culture et les traditions des Aztèques. Chaque matin à l’aube, un chaman arrachait le cœur de la poitrine d’une personne vivante et l’offrait aux divinités païennes. Chaque année, environ 20 000 vies humaines étaient sacrifiées à ces divinités. Sans le christianisme, qui a apporté la culture de l’amour de Dieu et de l’homme et les principes de justice, ce règne de terreur païen aurait détruit toute l’humanité. La tragédie, c’est que les serviteurs des démons ont actuellement un gouvernement de l’ombre dans le monde, et cherchent la dépopulation. Bergoglio leur ouvre la voie en provoquant une malédiction par sa trahison de Dieu et son union avec les démons. Nous en avons déjà fait l’expérience après son intronisation du démon Pachamama. Cela a été suivi par la vaccination expérimentale à ARN messager à l’échelle mondiale. Que pouvons-nous attendre après ce geste apostat au Canada ?

Les chrétiens ayant l’esprit de Vatican II ont déjà oublié que tous les martyrs, surtout dans les trois premiers siècles, ont préféré souffrir la torture et la mort plutôt que de rendre hommage aux divinités païennes, c’est-à-dire aux démons, avec un seul grain d’encens. Un exemple en est saint Ignace, évêque d’Antioche. Il était un disciple des apôtres Pierre et Jean. Lorsque l’empereur Trajan (98-117) entendit parler de l’évêque Ignace, il le fit amener devant lui et le força à adorer des divinités païennes. Le saint répondit : « Devriez-vous me jeter aux bêtes pour qu’elles me dévorent, devriez-vous me crucifier sur la croix ou m’abandonner aux flammes, je ne ferai jamais de sacrifice aux démons ! ». Saint Ignace fut condamné et envoyé à Rome pour être jeté aux lions affamés. Sur le chemin en bateau vers Rome, il avertit les Ephésiens : « Quiconque corrompt par une doctrine mauvaise l’Église de Dieu, pour laquelle Jésus-Christ a été crucifié, celui-là, se souillant [de cette manière], ira dans le feu éternel, ainsi que tous ceux qui l’écoutent. »

Ce jugement s’applique pleinement au pseudo-pape François. Il corrompt l’Église de Dieu par une doctrine méchante, c’est pourquoi il ira, comme le prévient saint Ignace, dans le feu éternel. Et il en sera de même pour tous ceux qui l’écoutent. Bergoglio entraîne toute l’Église dans l’idolâtrie satanique et appelle la malédiction de Dieu sur l’Église et le monde !

Saint Ignace dit à l’empereur : « Même si vous me jetez aux bêtes pour être dévoré, je ne ferai jamais de sacrifice aux démons ! ». Cette attitude de saint Ignace se fonde sur les enseignements des Saintes Écritures et de la Tradition apostolique et entière de l’Église.

Sous le règne de l’empereur Hadrien (117-138), l’évêque Eleuthère fit preuve de la même détermination que saint Ignace. Saint Eleuthère venait de Rome et fut contraint de rendre hommage à des divinités païennes. Il refusa en disant : « On ne peut que pleurer sur votre folie. Dieu vous a dotés de raison… mais vous avez abandonné le vrai Dieu, qui a tout créé, et vous lui faites la guerre. Vos dieux sont en réalité des démons qui cherchent à détruire vos âmes en enfer. Les considérer comme des dieux, leur offrir des sacrifices et les adorer est la plus grande folie ! Je n’adorerai qu’une seule et unique personne, et c’est Jésus-Christ ! ». L’évêque subit une série de tortures cruelles, resta fidèle au Christ, et finalement l’empereur Hadrien ordonna qu’on lui coupe la tête avec une épée.

En 2019, le pseudo-pape a intronisé le démon Pachamama au Vatican. Lors de sa visite au Canada, Bergoglio s’est soumis à un sorcier – un chaman – au cours d’un rituel païen, et avec lui tous les évêques présents. Ayant subi un rite initiatique de consécration aux démons, Bergoglio crée un précédent pernicieux pour tous les catholiques. Le saint évêque Eleuthère lui dira, ainsi qu’aux évêques présents : «On ne peut que pleurer sur votre folie ! Dieu vous a doté de raison, mais vous l’avez abandonné ! Vous considérez les choses créées comme des dieux, et vous adorez un démon que vous appelez la “Terre Mère”». En outre, le martyr condamnerait Bergoglio et les évêques : « Vous avez abandonné le vrai Dieu, qui a tout créé, et vous lui faites la guerre ». En raison du geste d’apostasie commis par ces personnes, elles sont sous l’anathème de Dieu selon Gal 1:8-9, c’est-à-dire la malédiction et l’exclusion du Corps mystique du Christ : l’Église. Si ces évêques refusent de se repentir, ils finiront en enfer.

Sous l’empereur Aurélien (270-275), Saint Chariton fut amené devant le préfet de la ville, qui l’obligea à adorer des divinités païennes. Chariton répondit : « Tous les dieux des païens sont des démons. Sans la permission de Dieu, ils n’ont pas même de pouvoir sur les porcs. » Chariton fut soumis aux tortures les plus cruelles pour sa fidélité au Christ. La déification de la soi-disant “Terre Mère” est une idolâtrie. Les païens adorent la création au lieu du Créateur. L’apôtre Paul dit : « Bien qu’ils aient prétendu être sages, ils sont devenus fous. Ils ont échangé la vérité de Dieu contre le mensonge, et ils ont adoré et servi les choses créées plutôt que le Créateur. » (Rom 1:22-23.25)

Lors de sa visite au Canada, Bergoglio a déguisé sa considération pour les démons en une démonstration d’appréciation de la culture et de la spiritualité dites indigènes. C’est la faute de Vatican II et de la hiérarchie catholique si ces païens, bien que baptisés, pratiquent des rituels idolâtres et de la magie, même dans les églises catholiques. Ce faisant, ils adorent des démons et non Dieu. Ils accomplissent ainsi l’agenda apostat Nostra Aetate de Vatican II. Jean-Paul II a également participé à des rituels païens au Canada et ailleurs. Le Concile de Vatican II doit donc être appelé pour ce qu’il est, c’est-à-dire hérétique. Les papes post-conciliaires doivent être excommuniés publiquement et à titre posthume de l’Église pour avoir encouragé l’apostasie programmée, comme ils s’étaient déjà excommuniés eux-mêmes du Corps mystique du Christ par leur promotion notoire du paganisme. Sans cette mesure radicale, il ne peut y avoir de réveil spirituel ni de restauration de l’Église ! Dans le cas contraire, le processus d’autodestruction se poursuivra, et le pseudo-Pape Bergoglio l’accélère actuellement par sa participation directe à des rituels sataniques, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’espace ecclésial.

Si seulement la provocation flagrante de Bergoglio mettait les catholiques paralysés en alerte !

Chers catholiques, allez-vous enfin réaliser les vérités les plus essentielles de la foi et commencer à distinguer qui marche sous la bannière du Christ et qui marche sous la bannière de l’antéchrist ! La réalité est que l’invalide Pape François est sous un anathème multiple de Dieu, sous l’excommunication de l’Eglise et sous une malédiction ! Cette dernière est transmise à tous ceux qui se soumettent à lui et lui obéissent.

Chers évêques, prêtres et fidèles, il est de votre devoir devant Dieu de vous séparer radicalement du Pape invalide !

Le prophète Elie a interpellé le peuple sur le Mont Carmel : « Jusqu’à quand hésiterez-vous entre deux opinions ? Si le Seigneur est Dieu, suivez-le ; mais si c’est Baal, suivez-le ! » (1R 18,21). Le prophète a ensuite prié : « Écoute-moi, Seigneur, écoute-moi, afin que ce peuple sache que Tu es le Seigneur Dieu, et que Tu as ramené leur cœur vers Toi. » (v. 37)

Renouvellement des vœux de baptême,
particulièrement pertinent après le scandale au Canada :

Que deux témoins soient présents. Que chaque catholique mette la main sur son cœur, et dise :

« Je renonce à Satan et à ses démons.
Je renonce à toutes les pratiques superstitieuses et païennes liées à la divination ou à la magie.
Je renonce au serviteur de Satan, François Bergoglio.
Je crois en Dieu le Créateur et en son Fils Jésus-Christ, l’unique Sauveur.
Maintenant, je reçois Jésus-Christ en tant que mon Seigneur et mon Dieu. Amen.
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen. »

Le pseudo-pape François participe à un rituel païen lors de sa visite au Canada

Citation des médias : « Au cours de sa visite au Canada, il a été planifié que le pape François participera à des cérémonies païennes avec des peuples indigènes. »

Commentaire : Bergoglio a fait tomber une malédiction en intronisant le démon Pachamama, préparant ainsi le terrain pour la première pandémie associée à la vaccination transgénique expérimentale. A présent, alors qu’une autre pandémie se profile à l’horizon, il effectue à nouveau ouvertement un geste apostat en participant immédiatement à un rituel païen. Une fois de plus, il attire la malédiction, en détournant sciemment la protection de Dieu de l’humanité !

Citation : « Le pape a participé à un rituel païen de purification de type “smudging” et a prié en se tournant vers les quatre points cardinaux, selon les traditions indigènes. »

Commentaire : Ce même article publicitaire concernant la visite de Bergoglio au Canada donne l’explication suivante : « La tradition indigène ne consiste pas à prier face aux quatre points cardinaux mais plutôt à prier chacune de ces directions, en les honorant comme des divinités ou des dieux en soi. » Cela clarifie ce à quoi participe réellement Bergoglio.

Citation : « Pendant la visite du pape, un ancien (chaman) entrera dans l’église en tenant un bol de cèdre, de sauge, d’herbe douce (sweetgrass) et de tabac fumants, afin de purifier l’église. »

Commentaire : Une église catholique est consacrée par un évêque. Elle est ointe d’huile sainte et sanctifiée par l’offrande du Sacrifice non sanglant et l’administration des sacrements. Une église est profanée si un suicide ou un meurtre, une dépravation, un rituel païen ou une cérémonie satanique s’y déroulent. L’église doit alors être consacrée à nouveau, après une certaine période de repentance et de prières, afin de servir Dieu et non Satan et ses démons. Cependant, la prétendue purification de l’église à la demande de Bergoglio consiste en fait en sa profanation publique par un rituel païen invoquant le diable et les démons afin qu’ils occupent ce territoire sacré ! Après la visite de Bergoglio, selon la tradition catholique, l’église aura besoin d’un exorcisme et elle devra être re-consacrée.

Citation : « Le smudging (l’étalement de boue d’épuration) possède un double objectif :

1) montrer la reconnaissance du rituel d’une manière observable/publique ; et

2) en tant que rituel de purification dans l’espace lui-même et en tant que geste visant à rendre l’espace ‘plus hospitalier’ afin d’accueillir le Saint-Père. »

Commentaire : Montrer la reconnaissance du rituel d’une manière observable/publique signifie la légalisation pratique de l’idolâtrie par l’autorité papale ! Bergoglio abolit officiellement le premier commandement et crée un précédent pour que d’autres églises catholiques soient profanées par des chamans et des satanistes.

Le deuxième objectif du rituel païen d’invocation des démons est de rendre l’espace « plus hospitalier » pour accueillir le Saint-Père. Si Bergoglio a fait en sorte que les démons soient invoqués pour l’accueillir, il a ainsi prouvé qui il est vraiment. En s’unissant publiquement aux démons, il transperce le Sacré-Cœur de Jésus, auquel l’église est dédiée.

Citation : « Le père Bouvette a reconnu que la cérémonie du “smudging” n’est pas une tradition catholique, mais a soutenu qu’elle n’est “certainement pas contraire à celle-ci. »

Commentaire : Les rituels païens non seulement ne sont pas une tradition catholique, mais ils sont en contradiction directe avec elle ! On ne peut pas servir à la fois Christ et Bélial (2Co 6:15).

Citation : « Le prêtre poursuit : “Certaines pratiques païennes seraient sacrilèges parce que soit elles se moquent de notre foi, soit elles ouvrent dangereusement à l’ordre spirituel dans lequel l’on n’a aucun contrôle sur ce qui entre ou s’attache.” »

Commentaire : Ce propagateur du syncrétisme admet lui-même que les pratiques païennes ouvrent à l’ordre démoniaque. Elles sont donc sacrilèges car elles se moquent de notre foi, et elles ouvrent aussi dangereusement les âmes aux démons. Les démons entrent par leur intermédiaire et s’attachent à une personne dans le but de la lier spirituellement et d’empêcher son salut. Bergoglio participe délibérément à ces rituels et crée un pernicieux précédent.

Citation : « Habituellement, la personne qui effectue le smudging utilise une plume ou une branche pour diriger la fumée vers les participants qui utilisent leurs mains pour l’accueillir en signe de leur désir de purifier leur esprit et leur cœur. »

Commentaire : Si les catholiques utilisent leurs mains en signe de leur désir de purifier leurs esprits et leurs cœurs avec l’aide de démons qui entrent par ce rituel, alors tôt ou tard cette apostasie et cette diabolisation les affecteront douloureusement. Bergoglio n’ouvre pas la porte au Sauveur par la repentance et la prédication de l’Évangile, mais par des rituels païens, il ouvre la porte aux forces démoniaques.

Citation : « Le père Bouvette a admis qu’en plus d’être une tradition indigène, la cérémonie du smudging (boue d’épuration) est pratiquée dans la sorcellerie et la wicca. »

Commentaire : Ici, ce prêtre admet ouvertement qu’il s’agit d’une pratique de sorcellerie et de satanisme pratiquée directement au sein de l’église en l’honneur du pseudo-pape Bergoglio.

Citation : « Le pape a décrit sa visite au Canada comme un “pèlerinage pénitentiel”. »

Commentaire : Ce n’est pas un pèlerinage de pénitence ! C’est une moquerie de la véritable pénitence. C’est tourner le dos au Christ et aux vérités de l’Évangile qui nous donnent l’assurance de notre salut.

Aujourd’hui encore, la parole de Dieu nous met en garde de manière pressante : « Les choses que les païens sacrifient, ils les sacrifient aux démons et non à Dieu, et je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons. » (1Co 10:20) Jésus a dit à l’apôtre Paul : « Je t’ai envoyé vers les païens pour leur ouvrir les yeux, afin de les faire passer des ténèbres à la lumière, et de la puissance de Satan à Dieu, pour qu’ils reçoivent le pardon des péchés et un héritage parmi ceux qui sont sanctifiés par la foi en moi. » (Actes 26:18)

Mais qui envoie François Bergoglio s’il fait exactement le contraire ? Ce n’est certainement pas le Jésus qui a envoyé Paul aux païens afin de les tourner vers Dieu de sorte qu’ils soient sauvés.


« Nous devons nous souvenir que nous suivons Jésus Christ dont la vie, humainement parlant, s’est achevée dans l’échec : dans l’échec de la croix. »

— Pape François, Cathédrale Saint-Patrick, New York, 24 septembre 2015

François promeut le “smudging”, c’est-à-dire l’invocation des démons dans une église au Canada – mais que dit Dieu ?

Bergoglio promeut publiquement un rituel païen – l’invocation de démons au cours d’une cérémonie de purification – et l’introduit littéralement dans les églises catholiques ! Cette profanation d’une église est hypocritement appelée purification ! Il met en œuvre son plan esquissé lors du soi-disant Synode amazonien. C’est là qu’il a préparé l’introduction d’éléments et de pratiques païens, c’est-à-dire sataniques, dans la liturgie. C’est le comble du blasphème, un péché contre le premier commandement et la suppression de facto du sacrifice perpétuel, contre lequel le prophète Daniel met en garde et que Jésus nous rappelle quelques jours avant sa mort rédemptrice (Mt 24,15).

Le processus interne d’apostasie a officiellement commencé avec le Concile de Vatican II. Ce Concile a non seulement ouvert la porte aux hérésies du néomodernisme, mais avec la déclaration Nostra Aetate, il a lancé le processus destructeur du syncrétisme avec le paganisme. Jean-Paul II a incarné ce programme et, en 1986, il a convoqué les païens à Assise. En unité avec eux, il a prié le soi-disant dieu unique, pleinement conscient que les païens ne prient pas Dieu, mais des démons et le diable. Ce faisant, il a jeté une malédiction sur l’ensemble de l’Église.

Le concile de Vatican II est également intervenu dans l’espace liturgique et a détourné le prêtre et l’autel du tabernacle. La désacralisation de l’intérieur des églises a suivi. A présent, le plan du processus synodal de Bergoglio inclut littéralement la satanisation des églises. Son but consiste à transférer l’Église catholique vers la structure antichrétienne du Nouvel Âge, où le culte de Dieu est remplacé par le culte des démons.

En intronisant le démon Pachamama, Bergoglio a lancé une malédiction sur l’Église catholique et sur l’humanité. Cela s’est manifesté extérieurement par le déclenchement par Bergoglio de la soi-disant pandémie, par la fermeture des églises et par le slogan fanatique « des vaccins pour tous », avec la devise diabolique « c’est un acte d’amour ».

Maintenant, avant la prochaine étape de la vaccination planifiée qui sera associée au Great Reset (Grande Réinitialisation), Bergoglio place à nouveau l’Église catholique et le monde sous un nuage de malédiction. Il se rend délibérément au Canada et, sous couvert de prétendues excuses adressées aux peuples indigènes, il poursuit un objectif précis, à savoir la promotion du satanisme païen en plein cœur d’une église. Il a organisé un soi-disant rituel païen de purification. Il s’agit en fait d’une souillure spirituelle de l’église par l’invocation de démons.

Pour tout cela, les catholiques devraient faire une pénitence efficace, dont la première étape consiste à se séparer de l’hérétique manifeste et de sa voie, qui est rebelle au Dieu trinitaire et qui se termine en enfer. Même les aveugles peuvent le voir, aujourd’hui. Les catholiques sont obligés de se repentir d’avoir gardé le silence sur ses crimes, qui sont déjà allés si loin qu’il promeut publiquement le satanisme ! Les catholiques ne connaissent-ils pas le premier commandement ? Ne savent-ils pas qu’ils ne peuvent pas se soumettre à celui qui se soumet aux démons et au diable et qui insulte et se moque publiquement de Dieu ? En s’unissant à cet archi-hérétique, qui a usurpé la plus haute fonction de l’Église, ils s’attirent une malédiction et se coupent du Corps mystique du Christ.

Aujourd’hui encore, ainsi parle le Seigneur, le Dieu des armées, le Dieu d’Israël : « Pourquoi commettez-vous ce grand mal contre vous-mêmes… en me provoquant à la colère…, en brûlant de l’encens à d’autres dieux… afin que vous, membres de l’Église catholique, vous vous coupiez et soyez une malédiction et un opprobre parmi toutes les nations de la terre ? ».

C’est une terrible tragédie que de se couper du Corps mystique du Christ ! La conséquence de cela est en effet une malédiction doublée d’un aveuglement spirituel. Êtes-vous conscients de ces conséquences désastreuses pour votre propre salut, chers catholiques ?

Chers évêques et prêtres, l’archi-hérétique Bergoglio, qui promeut publiquement le paganisme, la sodomie et détruit tous les commandements de Dieu, est-il un véritable Pape ? Si vous dites qu’il l’est, vous vous êtes déjà éloignés du vrai Dieu avec lui ! Ne pouvez-vous plus distinguer le chemin du paradis de celui de l’enfer ? Bergoglio blasphème Dieu publiquement. Comment pouvez-vous hocher de la tête en signe d’approbation, et être en unité avec lui ? Le premier et tous les autres commandements de Dieu n’existent plus, pour la secte bergoglienne.

Dieu avertit à plusieurs reprises par l’intermédiaire du prophète : « Ils m’ont provoqué à la colère en brûlant de l’encens et en adorant d’autres dieux qu’ils ne connaissaient pas… ». Dieu condamne cette combustion d’encens, ou smudging, comme étant une abomination : « Oh, ne commettez pas cette chose abominable que je déteste ! » (Jer 44:3.4b). Bergoglio, cependant, commet cette chose abominable et, de plus, il crée un précédent néfaste.

L’anti-mission de Bergoglio au Canada

Le paganisme n’adore pas le vrai Dieu, mais les démons et le diable. La Parole de Dieu dit : «Ce que les païens sacrifient, ils l’offrent aux démons et non à Dieu» (1Co 10:20). Le paganisme est lié à la négation de Dieu le Créateur et au rejet des lois et des commandements de Dieu. Les cultes païens, qui adorent les forces spirituelles du mal, déifient les animaux. L’hindouisme, par exemple, considère la vache comme étant sacrée. L’invasion du néo-paganisme a commencé à l’époque du Concile de Vatican II. Le yoga a commencé à être popularisé dans les territoires chrétiens comme une forme apparemment innocente de gymnastique. Mais en réalité, le yoga fait partie de l’hindouisme païen. L’hindouisme professe la croyance en l’hérésie de la réincarnation, qui contredit les vérités fondamentales du christianisme. Plus précisément :

1) La réincarnation nie Dieu le Créateur, de qui toute chose a son existence.

2) La réincarnation nie également , le Sauveur et le pardon des péchés en Jésus-Christ. Au lieu de cela, elle promeut de fausses pratiques d’auto-salut.

3) La réincarnation nie la réalité du paradis et de l’enfer éternels. Elle ouvre ainsi la porte à l’immoralité égoïste et, par le fait même, à l’autodestruction.

4) La réincarnation nie l’existence d’une âme immortelle en l’homme.

Le Concile de Vatican II a négligé de mettre en garde contre la propagation du modernisme athée et du paganisme idolâtre. Le modernisme athée, avec sa méthode historico-critique, a créé un vide pour l’acceptation de la fausse spiritualité païenne. Le paganisme comprend l’hindouisme, le bouddhisme, l’animisme amazonien et d’autres cultes païens qui adorent les démons. Avec sa déclaration Nostra Aetate, le Concile a tracé la voie de l’apostasie vers le paganisme. Il a établi un soi-disant respect pour les cultes païens et a ainsi empêché ou éliminé de facto la véritable mission. Au contraire, ce Concile a ouvert la porte à l’anti-mission du paganisme dans les territoires chrétiens. Ce n’est pas une chose innocente, c’est un crime spirituel !

Les papes conciliaires et post-conciliaires ont encouragé l’esprit du paganisme, associé au culte des démons, tant par leur silence que par leurs activités ou leurs gestes. Jean XXIII, Paul VI et Jean Paul II ont eu une responsabilité extraordinaire. Il faut savoir qu’il était de leur devoir de discerner les hérésies du Concile et de rejeter ce Concile comme étant hérétique. Ils ont fait exactement le contraire. C’est un crime contre Dieu et contre le Corps mystique du Christ : l’Église. S’ils ont refusé de montrer une vraie repentance, même à l’heure de la mort, ils sont à présent en enfer ! Tel est l’enseignement de l’Église sur ceux qui refusent de se repentir même à l’heure de la mort, et qui meurent dans l’hérésie ou le péché grave. C’est se moquer de l’Évangile du Christ que de canoniser ces apostats, comme l’a fait l’archi-hérétique Bergoglio. Mais il y a aussi et il y aura en enfer de nombreux évêques et prêtres qui se sont unis aux hérésies du Concile et ont refusé ou refuseront le repentir salvateur, même à l’heure de la mort.

Dans l’ère post-conciliaire, pas un seul document papal n’a été publié pour empêcher la propagation du paganisme au sein du christianisme ! Au contraire, toutes les écoles de théologie ont scandé sans fin le mantra : « Secundum Vaticanum…. Nostra Aetate… ».

Les évêques et les prêtres contemporains qui ont suivi une formation post-conciliaire devraient admettre humblement qu’ils ont été empoisonnés par cet esprit d’hérésie. Ils doivent donc faire preuve d’un véritable repentir et se séparer de cet enseignement et de cet esprit hérétiques s’ils veulent être sauvés. Celui qui possède l’esprit de la théologie post-conciliaire est incapable de distinguer l’esprit du paganisme de l’Esprit du Christ. Une telle personne est incapable de distinguer même les vérités menant au salut des mensonges menant à la condamnation.

Le processus de paganisation hérétique de Vatican II a été accéléré par Jean-Paul II à Assise, en 1986. Il a convoqué les chefs païens et a prié en unité avec eux. Il était bien conscient que les païens prient des démons et le diable, et non Dieu. Il a causé une grande offense et a créé un précédent néfaste. Il a créé une fausse opinion publique selon laquelle le christianisme et les cultes païens d’adoration des démons étaient des voies égales pour le salut. Mais la vérité est que Jésus, le Fils de Dieu, est mort seul pour nos péchés sur la croix. C’est pourquoi ceci est et sera toujours vrai : « Il n’y a de salut en personne d’autre » (Actes 4:12). Malheureusement, il n’est plus permis de dire cela à haute voix du haut de la chaire ou parmi les laïcs actifs, car cela offenserait, comme on dit, les soi-disant autres religions. Et cela serait contraire à l’esprit du Concile de Vatican II. Cette opinion publique hérétique selon laquelle le paganisme est une voie égale de salut, est déjà profondément enracinée chez la plupart des chrétiens. Maintenant, Bergoglio est en train de la légaliser officiellement. Il fait déjà de l’anti-mission au Canada en promouvant des rituels païens qui invoquent les démons, comme le smudging ou la danse dédiée à la soi-disant Terre Mère. La déification de la terre, c’est-à-dire de la création, est une idolâtrie et, de plus, sous couvert de ce concept, les païens baptisés adorent un démon spécifique. Bergoglio est non seulement présent, mais il participe également à l’invocation des démons au cours de ce rituel agrémenté de tambours et de chants en l’honneur de ce démon. C’est un autre geste de son apostasie. Le pire est qu’il crée un précédent pernicieux pour tous les chrétiens. Il a commencé à transplanter des pratiques démoniaques dans les rites chrétiens.

Vatican II a tracé la voie de l’anti-mission, et François est en train de la mettre en pratique partout. Le Canada, l’Amazonie, l’intronisation du démon Pachamama au Vatican : voilà le chemin que suit Bergoglio pour entraîner les catholiques ignorants dans l’apostasie de masse et dans la transition vers l’anti-Église du Nouvel Âge. Cette anti-Église ne vénère plus le vrai Dieu, mais des démons et Satan. C’est le but caché du processus synodal de Bergoglio.

Les païens ont besoin d’une véritable évangélisation pour être sauvés. Ils doivent apprendre que l’essence du christianisme est

1) la foi en Dieu le Créateur et

2) la foi en l’unique Sauveur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu.

L’Église est obligée de se prononcer clairement contre l’occultisme, les pratiques païennes anciennes et modernes et leur actualisation dans la pseudo-culture contemporaine. Promouvoir ces pratiques païennes, c’est promouvoir de faux chemins, et c’est un crime si un évêque ou un prêtre les promeut. C’est le devoir d’un vrai berger que de mettre en garde son troupeau contre ces voies. Il n’y a pas de communion entre le chemin du salut que nous a donné le Christ et les chemins païens du yoga ou du paganisme amazonien ou canadien. Ici, ce qui suit s’applique : « Quelle communion y a-t-il entre la lumière et les ténèbres ? Et quel accord a le Christ avec Bélial ? Ou quelle part a le croyant avec les païens ? Et quel accord a le temple de Dieu avec les idoles ? » (cf. 2Co 6:15-16).

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
+ Méthode OSBMr / + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

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Alain Blais
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