L’avocat et prédicateur, Martyn Iles, explique comment les gens devraient se comporter en présence du système babylonien moderne

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Je partage avec vous une superbe vidéo réalisée par la chaîne Resolved, basée sur un récent discours de Martyn Iles. Celui-ci est un avocat, commentateur et prédicateur d’origine australienne vivant aux États-Unis. Il est le PDG exécutif d’Answers in Genesis, spécialisé dans les attractions thématiques (Ark Encounter et Creation Museum), le contenu numérique et l’éducation. Il produit également deux programmes YouTube intitulés « Truth in 10 » et « Living in Babylon ». Entre 2018 et 2023, Iles a été directeur général de l’Australian Christian Lobby (ACL), l’un des plus grands mouvements politiques d’Australie. À ce titre, il a produit un vlog populaire intitulé “The Truth of It” et est apparu fréquemment dans les médias, notamment dans des programmes tels que 60 Minutes, Today, The Project, Sunrise, Sky, The National Press Club, ABC Q+A et tous les principaux réseaux de télévision, journaux et stations de radio d’Australie.

Iles a cofondé la Human Rights Law Alliance, un cabinet d’avocats australien qui se consacre à aider les personnes ayant besoin d’un soutien juridique dans les domaines de la liberté de religion, de conscience et d’expression. Il a également travaillé dans un cabinet d’avocats d’affaires de premier plan, a été propriétaire d’une entreprise technologique et a servi dans le ministère pastoral des jeunes. Iles est un ancien champion de débat. La vidéo ci-dessous a reçu le titre “Ne quittez pas votre maison avant d’avoir regardé ceci avant le 20 janvier, car le temps est compté” par les créateurs de Resolved.

➽ Ne quittez pas votre maison avant d’avoir regardé ceci avant le 20 janvier, car le temps est compté

➦ Un discours de l’avocat et prédicateur Martyn Iles

En fait, Babylone ne fait pas que persécuter. En fait, elle ne persécute pas nécessairement si elle peut séduire. Babylone séduit aussi les gens. Elle est décrite de manière assez explicite dans l’Apocalypse comme la grande prostituée. Et il est dit que les habitants de la terre se sont enivrés du vin de son immoralité sexuelle. Et elle décrit ensuite ce qu’elle offre, qui n’est pas seulement de l’immoralité sexuelle, ce sont des perles, de l’or, de l’argent et, vous savez, toutes ces parures et ce glamour et c’est ce que Babylone dit : « Hé, devinez quoi, chrétien ? Devinez quoi ? Croyant au vrai Dieu. Devinez quoi, vous qui détestez les homosexuels, comme ils le diraient, vous pouvez appartenir à cet endroit. Vous pouvez profiter de cet endroit. Vous pouvez avoir une belle vie. Vous savez quoi ? Vous pouvez avoir le rêve américain. Vous pouvez avoir une retraite solide. Vous savez, vous pouvez appartenir aux meilleurs cercles sociaux. Vous pouvez obtenir beaucoup de promotions. Vous pourriez aller à l’université et être célébré et reconnu et être, vous savez, l’une de ces personnes. Vous pourriez tout avoir. C’est très facile. Tout ce que vous avez à faire, c’est de montrer que vous avez votre place ici. Tout ce que vous avez à faire, c’est de ne pas parler trop fort. Ne vous exprimez pas trop sur les questions qui pourraient vous valoir le reproche de la culture ou du compromis et de nous suivre dans tout ce que nous faisons. Vous pouvez passer un très, très bon moment. Vous n’avez pas à souffrir. Et, vous savez, une vague de compromis déferle sur les États-Unis d’Amérique en ce moment. »

C’est presque comme si les armes étaient pointées sur une personne et qu’on lui disait : « Vas-tu vraiment te démarquer comme un bigot ? Ou vas-tu juste faire des compromis ? » Vous savez, ils s’en prennent à tout le monde pour les tester et leur demander : « Est-ce que tu as ta place ici ? » C’est intéressant. C’est exactement ce qui est arrivé à Daniel lors de son premier jour à Babylone. On a dit à Daniel : « Tu peux avoir ta place ici. Tu peux avoir une place dans l’équivalent antique de l’Université de Harvard. Tu peux avoir un emploi dans l’équivalent antique de la Maison Blanche. Tu peux avoir le luxe, le glamour et les bons moments qui accompagnent la vie antique. Tu peux dîner à la table du roi. Tu peux monter dans un char rapide. Tu peux sortir dans tous les clubs et tous les lieux sociaux où se trouvent toutes les personnes importantes. Tu n’as pas besoin de souffrir une seule seconde, Daniel. » Et vous savez quoi ? Dans un sens, Babylone nous dit cela à tous ce soir. Tu n’as pas besoin de souffrir une seule seconde de nos mains. Tout ce que tu as à faire, c’est manger la nourriture. Tout ce que tu as à faire, c’est de faire un petit compromis et tu peux te le justifier.

Je veux dire, qu’aurait pu dire Daniel ? Daniel aurait pu dire : « Ah, Dieu m’a donné cette opportunité incroyable. Pourquoi la gâcherais-je ? » Daniel aurait pu dire : « Eh bien, c’est trop tôt pour défendre la vérité et la justice. Je serai très puissant un jour. Je serai capable de faire une vraie différence dans quelques années, alors je devrais m’en tenir à cela pour l’instant. » Ou Daniel aurait pu dire : « Ce n’est pas un péché majeur. Ils ne me demandent pas de tuer qui que ce soit. » Oh, Daniel aurait pu simplement dire : « Oh, eh bien, la Bible a-t-elle vraiment dit que Dieu, vous savez, en revenant aux paroles du serpent ? Est-ce vraiment une exigence pour le chrétien de toujours faire cela ? C’est sûrement contextuel. Il aurait pu faire un certain nombre de choses. »

Mais voilà le problème. Quand vous compliquez les choses, nous serons tous confrontés à des jours d’épreuves comme ceux-ci, nous tous, surtout les jeunes. Si vous compliquez les choses, faites attention. Faites attention à ce que ce ne soit pas ce vieux serpent qui vous murmure à l’oreille. Dieu a-t-il vraiment dit ? Parce que très souvent, c’est compliqué. Souvent, ce n’est pas le cas.

Et voici le problème. À ce moment-là, Daniel n’a pas essayé de planifier sa vie. Il n’a pas dit : « Je dois faire des compromis aujourd’hui pour obtenir ce dont j’ai besoin demain. » Il ne pensait pas comme ça. Il a dit : « Non, je dois honorer Dieu aujourd’hui et Dieu m’honorera demain. » C’est une philosophie de vie très différente. Et dans des moments comme ceux-là, nous devons tous vivre selon la même foi que Daniel avait lorsque Babylone est arrivée et a dit : « Voici une séduction ». Oh, et au fait, voici le prix à payer pour dire non. Nous devons dire que c’est entre les mains de Dieu, et nous devons dire non à la séduction et en assumer le prix. Et tous les jours n’étaient pas roses pour Daniel. Il a fini dans la fosse aux lions. Il a traversé des moments difficiles, mais il a continué à faire confiance à Dieu. Il a fait ce que Jésus nous demandait de faire : compter le prix à payer, prendre notre croix et le suivre. Et pensez au chemin que Jésus a parcouru avant nous, à la façon dont il a compté le prix à payer, à la façon dont il a porté la honte de tout ce qu’il était, de tout ce qu’il croyait et de tout ce qu’il était sur terre pour faire. Et il nous demande de suivre le même chemin, et nous devons tous compter le prix à payer pour Dieu, pour dire non au péché à Babylone.

C’est dans Apocalypse 18 : « Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés. » Et c’est ce que dit l’Apocalypse. Nous devons tous être prêts pour le jour de l’épreuve, et nous devons tous vivre par la foi dans ces moments-là, comme Daniel l’a fait. Quel bel exemple il est. Et vous savez, Daniel a commencé de cette façon. Et c’est si souvent vrai que nous finissons comme nous commençons. Et il a terminé de cette façon. Et nous avons vu dans la lecture des Écritures plus tôt que le roi Belshatsar, le dernier jour de Babylone, le roi Belshatsar a fait un grand festin pour mille de ses seigneurs. Et vous vous asseyez là et vous vous dites : « Eh bien, qui est absent de ce grand festin pour tous ces dignitaires à Babylone, quel est un dignitaire à Babylone qui n’était pas là ? » Vous savez qui n’était pas là ? Daniel n’était pas là. Daniel ne participait pas à la scène et au compromis de Babylone. Il est resté jusqu’à la fin à l’écart. Et il n’a pas exigé de lui-même d’être là où il ne devait pas être pour avancer, pour gagner une place dans cette culture. Il a fait confiance à Dieu à chaque étape. Et, vous savez, je veux dire que peut-être quelqu’un a besoin d’entendre cela. Vous n’avez pas besoin d’être là. Vous n’en avez pas besoin. Dieu prendra soin de vous si vous vous tenez à ses côtés. Et vous ne faites pas de compromis. Parce que dans le dessein et le plan de Dieu, ces choses fonctionnent lorsque nous lui faisons confiance. Et c’est intéressant. Le premier jour où on a demandé à Daniel et à ses amis de faire des compromis. Cela n’aurait pas été très clair, n’est-ce pas ? Je veux dire, vous l’auriez été. Toute la pression aurait été si présente et si incroyable sur vous, et il aurait été si difficile de faire le bon choix, et le coût aurait semblé si grand, et vous auriez voulu vous justifier. Et ce n’était pas du tout clair le premier jour, pour un jeune esprit et une jeune personne confrontée à toute cette pression. Mais quand vous allez au dernier jour, au chapitre cinq de Daniel, à la fête de Belshatsar, et que tout cela tombe à pic, tout d’un coup, c’est tellement clair. Tout d’un coup, il est tellement évident quel était le bon choix. Et que Dieu nous donne cette clarté, la sagesse de voir les choses comme elles finiront afin que nous prenions la bonne décision aujourd’hui.

Dieu est miséricordieux, et il y a une fenêtre de miséricorde sur chaque société rebelle. Il y a une période de grâce qui nous éclipse chaque jour parce que Dieu est patient, comme je l’ai dit, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais que tous arrivent à la repentance. Mais voyez-vous, dans une Babylone, le lendemain n’est pas garanti, parce que vous ne le savez tout simplement pas. Vous savez, nous avons un espoir aujourd’hui, qui est l’espoir que Ninive avait de se repentir. Mais vous ne le savez tout simplement pas. Tant que ce repentir ne vient pas. Vous ne savez pas combien de temps nous avons. Il y a une ligne dans le sable, il y a une ligne qui peut être franchie et je ne sais pas quand elle est ou ce qu’elle est exactement, mais je sais ceci. Cela n’a rien à voir avec la taille de notre péché. Nous pouvons être de très grands pécheurs. L’espoir n’est jamais perdu. Ce n’est pas la grandeur du péché qui compte, mais la résistance à la grâce de Dieu, la résistance à la grâce de Dieu.

Car Daniel dit à Belshazzar dans ce passage des Ecritures : « Tu savais mieux que moi, tu savais tout cela au sujet de ton père Nabuchodonosor, comment il s’est converti, comment il a été transformé en animal pendant un temps. Puis il est revenu à la raison, et alors il a craint Dieu. Tu connaissais toute l’histoire. Tu savais qu’à Babylone il y avait une ombre de la grâce de Dieu sur cet endroit. Et pourtant, tu as quand même fait ce que tu as fait, et tu as quand même résisté à la grâce de Dieu jusqu’à la fin. » Et cela me préoccupe, parce que l’Occident sait mieux que moi. L’Occident a le christianisme dans la structure de chacune de nos institutions. Cela me préoccupe vraiment. L’Occident est la plate-forme à partir de laquelle les missionnaires sont allés dans le monde entier. La tribune sur laquelle les hommes d’État chrétiens, les pasteurs chrétiens et toutes sortes de personnes se sont levés pour défendre la vérité. Nous avions l’Évangile, et nous devons tous garder à l’esprit quelque chose de très important. Le seul espoir que nous ayons ce soir, c’est l’Évangile de Jésus-Christ.

Je suis très triste de la direction spirituelle que prend l’Amérique en ce moment. Nous sommes tous tristes à ce sujet. Et j’entends cela partout où je vais. Mais j’espère que notre tristesse n’est pas une tristesse de la fin. Vous savez, pour citer l’Ancien Testament, « les poireaux et les aulx d’Égypte », vous savez, les bonnes choses, les bons moments de 1985. J’espère, j’espère que c’est une tristesse spirituelle. J’espère que c’est une tristesse à cause du fait qu’il y a des gens qui sont condamnés et qui vont en enfer. J’espère que c’est une tristesse à cause du fait que nos politiciens s’exaltent contre Dieu Lui-même, et j’espère que nos prières sont dirigées dans ce sens, et j’espère que le témoignage de nos vies est dirigé dans ce sens chaque jour. Mais j’espère aussi que c’est quelque chose qui nous fait réfléchir pour nous-mêmes personnellement, parce que le jugement va arriver. Et dans Daniel chapitre cinq, le jugement a été compté, pesé, divisé. Nos jours sont comptés. Nous sommes pesés dans la balance et la fin approche pour nous tous. Nous mourrons tous.

Et il y aura un jour où l’Amérique n’existera plus. L’Australie n’existera plus. Tout comme Babylone n’existait plus. C’est toujours ainsi. Tout va arriver. C’est ainsi. Mais quand nous entendons que nos jours sont comptés, pensons-nous en nous-mêmes ? Oui. Le temps est court pour nous tous. Et pensons-nous à ce que dit le psalmiste : « Seigneur, enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre coeur à la sagesse ». Beaucoup de temps est gaspillé dans l’oisiveté et les choses stériles à Babylone, parce qu’il y a tellement de pain et de jeux, tellement de divertissements, tellement de YouTube, tellement de jeux informatiques et de frivolités. Nous perdons du temps.

Avons-nous compté nos jours et les avons-nous alloués au service de Dieu ? Cherchons-nous à utiliser le temps dont nous disposons pour faire avancer la vérité et l’évangile de Jésus pour notre bien, pour le monde et pour la nation dans laquelle nous vivons ? J’espère que nous le ferons. Et est-ce que nous prenons en compte le fait qu’un jour viendra où nous serons pesés dans la balance ? Vous savez, beaucoup de gens à qui je parle, je parle du jour du jugement dernier et ils disent : « Oui, mais je suis en Christ et je ne serai pas jugé ». Vous savez quoi ? C’est à la fois vrai et faux. Vous n’irez pas en enfer, c’est sûr. Louez Dieu pour cela. Mais vous devrez rendre des comptes. Nous devons tous rendre des comptes. Et vous savez que le livre est écrit. Et je me demande ce que nous avons fait qui aura du poids ce jour-là.

Vous savez, il y a tellement de gens à Babylone qui sont allés chercher l’université de Harvard, le poste à la Maison Blanche, le luxe et les bons moments à la table du roi, la proximité du pouvoir, ou comme dans Daniel 5, que nous venons de lire, « une robe pourpre et une chaîne en or ». Les gens feront beaucoup de bêtises pour une robe pourpre et une chaîne en or. Si je pouvais parler métaphoriquement. Beaucoup d’entre nous se laissent aller à ces choses, mais que va-t-il leur arriver ? Que va-t-il se passer au dernier jour ? Au dernier jour, un grand cri va s’élever. Et je lis Apocalypse 18 : « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! » Hélas, hélas, la grande ville puissante, Babylone ! Car en une seule heure ton jugement est venu. Hélas, hélas, hélas, hélas ! pour la grande ville qui était vêtue de fin lin, de pourpre et d’écarlate, parée d’or, de pierres précieuses et de perles ! Car en une seule heure toutes ces richesses ont été dévastées.

Apocalypse 18 est une lamentation de ceux qui se tiennent en retrait et pensent : « Nous avons tout perdu ». Est-ce notre prière que le dernier jour nous n’ayons rien perdu ? Que le dernier jour nous ayons accumulé tant de trésors pour nous-mêmes ? Des choses faites pour Jésus, que les dernières âmes soient sauvées grâce à un témoignage de l’évangile qui survivra avec nous dans la vie suivante. Ainsi, lorsque le dernier jour sera sur nous, afin que nous vivions avec cette sagesse pour voir le dernier jour à partir d’aujourd’hui, qu’il soit proche ou lointain, et accumuler des trésors qui survivront à ce jour-là. C’est ce que Daniel a fait. Vous savez, Daniel a fait beaucoup de choses qui ont duré, et c’était vraiment la grande leçon de sa vie à travers six rois à Babylone et en Perse. Un héritage étonnant, étant donné qu’il a semblé tout gâcher le premier jour. Mais voyez-vous, Dieu était avec lui et il savait le premier jour qu’il pouvait voir la fin dès le début. Et il savait ce qui était vraiment précieux ce jour-là. Et ce qui était vraiment précieux ce jour-là, c’était de ne pas faire de compromis pour obtenir une récompense immédiate. Ce qui était précieux ce jour-là, c’était d’honorer Dieu pour une récompense éternelle.

Et vous savez, tout au long de ces six rois, vous voyez des mentions répétées de la lumière de son témoignage dans cet endroit sombre. Vous savez, sous le roi Darius, que se passe-t-il ? Ils essaient de l’attraper. Ils essaient de le faire tomber. Ils lancent une enquête de la CIA contre le guide pour trouver quelque chose à cause de son témoignage. Et, vous savez, la sainteté attirera la haine, mais la sainteté fera aussi l’œuvre de Dieu dans le monde. Et, oui, ils le haïssaient. Mais Nabuchodonosor a été sauvé. Et donc il a eu les deux. Et nous pouvons nous attendre aux deux. Et la lumière de son témoignage est là, et la lumière de notre témoignage doit être ici. Quelle que soit la sphère dans laquelle nous nous trouvons, que nous soyons dans le secteur de la santé, que nous soyons pasteurs, que nous soyons dans une entreprise professionnelle, quoi que nous fassions, que nous soyons en politique, il se peut que la lumière brille de nous dans l’environnement dans lequel nous avons été placés. Il se peut que nous soyons des gens qui nous regardent et voient clair en nous, et disent : « Je sais pourquoi tu es comme tu es. Je sais pourquoi tu es différent. Tu es différent parce que tu es l’un de ces chrétiens et que tu le penses et que tu le prends au sérieux. »

Et vous savez, nous glorifions Dieu quand les gens voient notre témoignage, et Dieu utilise cela comme un ingrédient de leur salut. Vous savez, parfois nous suranalysons nos attentes. Nous pensons que les gens nous verront, se mettront à genoux et se repentiront sur le moment. Cela ne fonctionne généralement pas de cette façon. Habituellement, les gens voient ici 10 ou 12 chrétiens différents. 10 ou 12 témoignages différents ont diverses rencontres dans leur vie lorsque Dieu a posé sa main sur eux. Et juste pour être l’un d’eux. Quelle chose de merveilleux. Et nous arriverons au ciel, et nous verrons beaucoup d’âmes de beaucoup de gens. Et il se peut que quelqu’un vienne et dise : « Je me souviens de toi, je me souviens de ce que tu as dit, je me souviens de ce que tu as fait, je me souviens de la personne que tu étais. » Et c’est en partie pour cette raison que je suis ici aujourd’hui. Que ce soit nous.

C’est ce qu’était Daniel. Mais Daniel avait aussi un héritage qui allait au-delà de sa propre vie. Babylone s’élève et s’effondre. Nous vivons, nous mourons et allons au ciel. Mais dans la grâce de Dieu, il peut nous donner un impact spirituel qui va au-delà de nous-mêmes et de nos vies. Que dit ce psaume où il dit : « Enseigne-nous à compter nos jours » ? Il dit aussi : « Affermis l’œuvre de nos mains. Rends-les durables. Fais en sorte que nous appliquions notre esprit et nos mains à des choses qui durent. » Et pour Daniel, il a dû faire quelque chose de bien. Parce qu’il était le chef des mages, n’est-ce pas ? Et où lisons-nous quelque chose au sujet des mages dans la Bible ?

Quelques centaines d’années plus tard, des mages venus d’Orient. Que recherchent-ils ? Jésus-Christ, le Sauveur du monde. Comment savent-ils qui il est ? Daniel était un prophète. Je ne peux pas trouver d’autre explication, sauf qu’il a laissé un héritage durable pendant plusieurs générations, de sorte que certaines d’entre eux cherchaient encore Jésus. Quelques centaines d’années plus tard. Et puis, bien sûr, ce n’est pas seulement un héritage au-delà de lui-même, mais c’est éternel.


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Mélanie Denommé
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