Une déclaration de réclamation a été déposée à la Cour supérieure de justice par Vaccine Choice Canada et Me Rocco Galati — MISE À JOUR

En raison des violations flagrantes et persistantes des droits constitutionnels des Canadiens par les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux dans leur réponse à Covid-19, Vaccine Choice Canada, ainsi que sept autres codemandeurs, ont intenté une action en justice contre le gouvernement du Canada, le Gouvernement de l’Ontario, la municipalité de Toronto métropolitain, divers responsables de la santé publique et la Société Radio-Canada.

Une déclaration de réclamation a été déposée à la Cour supérieure de justice de l’Ontario le 6 juillet 2020 (No. du dossier: CV-20-00643451-0000).

Étant donné l’incapacité des médias grand public à rendre compte de ce qui est sans doute l’événement le plus important au Canada aujourd’hui, il est nécessaire de vous faire cette annonce personnellement.

Au cours des derniers mois, un récit exagéré et malhonnête de « pandémie » a été utilisé pour inciter à une panique inutile et pour justifier la violation systématique des droits et libertés qui forment la base de notre société. Il s’agit notamment de l’état de droit, de nos droits constitutionnels, de la souveraineté nationale, du droit à la vie privée, de la sécurité financière et même de notre démocratie.

En période d’urgence, les droits constitutionnels ne cessent pas d’exister; en fait, ils deviennent encore plus importants.

De plus, d’innombrables experts médicaux et scientifiques de renommée internationale conviennent que la menace du coronavirus de cette année a été largement exagérée et ne justifie pas les mesures qui ont été imposées dans de nombreux pays, dont le Canada.

  • Des millions de citoyens ont été confinés sans discernement chez eux.
  • Le Parlement et les tribunaux ont été effectivement fermés.
  • Les entreprises, les économies et les moyens de subsistance locaux ont été détruits.
  • Les personnes souffrant de problèmes de santé graves non liés au COVID se sont vu refuser un examen médical et un traitement.
  • La vie sociale et culturelle a été effectivement éliminée par des exigences de distanciation physique.
  • Les résidents des foyers de soins de longue durée vivent en quasi-isolement cellulaire.
  • Les enfants ne sont plus correctement éduqués et socialisés.
  • Avec la fermeture des lieux de culte, les Canadiens ont perdu le droit de pratiquer leur religion et de participer à leurs communautés religieuses.
  • Dans de nombreuses municipalités, le masquage non médical est imposé sans preuves scientifiques ou médicales.
  • Les faits scientifiques sur Covid-19 et les opinions d’experts qui ne sont pas d’accord avec le récit officiel et les mesures imposées sans discrimination sont systématiquement censurés par les médias grand public, y compris la Société Radio-Canada.

Les gouvernements du Canada n’ont pas présenté de preuves scientifiques solides et vérifiables pour légitimer les mesures d’urgence en cours, ni offert une analyse coûts-avantages médicale et économique de l’impact de ces mesures.

Il est évident depuis longtemps que les conséquences sanitaires, sociales et économiques des mesures Covid-19 sont désastreuses et nuisent au bien-être des citoyens du Canada. Pourtant, nos gouvernements et nos agences de santé ont été inconscients des dommages croissants et sourds aux appels des citoyens, des organisations de la société civile et des experts médicaux et de la recherche.

Dans ces circonstances, le seul recours est une action en justice.

Mise à jour du défi juridique – au 3 décembre 2020

1 Constitutionnalité des mesures COVID

Raison du litige

En réponse à l’isolement forcé, à la quarantaine, à l’éloignement physique, à la fermeture d’entreprises, à la fermeture du Parlement, à la fermeture des tribunaux et à d’autres mesures qui violent les droits et libertés de la Charte, Vaccine Choice Canada et sept autres plaignants ont intenté une action en justice contre le gouvernement du Canada, le gouvernement de l’Ontario, la municipalité de Toronto, divers médecins en chef, Dre Teresa Tam, médecin-chef du Canada, la Société Radio-Canada (CBC), entre autres. Cette requête conteste le bien-fondé constitutionnel des mesures COVID imposées. La demande ne comprenait pas de mandats de masquage, car ces mesures n’étaient pas en place au moment de la demande.

La déclaration a été déposée le 6 juillet 2020. La déclaration peut être consultée en cliquant ici.

État actuel : Les défendeurs n’ont pas encore déposé de défense. Ceci est un fichier actif.

Suspension des opérations de la Cour supérieure

Remarque : La Cour supérieure de justice a suspendu toutes les opérations régulières à compter du 17 mars 2020. Certaines opérations de la cour ont repris le 14 septembre 2020. En raison de la suspension des opérations, le délai imparti aux défendeurs pour déposer une défense a également été suspendu.

2. Mesures pour répondre aux mandats de masquage – Ontario

Raison du litige

En réponse à l’imposition aveugle de couvertures faciales non médicales par les administrations municipales et les entreprises, Rocco Galati Law a été invité à préparer une demande devant la Cour supérieure de l’Ontario. La demande visait à contester la constitutionnalité des mesures de masquage et à demander une réparation immédiate.

État actuel :

Le 3 octobre 2020, le gouvernement de l’Ontario a déposé une loi visant à imposer un masquage non médical à tous les citoyens de l’Ontario. Cette loi a remplacé les divers mandats municipaux établis sans distinction dans toute la province.

Bien que la loi prescrivait le masquage dans toute la province, elle reconnaissait également formellement les exemptions légales au masquage. Les exemptions sont larges et comprennent la santé physique, émotionnelle et psychologique, ainsi que le credo ou la croyance. De plus, la législation indique clairement que la preuve d’une exemption n’est pas requise. L’inclusion de ces aspects dans la loi signifie en fait que le masquage dans la province de l’Ontario est volontaire.

Cette nouvelle législation représente la réparation recherchée par une demande en instance, à moins d’éliminer toutes les exigences de masquage. Par conséquent, demander un redressement supplémentaire sur cette question n’entraînerait vraisemblablement pas de modification législative de fond, car un redressement a déjà été accordé dans la législation existante. Il est raisonnable de supposer que l’inclusion claire et définitive d’exemptions de masquage dans la loi du 3 octobre 2020 était en réponse directe à la menace de poursuite judiciaire de Vaccine Choice Canada contre le gouvernement de l’Ontario.

Prochaines étapes

Cependant, l’inclusion d’exemptions au masquage dans la législation ne se reflète pas dans la pratique. L’accès à l’emploi, à l’éducation, à l’accès aux biens et services, etc. continue d’être restreint de manière arbitraire et illégale. Cela nécessite un changement d’orientation et d’efforts. Ceux-ci inclus:

  • Éducation : Vaccine Choice Canada et d’autres organisations investissent des ressources pour éduquer les citoyens et les entreprises de l’Ontario sur les aspects juridiques de la nouvelle législation afin de s’assurer que les citoyens et les propriétaires d’entreprise sont conscients de la légitimité des exemptions pour ceux qui en ont besoin.
  • Action juridique individuelle : dans le but de remédier aux violations inconstitutionnelles et des droits de l’homme des institutions, des entreprises et des services qui ne reconnaissent pas les exemptions légales valides, une action en justice individuelle peut être nécessaire.

Le Centre de droit constitutionnel développe activement des modèles juridiques soutenus par des vidéos éducatives pour aider les citoyens à intenter une action en justice devant la cour des petites créances contre ces entreprises et institutions. Ces modèles seront bientôt disponibles pour téléchargement sur le site Web du Constitutional Rights Center. Des modèles pour les autres provinces seront disponibles dès qu’ils seront élaborés. Voir : constitutionrightscentre.ca.

  • Demande contre les écoles : Une demande est en cours de préparation pour traiter des violations des droits de la Charte des enfants qui ont lieu dans nos écoles. En plus des violations de la Charte, des preuves du préjudice physique et psychologique infligé aux enfants sont recueillies. Cette demande est en cours de préparation et sera déposée prochainement.
  • Action citoyenne : l’action juridique ne peut à elle seule arrêter la confusion et la panique de masse générées par les messages déformés et manipulateurs de nos gouvernements, agences de santé et médias grand public. Cette panique et cette hystérie actuellement vécues par le public ne peuvent être combattues que par une action individuelle directe.

Cela comprend l’engagement de vos représentants élus, la responsabilisation des médias, l’éducation de la famille et des amis, la protestation et le non-respect des mesures illégales et inconstitutionnelles. Ce type de changement ne peut pas être provoqué par une seule affaire judiciaire, mais plutôt par chacun de nous qui s’engage dans une action pour défendre nos droits et libertés. Nous vous encourageons à soutenir les organisations engagées dans cette action et à faire ce que vous pouvez pour aider à restaurer nos droits et libertés au Canada.


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Diane Renaud
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