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Les 29 et 30 novembre dernier, je recevais un courriel de la part de l’un de mes contacts sur VKontakte, Gérard Luçon. Celui-ci m’écrivait : « Je vous ai transmis en message sur VK une enquête faite par un journaliste roumain, Adrian Onciu, dans laquelle il dévoile l’affaire du contrat “Ursula von der Leyen – Pfizer”. Nous avons traduit cette enquête en français et en anglais, c’est comme on dit “du lourd”. En fichier attaché vous avez l’article traduit en français (par Alex M., traduction que j’ai vérifiée parlant couramment la langue roumaine) avec une introduction que j’ai écrite mais que vous pouvez bien entendu supprimer. Bien amicalement. Gérard Luçon ». Ce dernier m’a aussi transmis ce document qui serait le contrat UE-Pfizer non censuré, ainsi que le document censuré présenté par l’Euro-député roumain Cristian Terheș. Comme le fait remarquer Monsieur Luçon : « Quand on compare les pages c’est assez impressionnant ! »
Cela dit, Adrian Onciu a perdu son emploi à cause de cette enquête. Son patron l’a mis à la porte et a effacé tous ses articles et vidéo des sites de Mediafax et de Aleph News où il avait son émission…
Gérard Luçon est un ancien éducateur puis directeur au Ministère de la Justice, ancien directeur de “Handicap International” puis de “Le Chèque Déjeuner” en Roumanie, ancien directeur général d’une société “Off Shore” en Chine (Harbin – HeiLongJiang) et ancien secrétaire général d’un fonds de pension en Roumanie. Officier de l’Ordre National “Steaua României”, il est l’auteur du livre “Aventures, Contes et Histoires Africaines” publié aux éditions L’Harmattan. Il a vécu en France, au Sénégal, en Roumanie et en Chine, suffisamment à chaque fois pour y connaître plus ou moins les gens, leur histoire, leur identité et leur culture. « La liberté d’expression est un bien trop précieux pour qu’on laisse quiconque y toucher, la pire des choses étant de laisser s’installer un “Ordre Moral” en lieu et place de la démocratie et des valeurs fondamentales de notre pays. » Gérard Luçon écrit plusieurs chroniques pour le compte de Agoravox.
Pour sa part Ursula von der Leyen, née Albrecht le 8 octobre 1958 à Ixelles (Belgique), est une femme d’État allemande. Membre de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), elle est ministre fédérale entre 2005 et 2019 et présidente de la Commission européenne depuis 2019.
Il est intéressant de noter que le bisaïeul d’Ursula von der Leyen était le négociant en coton Carl Albrecht (1875–1952), qui épousa Mary Ladson Robertson (1883–1960), Américaine issue de la famille Ladson, qui appartenait à l’aristocratie sudiste de Charleston en Caroline du Sud. Ses ancêtres américains ont joué un rôle notable dans la colonisation britannique de l’Amérique du nord et dans la traite trans-atlantique. Mary Ladson Robertson en effet était la fille d’Edward Twells Robertson, marchand de coton de Charleston, et de Sarah Gilmor Ladson, descendante de trois des enfants du révolutionnaire américain et lieutenant-gouverneur de Caroline du Sud James Ladson, de plusieurs gouverneurs coloniaux britanniques, et des tout premiers colons anglais dans les Barbades, dans la Caroline, en Virginie et en Pennsylvanie. Parmi les ancêtres de von der Leyen figurent également les gouverneurs John Yeamans, James Moore, Robert Gibbes, Thomas Smith et Joseph Blake, mais aussi Joseph Wragg et Benjamin Smith, qui se rangent parmi les plus grands marchands d’esclaves en Amérique du Nord britannique. Au moment où l’esclavage fut aboli aux États-Unis, son ancêtre James H. Ladson (1795–1868) détenait environ 200 esclaves. Mary Ladson Robertson, qui était affiliée à la National Society of the Colonial Dames of America, était aussi une descendante du vice-gouverneur de Pennsylvanie Samuel Carpenter et de Christopher Branch, l’un des premiers colons anglais, et était apparentée à Thomas Jefferson. Carl Albrecht et Mary Ladson Robertson étaient les parents du grand-père d’Ursula von der Leyen, le psychologue Carl Albrecht, connu pour avoir conçu une nouvelle méthode de méditation et pour ses recherches en matière de conscience mystique.
Vous pouvez consulter un extrait et télécharger l’intégralité de l’enquête de M. Adrian Onciu, intitulée «Ursula Von der „Liar” et ses mémoires perdues» (censurée en Roumanie et dans l’Union européenne).
Introduction de Gérard Luçon :
Dans ce vrai travail de journaliste j’ai pu remarquer une chose, à savoir la défiance de Adrian Onciu face à sa compatriote, la procureure européenne Laura Codruta Kovesi (LCK); en même temps il ne pouvait pas aussi expliquer qui est cette Dame, ce n’était pas l’objet de son investigation, donc voici un peu son « pedigree ».
Elle est la fille d’un procureur époque Ceausescu, nommé Lascu et qui était basé à Medias, et très ami avec son homologue Augustin Lazar, basé à Alba Iulia où se trouve la Cour d’Appel. Augustin Lazar était en charge du contrôle des détenus politiques de la prison de Aiud; quand ce rappel est sorti dans la presse, il y a 2 ans il a pris sa retraite anticipée …
Après 1989 ces procureurs « communistes» sont tous devenus anticommunistes et sont resté procureurs, comme également Monica Macovei, très proche de LCK.
Le hasard a probablement fait que Augustin Lazar, devenu Procureur Général de la Roumanie, s’est retrouvé avec LCK comme chargée du Département National Anticorruption, lieu où elle a fait « des flammes », notamment en obtenant le classement sans suite de deux énormes dossiers de « pots-de-vin » dans lesquels il était question de EADS et Microsoft … De là à penser que le retrait des candidats français et allemand à ce poste européen ait été lié à cet « excellent travail » de sa part, et que ce n’est vraiment pas un hasard si elle a été « choisie » … (G.L.)
Adrian Onciu (2 décembre 2021) — Ci-dessous, l’affaire Pfizer-Ursula en 3 minutes : « J’ai joint le résumé vidéo de l’enquête Pfizer-Ursula, avec sous-titres anglais. C’est notre seule arme pour l’instant. Profitons-en, utilisons-le avec notre tête, partageons-le massivement. Les gens méritent de connaître la vérité après presque deux ans de terreur. » — A. O.
Enquête censurée en Roumanie et dans l’Union européenne
Les conjoints Ursula et Heiko von der Leyen font l’objet d’un chantage au sein d’un accord Pfizer de 36 milliards de dollars
Premier épisode / Comment le mari d’Ursula von der Leyen est devenu le pion principal dans l’affaire Pfizer de 36 mld $
Même si le Parquet européen ne se saisit pas, pour diverses raisons faciles à deviner, nous continuons à présenter des informations vraiment choquantes de la promiscuité dans l’affaire Pfizer-Ursula. Ce sont des informations officielles et vérifiées. Pas des histoires à dormir debout.
Les résultats de la présente enquête sont vraiment explosifs. Ils montrent sans équivoque la combinaison putride entre de hauts responsables politiques de l’UE et la mafia Big Pharma. Et tout cela en pleine pandémie. Ils se sont moqués de la vie, de la santé et des libertés des centaines de millions de personnes terrorisées par un système de propagande mensongère. Ils nous ont mis des milliards de vaccins autour du cou (bien au-delà de ce dont nous aurions besoin), juste dans une quête désespérée du profit.
Le gros lot est d’environ 36 milliards de dollars. Soit 1,8 milliard de doses de vaccin Pfizer, négociées par le chef de la Commission européenne avec le patron de l’entreprise pharmaceutique, Albert Bourla. Négociées de manière totalement opaque, comme je l’ai souligné dans des articles précédents. Vous pouvez également les retrouver sur le site de l’agence Mediafax, pourvu qu’il n’y au pas de « défaillances techniques ».
Je présenterai brièvement l’histoire dans cette première partie, en m’aidant moins de chiffres, mais avec suffisamment de références et de noms de protagonistes, comme il en ressort des preuves directes et indirectes réunies. C’est le devoir du procureur en chef Kovesi maintenant de mener l’enquête. Vérifier les comptes bancaires, la circulation de l’argent entre les entreprises, demander l’aide du FBI à New York et à Bruxelles, punir les coupables. Comme elle l’a fait en Roumanie avec tant de politiciens de premier plan. Du moins faut-il qu’elle ait la volonté nécessaire.
Je précise que la société Pfizer n’en est pas à son premier délit. Elle a beaucoup de dossiers, certains pénaux. Aucun coupable pour le moment. Les procureurs américains l’ont mise en observation, mais ne sont pas allés plus loin. Ils n’ont pas même puni les cadres impliqués.
La clé de la négociation de l’accord de 36 milliards de dollars est le mari d’Ursula von der Leyen. Jusqu’au début de la pandémie, et même bien après, personne n’avait entendu parler du Dr Heiko von der Leyen. Époux de la Première Dame de Bruxelles. En d’autres termes, le mari de la cheffe du gouvernement européen.
La famille der Leyen vit près de Hanovre (Allemagne) depuis 2007, sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils ont sept enfants et un petit-fils.
Et maintenant, souvenons-nous. La pandémie a commencé en Roumanie en mars 2020. Quelques mois plus tard, en décembre 2020, un médecin allemand relativement inconnu, chef d’une clinique à Hanovre, atterrit directement au conseil d’administration d’une très puissante entreprise Big Pharma aux États-Unis. Et non, il ne s’agit pas de Pfizer. Cela aurait été trop simple. Trop frappant. Dr Heiko a été transféré à l’étranger, « dans l’intérêt du service », dans une société pharmaceutique spécialisée (depuis de nombreuses années) dans la technologie bien connue de l’ARNm. C’est Orgenesis Inc. À l’époque, les spécialistes d’Orgenesis menaient des expériences pour traiter les cancers. Mais une énorme opportunité s’est présentée : la pandémie ! Ainsi, les bons gars de Pfizer ont immédiatement flairé la méga-affaire mondiale. D’ailleurs, ils avaient de l’expérience !
Le lien entre les deux sociétés américaines, Pfizer et Orgenesis, est évident. Leur actionnariat important comprend les mêmes fonds communs de placement, selon la Bourse de New York. Je détaillerai plus avant. On ne sait toujours pas si l’actionnariat a changé avec l’arrivée intempestive de Heiko von der Leyen d’Allemagne (pour des négociations ?) ou s’il en a toujours été ainsi. Nous allons le découvrir.
Ce qui est certain, c’est que le mari d’Ursula fait tâche dans le conseil d’administration de la société Orgenesis. Presque rien dans son CV ne le recommande pour le poste élevé de « Directeur Médical ». C’est l’un des cadres payé au moins 1 million de dollars par an. Et la coïncidence a été étonnante. Pourquoi Heiko a atterri à la direction d’Orgenesis en décembre 2020, c’est une question dont la réponse révèle le mystère de toute l’affaire. Il est à noter que le premier vaccin en Roumanie a été administré le même mois, à une infirmière.
La suite s’est déroulée à toute allure. Au printemps 2021, immédiatement après l’arrivée d’Heiko à Orgenesis, d’intenses négociations politiques ont eu lieu. Sa femme a échangé des SMS et des appels téléphoniques tant avec le chef de Pfizer qu’avec son mari, qui se trouvait à proximité immédiate des gens de Pfizer (pratiquement à quelques maisons de distance). Autrement dit, un médecin très généreusement payé par la société Orgenesis (étroitement liée à Pfizer, comme nous allons le voir). J’ai écrit dans des commentaires précédents sur Mediafax que les messages et les appels de Mme Ursula ont ensuite soudainement disparu de son téléphone, à la stupéfaction de l’Ombudsman Emily O’Reilly (une sorte d’avocate du peuple, mais au niveau de l’Union européenne). En fait, ce n’était pas la première fois ces dernières années qu’Ursula von der Leyen effaçait ses traces du téléphone à la façon de Harry Potter et même plus.
Le 8 mai 2021 a eu lieu la grande annonce. Les Européens ont poussé un soupir de soulagement. Ursula von der Leyen a signé le marché avec les patrons de Pfizer pour 1,8 milliard de doses de vaccin. Le prix de la dose n’a pas été annoncé, cela n’avait pas de sens d’avoir autant de transparence. Surtout quand un dollar en plus ou en moins signifie un total de 1,8 milliard de dollars en plus ou en moins. De l’argent sorti de nos poches, les Roumains, les Bulgares et les Hongrois. Vaccinés et non vaccinés, cela n’avait aucune importance. En l’absence de chiffres officiels, le business est estimé à environ 36 milliards de dollars, soit environ 20 dollars la dose.
Comme la transparence était « au maximum », à partir de là commencent les preuves indirectes. Basées, bien sûr, sur des faits. Selon les chiffres et informations officiels, autant que nous ayons pu en recueillir jusqu’à présent, et en l’absence de toute initiative de « l’héroïne anti-corruption », la procureure générale Laura Codruța Kovesi.
À 38 milliards de dollars, tout contrat commercial de ce type comporte des « commissions de performance ». Pour les dirigeants de la Roumanie, parce que les montants sont très faibles, on parle de 10 à 15 pour cent ; à Bruxelles nous sommes sur de petits pourcentages, mais pour des sommes très importantes. Même si le profit est énorme. C’était même difficile pour moi aussi d’écrire à l’ordinateur ce que signifient 2 % des 38 milliards. Cela signifie une «commission de performance» fixe de 760 millions de dollars !
Maintenant, si vous demandiez rapidement à SOV, père du FNI (Sorin Ovidiu Vântu, fondateur d’une méga-escroquerie financière d’un fonds de placement roumain – le FNI – basé sur une Pyramide de Ponzi, à l’aube de l’an 2000 N.Trad), il vous dirait que le montant (ou même le double, car il y avait de la place pour plus) a été transféré rapidement et magnifiquement, avec élégance, du bénéfice de Pfizer à la société liée Orgenesis. Sous forme de « primes de performance » pour le mari de la dame.
C’est-à-dire, le directeur médical à peine venu sur place pour des négociations. Le respectable M. Heiko von der Leyen, descendant de noble souche allemande. Mais ce n’est que si la procureure Kovesi pouvait vérifier certains comptes, en collaboration avec le FBI et les procureurs américains et européens. Et si, bien sûr, l’ancienne responsable de la DNA roumaine a encore un peu de son aura d’incorruptible qui l’a rapidement propulsée à Bruxelles, près d’Ursula von der Leyen.
Je lui propose de mettre l’ensemble du dossier à sa disposition. En clair, des informations officielles recueillies auprès de sources fiables. Et des relations, si elle n’a pas assez d’employés. Gratuitement, uniquement avec des frais de remboursement pour DHL. Avec des données vérifiées, pas de fausses nouvelles pandémiques, promues par je ne sais quels sites obscurs.
Parce que la lecture d’un fichier aussi épais peut dérouter les lecteurs, j’ai décidé de le présenter dans unfeuilleton. Maintenant, j’ai donné l’histoire générale, le fil de l’action. Je reviendrai avec des précisions : noms, sociétés, actionnaires significatifs, CV, liens directs et indirects. Mme Kovesi sait où me trouver. Dans la ville provinciale de Iași, quelque part dans le nord-est de la Roumanie. Proche des Russes, comme diraient les hashtags. J’espère qu’elle prendra une courte pause dans sa course aux trafiquants de voitures bulgares et s’occupera de questions plus sérieuses. La vraie corruption au niveau européen.
Vous allez découvrir un entrelacement scandaleux dans les prochains jours. Car les politiciens, main dans la main avec Big Pharma, ont profité sans scrupules de la pandémie pour s’enrichir sur le dos et les poches des Européens. Sur nos vies et notre santé. J’y reviendrai.