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Nous sommes bel et bien en guerre. Les dirigeants locaux et nationaux, serviles aux puissances globalistes, font la guerre à leurs propres populations au lieu de les écouter et de les rassurer en y allant par la simple logique. Non, ils sont bien trop occupés à obéir à leurs maîtres et à instaurer cet âge sombre du Nouvel Ordre Mondial qui les asservira aussi à leur tour. Il n’ont toujours pas compris que personne n’échappera à cette “Grande Réinitialisation”… pas même eux qui se croient au-dessus de la mêlée. La manifestation des camionneurs du « Convoi de la liberté » (Freedom Convoy) aura le grand mérite de faire ressortir la vérité et de révéler au grand jour,— même aux plus incrédules —, le vrai visage de ceux qui prétendent gouverner et diriger les peuples. Les rats et la vermine sortent de leurs trous. Je l’écrivais et je le répète encore : « Leur ancien narratif concernant la Covid-19 ne fonctionne plus et leurs mensonges compulsifs les étouffe comme le serpent qui s’enroule sinueusement autour du cou de sa victime. »
Or, voici qu’un officier de l’Armée canadienne au Nouveau-Brunswick fait maintenant l’objet d’une enquête après avoir appelé d’autres militaires et policiers à se soulever contre la vaccination et les restrictions en cas de pandémie. Le major Stephen Chledowski a parlé en uniforme dans une vidéo de sept minutes jeudi, décrivant les actions du gouvernement pendant la pandémie comme une tyrannie. Il poursuit en décrivant la vaccination contre le COVID-19 comme un « génocide ». Il est également survenu alors que des centaines de militaires en service sont menacés d’expulsion forcée des forces armées pour avoir refusé de se faire vacciner. Dans la vidéo, Chledowski se décrit comme un soldat de près de 21 ans et un vétéran de l’Afghanistan. Il dit qu’il n’a pas été vacciné.
Daniel Le Bouthillier, responsable des relations avec les médias des Forces canadiennes, a confirmé dans un courriel que Chledowski est un membre actif de l’armée basé à la Base de soutien de la 5e Division du Canada Gagetown. « Nous enquêtons sur l’incident et prendrons les mesures appropriées », a déclaré Le Bouthillier dans le communiqué sans préciser quelles pourraient être ces mesures.
La déclaration de l’armée indique qu’« une des caractéristiques de notre démocratie est le principe selon lequel l’armée est responsable devant nos responsables dûment élus. La discipline est un autre principe clé qui sous-tend notre efficacité en tant qu’armée. » Il dit que ceux qui ne respectent pas le principe minent l’institution. « Tout membre des forces armées qui jette le discrédit sur les Forces armées canadiennes par des manquements de conduite ou de performance, que ce soit par des actions ou des paroles, sera tenu responsable », a déclaré Le Bouthillier.
Joint par téléphone vendredi, Chledowski a déclaré qu’il avait reçu « l’ordre de ne pas donner d’interviews. Ce que j’ai dit est ce que j’ai dit ». L’année dernière, l’armée a accusé un autre officier de mutinerie après avoir prétendument exhorté d’autres membres des Forces armées canadiennes à ne pas aider à la distribution des vaccins COVID-19.
► La transcription de la vidéo :
Bonne journée, les amis. Je m’appelle le Major Stephen Chledowski. J’ai servi le Canada dans les Forces armées canadiennes pendant plus de 20 ans. Je suis titulaire d’un baccalauréat spécialisé en sciences politiques. Et j’ai occupé plusieurs postes de commandement dans l’armée. J’ai un message urgent pour tous les Canadiens.
Depuis près de deux ans, nos propres représentants élus du gouvernement utilisent les tactiques d’intimidation de la peur, de l’intimidation, de la coercition et la violence financière et physique contre nous pour obtenir le respect de certaines procédures médicales répétées. Nous disons à nos enfants que l’intimidation est mal. Nous savons ce qu’il faut faire, si nous permettons à nos dirigeants de nous faire cela. Ils ont sciemment et à maintes reprises violé les plus hautes lois du pays dans la Charte canadienne des droits et libertés, ainsi que d’autres accords internationaux signés sur les droits de la personne. Les Canadiens ont été amenés à croire que c’est le même gouvernement qui supprime vos libertés au nom de la sécurité. Eh bien, un jour, récompensez-vous simplement avec vos libertés si vous vous conformez simplement aux règles et aux ordonnances sanitaires en constante évolution.
C’est la définition même de la tyrannie. Pas la démocratie. Les humains sont par nature libres. Les rois et les reines et les copains du gouvernement ne peuvent pas vous donner vos droits humains fondamentaux. Ils sont naturellement les vôtres. Ils ne peuvent pas être donnés. Ils ne peuvent pas être pris. Ils ne pouvaient qu’être supprimés. Dans la Charte des droits et libertés, la reine Elizabeth reconnaît dans la loi nos libertés fondamentales. Les gouvernements fédéral et provinciaux du Canada ont choisi, grâce à un ensemble de mesures bien planifiées et orchestrées, de vous tromper, de vous duper et de vous effrayer. Les personnes mêmes qui les ont élus et paient leurs salaires pour se conformer à la suppression de nos droits humains fondamentaux. Ils nous ont sciemment trahis, vous et moi, sous prétexte de sécurité.
Le jour du Souvenir passé, alors que je me tenais devant le cénotaphe militaire de Fredericton pour honorer mes camarades qui ont donné leur vie pour la liberté des autres. J’ai entendu le premier ministre du Nouveau-Brunswick, le premier ministre Higgs, et notre députée Jenica Atwin dire au public à quel point il était spécial que ces braves militaires aient donné leur vie pour leur liberté. Cette même liberté que ces mêmes menteurs et trompeurs travaillent activement en ce moment à supprimer. J’étais là. Un soldat de près de 21 ans en tant qu’officier supérieur dans l’Armée canadienne, en tant que vétéran de l’Afghanistan, participant à l’Opération Médusa, la plus grande opération de combat pour le Canada depuis la guerre de Corée, où j’ai vu mes propres camarades courageux se battre, se blesser et mourir. Mais je suis également resté là en tant que personne qui n’a pas pris l’injection de COVID-19.
L’ironie.
Donc, même si j’ai servi ce pays et que cela a été un honneur de le faire et un honneur absolu. Comme plusieurs milliers de Canadiens qui choisissent l’autonomie corporelle et le choix professionnel, je ne peux plus partager les mêmes privilèges maintenant, comme manger au restaurant, sortir en public pour un événement ou même voyager à travers les provinces pour voir mon enfant. Cela arrive à beaucoup d’autres.
Ces traîtres du gouvernement à la liberté suppriment les droits des personnes mêmes qu’ils prétendent honorer, et cela m’a fait mal au ventre. Ces gouvernements canadiens se concentrent maintenant sur nos enfants avec une thérapie génétique médicale qui est maintenant prouvée par des revues médicales répétées, des études non pas pour prévenir l’infection au COVID ni pour empêcher sa transmission à d’autres. Pour nos enfants, la maladie grave et la mort sont inexistantes à cause du COVID-19, à moins que votre enfant ne soit dès le début chroniquement en mauvaise santé. Pourtant, la toxine contenue dans cette injection aura de graves effets néfastes et permanents sur l’immunité de votre enfant. Ce fait de dommages naturels aux lymphocytes T et à l’ADN a également été révélé récemment par des études de scientifiques médicaux. J’appelle la communauté médicale à mettre un terme immédiat aux injections de ces enfants jusqu’à ce que le public canadien puisse recevoir les données exactes et véridiques de ces blessures par injection de COVID qui se sont déjà produites.
Le public canadien a le droit de pouvoir faire des choix médicaux éclairés, surtout pour leurs petits enfants, de leur dire à maintes reprises de manière sûre et efficace et de ne pas leur donner ce choix est un crime, et c’est aussi un génocide. Les médias et le gouvernement doivent mettre un terme immédiat à toute censure médicale scientifique et au silence des professionnels de la santé qui ne se conforment pas à votre programme, ainsi qu’entendre les victimes de blessures par injection de COVID. Le public canadien a le droit d’entendre les membres de nos communautés et les familles qui ont été blessés par cette procédure.
J’en appelle à mes camarades militaires et policiers. Vous tous. Nous tous qui avons prêté le serment personnel de protéger notre famille, nos amis et nos communautés, de vous lever maintenant et de protéger vos proches contre cette tyrannie médicale imposée par le gouvernement. Vous avez choisi de servir parce que vous vouliez redonner à votre communauté, et au lieu de cela, le gouvernement a retourné votre amour pour la communauté et votre loyauté contre vous. Et vous êtes maintenant une arme contre ceux-là mêmes que vous aimez.
Frères et sœurs, vous ne pouvez pas exécuter éternellement et à jamais les mesures gouvernementales aveugles qui utilisent la peur et la violence, et aussi être pour vos proches et pour la liberté. Vous devez choisir. Je vous demande de choisir votre famille et votre communauté. C’est pourquoi vous servez, et c’est le moment pour vous d’être un héros pour vos proches. Ils méritent la vérité. Ils méritent d’être protégés. J’appelle également tous les Canadiens à s’unir en solidarité. Liberté et amour pour notre communauté. La liberté de choisir qui vous voulez être, où vous voulez vivre, ce que vous voulez vivre et apprendre, quelle est votre spiritualité et ce que vous voulez pratiquer, qui vous voulez aimer. Ce que vous voulez mettre dans votre propre corps est le fondement de notre démocratie au Canada. Nous ne pouvons pas laisser la liberté mourir avec cette génération.
Que Dieu bénisse à jamais les citoyens libres du Canada.
► « Les médias perpétuent des mensonges sur les camionneurs »
Au Canada, le Convoi de la liberté a fait tomber les contraintes mises en place pour lutter contre le Covid-19 dans deux provinces. Mais le Premier ministre Trudeau persiste à ne pas lever les restrictions dans la totalité du pays. Une obstination qui ne se justifie plus sur le plan scientifique, estime Samuel Dubé, médecin et professeur universitaire canadien, au micro de Rachel Marsden.
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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).
L’adjudant James Topp risque la peine maximale alors que le major Stephen Chledowski ne sera pas poursuivi en cour martiale au Canada