PÉTITION – Les citoyens et résidents demandent au Parlement le retrait rapide du Canada de l’ONU et de ses organes subsidiaires, dont l’OMS

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Je répète ici ce que j’ai écrit le 26 mai 2023. Aujourd’hui les chefs d’État s’apprêtent à remettre la souveraineté de leurs nations entre les mains d’un gouvernement mondial et à signer un traité international qui soumettra tous les peuples à une dictature sans précédent, incluant les fermetures de frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus (englobant les exigences relatives à l’injection de vaccins ou d’autres produits pharmaceutiques). Le médecin infectiologue et haut fonctionnaire français, Jérôme Salomon, est en charge de mettre en place ce « Traité sur la pandémie » qui donnera les pleins pouvoirs à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et qui représentera une menace directe pour nos libertés individuelles. La signature de ce traité est prévue en mai 2024.

Lors du forum de l’Assemblée mondiale de la santé, le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a brandit la menace d’une pandémie « encore plus mortelle » et a appelé à un accord mondial sur la pandémie. « La menace d’une autre variante émergente qui provoque de nouvelles poussées de maladies et de décès demeure. Et la menace d’un autre agent pathogène émergeant avec un potentiel encore plus mortel demeure », a prophétisé le chef de l’OMS, dont Bill Gates est le premier bailleur de fonds. Il a également affirmé que, bien que les jours les plus sombres de la pandémie soient relégués à l’histoire, une variante apocalyptique de Covid avec le pouvoir de renvoyer le monde à la case départ pourrait encore apparaître. Tedros a donc exhorté les pays à mener les réformes nécessaires pour se préparer à la prochaine pandémie et à honorer un engagement antérieur : « L’accord sur la pandémie que les États membres sont en train de négocier doit être un accord historique pour susciter un changement de paradigme dans le domaine de la santé mondiale, en reconnaissant que nos destins sont liés. »

Si vous êtes en désaccord avec le plan machiavélique de cette organisation apatride et si vous habitez au Canada, je vous invite à signer la pétition ci-dessous pour que le pays quitte les Nations Unies et tous ses organes subsidiaires, dont l’OMS. Cette pétition qui est hébergée sur le site Web de la Chambre des communes du Canada a été lancée par Doug Porter de Burnaby, en Colombie-Britannique, et supportée par la députée conservatrice Leslyn Lewis. Attention, en règle générale je ne crois pas à ce genre de pétition car il est très rare que celles-ci donnent des résultats concrets. Le but ici est d’exprimer notre voix et c’est pourquoi je partage cette pétition que nous devons signer en très grand nombre. Si vous vivez à l’extérieur du Canada, vous pouvez vous joindre à l’effort mondial #ExitTheWHO.

[Veuillez noter : pour ma part, cette démarche est non partisane.]

➢ Pétition à la Chambre des communes réunie en Parlement

Attendu que :
  • L’adhésion du Canada aux Nations Unies (ONU) et à ses organes subsidiaires, comme l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), a des conséquences négatives pour la population du Canada, qui dépassent largement les avantages qu’elle peut en retirer;
  • En acceptant de participer au plan global « Agenda 2030 » de l’ONU et de l’OMS, le Canada porte atteinte à la souveraineté nationale et à l’autonomie personnelle;
  • L’Agenda 2030 et ses « objectifs de développement durable » (ODD), l’éducation complète à la sexualité (ECS), le contrôle judiciaire de l’ONU, le Règlement sanitaire international (RSI), l’approche « Une seule santé » et des programmes semblables sont mis en place de façon expéditive, à l’insu et sans le consentement de la population et de ses représentants élus;
  • Les ODD ont des répercussions négatives sur potentiellement tous les aspects de la vie, y compris les valeurs religieuses et culturelles, les relations familiales, l’éducation, la nutrition, le développement de l’enfant, les droits de propriété, la productivité économique et agricole, les transports, les voyages, la santé, le consentement éclairé, la vie privée et l’autonomie physique;
  • Dans le cadre du programme d’ESC, les établissements d’enseignement financés par des fonds publics causent du tort aux enfants tout en cachant de l’information aux parents. La normalisation des valeurs et des activités sexuelles à l’égard des enfants est avalisée et appliquée dès la naissance;
  • L’Agenda 2030 et les amendements au RSI négociés secrètement pourraient vraisemblablement imposer une surveillance universelle inacceptable et intrusive, violant les droits et libertés garantis par la Déclaration canadienne des droits et la Charte des droits et libertés;
  • Ces répercussions considérables sur la vie publique et privée servent les intérêts de l’ONU/OMS et d’entités privées non élues (par exemple, le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fédération internationale pour la planification familiale, etc.), tout en réduisant les droits et libertés des Canadiens en matière de santé.

Nous soussignés, citoyens et résidents du Canada, prions la Chambre des communes réunie en Parlement de mettre en œuvre de toute urgence le retrait rapide du Canada de l’ONU et de tous ses organes subsidiaires, dont l’OMS.

Voici ce que Leslyn Lewis et son équipe ont publié sur leur site internet.

➽ Le Traité de l’OMS sur la pandémie

Beaucoup de gens ne savent pas que l’Organisation mondiale de la santé travaille sur un instrument international juridiquement contraignant conçu pour préparer le monde à la prochaine pandémie. Il y a eu très peu de couverture médiatique et de débat public autour de ce traité monumental qui, une fois ratifié, orienterait les décisions et les réponses en matière de santé publique de tous les pays signataires. Il est essentiel que les Canadiens soient conscients de ces négociations mondiales et de leurs implications potentielles de grande envergure sur nos propres réponses nationales en matière de soins de santé à l’avenir.

Qu’est-ce que l’OMS ?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) est une agence des Nations Unies créée en 1948 pour « l’atteinte par tous les peuples du niveau de santé le plus élevé possible » avec 55 États membres qui se sont initialement réunis et ont mis en commun leurs ressources pour lutter contre des épidémies telles que le paludisme, Ebola, la variole et d’autres maladies infectieuses graves qui touchent en grande partie les pays en développement.

L’OMS compte aujourd’hui 194 membres et son objectif déclaré est de « coordonner la réponse mondiale aux urgences sanitaires, promouvoir le bien-être, prévenir les maladies et élargir l’accès aux soins de santé. En connectant les nations, les peuples et les partenaires aux preuves scientifiques sur lesquelles ils peuvent s’appuyer, nous nous efforçons de donner à chacun une chance égale de mener une vie sûre et saine. »

La gouvernance de l’OMS repose sur l’Assemblée mondiale de la santé (AMS), qui est composée de tous les États membres et se réunit chaque année pour approuver les politiques, le budget et élire le directeur général, qui sert pour un mandat de cinq ans.

Qu’est-ce que le Traité de l’OMS sur la pandémie ?

Le Traité international sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (Traité sur la pandémie), initié par l’OMS, est une proposition de traité mondial visant à prévenir et à gérer les futures pandémies.

Du 29 novembre au 1er décembre 2021, l’AMH a convoqué une session extraordinaire pour discuter d’un projet de traité et entamer le processus de rédaction. Il ne s’agissait que de la deuxième session extraordinaire depuis la création de l’OMS en 1948.

Quel est le statut du Traité sur la Pandémie ?

Le Traité sur la pandémie est actuellement en phase de négociation et de rédaction et devrait être signé d’ici mai 2024. L’OMS a créé l’Organe intergouvernemental de négociation (INB) en décembre 2021 pour diriger la négociation, la rédaction et la contribution au traité proposé. Depuis lors, l’INB a tenu plusieurs réunions pour recueillir des commentaires et discuter des propositions concernant le traité.

Lors de sa dernière réunion en juillet, l’INB a approuvé les grandes lignes du nouveau traité, et un premier projet de travail est publié sur le site Web de l’OMS. L’OMS a également récemment demandé au public de soumettre des vidéos pour éclairer le processus de rédaction. La question était la suivante : « sur la base de votre expérience avec la pandémie de COVID-19, selon vous, que devrait-on aborder au niveau international pour mieux se protéger contre les futures pandémies ? » Vous pouvez regarder les vidéos du public sur ce lien : Deuxième série d’audiences publiques (who.int). Les négociations et les consultations se sont poursuivies jusqu’à leur réunion début décembre 2022, où un premier projet était prêt à être discuté.

Que ferait le traité ?

L’OMS a déclaré que le traité pourrait « garantir une meilleure préparation et une réponse équitable aux futures pandémies, et faire progresser les principes d’équité, de solidarité et de santé pour tous ».

L’accord proposé « pourrait tirer les leçons de la pandémie de COVID-19 et les utiliser pour reconstruire en mieux ». L’équité est l’un des principes clés discutés dans le cadre des travaux sur le nouvel accord.

« Un nouvel accord pourrait promouvoir un engagement politique au plus haut niveau, en garantissant une approche associant l’ensemble du gouvernement et de la société au sein des pays, ainsi qu’un investissement politique et financier soutenu et suffisant au sein et entre les pays. »

Tel que proposé, un traité juridiquement contraignant donnerait à l’OMS le pouvoir de diriger la gestion sanitaire mondiale des pandémies. Le traité définira et classifiera probablement ce qui doit être considéré comme une pandémie, et cela pourrait consister en des classifications très larges incluant potentiellement même des maladies non infectieuses comme les cancers ou les maladies cardiaques. Une fois qu’une pandémie est déclarée, l’OMS exigerait des pays qu’ils adoptent des mesures de réponse spécifiques. Le projet de travail du traité propose également une exigence de rapport à l’OMS et conseille qu’il devrait y avoir un « mécanisme mondial d’examen par les pairs pour évaluer les capacités et les lacunes en matière de préparation aux niveaux national, régional et mondial ».

Le gouvernement canadien soutient-il le traité ?

Le gouvernement n’a pas encore annoncé sa position officielle sur un projet de traité.

Cependant, lorsque le député Lewis a interrogé le premier ministre sur l’engagement du gouvernement auprès de l’OMS sur des modifications controversées au Règlement sanitaire international, qui auraient conféré des pouvoirs élargis à l’OMS, le premier ministre Justin Trudeau a répondu comme suit :

« En tant que membre actif de l’OMS, le Canada a toujours été là pour promouvoir une meilleure science et de meilleurs impacts dans la manière dont nous collaborons dans le monde. Le Canada est un chef de file pour veiller non seulement à ce que nous puissions surmonter cette pandémie, qui perdure, mais également à nous préparer aux futures pandémies, qui, malheureusement, pourraient bien être la réalité des décennies et des générations à venir. Nous continuerons de participer activement aux forums internationaux sur la santé, tout en respectant et en protégeant toujours la souveraineté et les choix du Canada pour prendre les bonnes décisions pour ses propres citoyens. »

Leslyn Lewis interroge Justin Trudeau sur les amendements du RSI de l’OMS au Parlement le 19 mai 2022

En tant que l’un des 194 États membres de l’OMS, le Canada a la possibilité de contribuer directement au processus de rédaction du traité et votera sur le traité final lors de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS) en mai 2024. Chaque État membre sera invité à ratifier le traité, s’il est juridiquement contraignant en droit international. Les obligations précises et les mesures de conformité à adopter restent à déterminer.

Qu’est-ce que le Règlement sanitaire international (RSI) et quel est son lien avec le Traité sur la pandémie ?

Parallèlement à la rédaction de ce traité, un processus visant à proposer des amendements au Règlement sanitaire international (RSI), qui régit la conduite des pays et fournit le cadre juridique permettant à l’OMS d’exercer ses pouvoirs. Le RSI a été établi par la Constitution de l’OMS « pour prévenir, protéger, contrôler et apporter une réponse de santé publique à la propagation internationale des maladies d’une manière qui soit proportionnelle et limitée aux risques pour la santé publique, et qui évite toute interférence inutile avec le trafic international et le commerce. »

L’AMS s’est réunie la semaine du 22 mai 2022 pour discuter du traité sur les pandémies et pour voter sur des amendements controversés à ces règlements, qui auraient donné plus de pouvoir à l’OMS sur les États membres – essentiellement un précurseur du type de pouvoirs que le traité proposé autoriserait.

La députée Lewis avait publiquement exhorté le Premier ministre et le ministre de la Santé à ne pas accepter ces amendements. Grâce en grande partie à l’examen minutieux et aux pressions croissantes de la société civile, il n’y a pas eu de consensus sur les amendements et ils n’ont pas été adoptés lors de la réunion de mai 2022. Cependant, le processus d’amendement « ciblé » du RSI est en cours, dirigé par un groupe de travail, qui a tenu sa première réunion en novembre 2022. Nous devons rester vigilants alors que des amendements qui donneraient du mordant à un nouveau traité sur la pandémie seront proposés à de prochaines rencontres. C’est pourquoi la députée Lewis a depuis demandé publiquement au ministre de la Santé de divulguer l’avis juridique ou l’évaluation des risques qui lui a été fourni afin d’éclairer la position du Canada sur les modifications et les futures négociations sur un projet de traité.

Une plus grande coopération mondiale n’est-elle pas une bonne chose ? Pourquoi dois-je m’inquiéter de ce traité ?

Il est important que les pays travaillent ensemble pour répondre aux priorités mondiales en matière de santé publique, notamment la réponse aux pandémies ; cependant, il existe de bonnes raisons pour lesquelles ce traité devrait inquiéter les Canadiens.

Ce qui est le plus préoccupant, c’est que le traité pourrait donner à l’OMS la capacité juridique de diriger la future réponse du Canada à la pandémie, notamment en exigeant toute une gamme de mesures allant du confinement à la distanciation sociale en passant par des vaccins spécifiques approuvés pour la distribution au Canada. Le traité définira et classifiera probablement ce qui doit être considéré comme une pandémie, et cela pourrait consister en des classifications très larges, incluant potentiellement même des maladies non infectieuses comme les cancers ou les maladies cardiaques.

Cela signifie que si un tel traité est ratifié, l’OMS devient l’autorité ultime non seulement sur ce qui est déclaré pandémie, mais aussi sur la manière dont les pays doivent réagir à la pandémie.

L’OMS a reconnu que « tout nouvel accord […] est rédigé et négocié par les gouvernements eux-mêmes, qui prendront toute mesure conforme à leur souveraineté ». Dans le projet de travail du traité, ils ont répertorié la « souveraineté » comme l’un des 15 principes devant guider la mise en œuvre. Cependant, il est incertain de savoir comment ce principe sera respecté dans le contexte d’un traité global dont l’INB a déjà conclu qu’il devrait être juridiquement contraignant pour les pays signataires et comprendrait nécessairement des mesures de conformité. Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a déclaré : « L’importance d’un instrument juridiquement contraignant ne peut être surestimée : ce sera notre héritage collectif pour les générations futures. »

Le Canada doit veiller à ne rien signer qui pourrait renoncer à sa souveraineté en matière de soins de santé, même s’il existe d’énormes pressions internationales en faveur de sa préparation à une pandémie. Il serait également irresponsable de la part de ce gouvernement d’envisager de signer un traité juridiquement contraignant régissant la future réponse à la pandémie alors que le Canada n’a pas mené d’enquête nationale sur ses propres politiques et conséquences en matière de pandémie. Nous ne pouvons pas préparer l’avenir si nous n’avons pas tiré les leçons des deux dernières années.

Ce processus mondial de rédaction d’un traité inclut la possibilité de recueillir la contribution de tous les États membres. Cela inclut le Canada. À tout le moins, le gouvernement doit engager et consulter les intervenants de notre système de santé et le public canadien dans ce processus de rédaction. Si le gouvernement ne fait pas preuve de transparence envers les Canadiens alors qu’il ratifie une extension considérable de la compétence et des pouvoirs de l’OMS, il portera atteinte aux droits démocratiques des Canadiens de déterminer leur propre gouvernance. À ce jour, il y a eu peu d’informations – et encore moins d’engagement du public – de la part du gouvernement concernant ce traité.

Que se passe t-il après ?

Le projet de travail reçoit actuellement les contributions des États membres, des régions, du grand public et d’autres parties prenantes d’ici la prochaine réunion de l’INB, lorsqu’ils examineront le « projet zéro conceptuel » du traité. Le traité final sera présenté et signé lors de la 77e réunion de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2024. S’il est adopté en vertu de l’article 19 de la Constitution de l’OMS, l’accord final devra être ratifié par les deux tiers des États membres de l’OMS. S’il est ratifié, il sera juridiquement contraignant en vertu du droit international.

Prochaines étapes simplifiées

Les deux principaux moyens par lesquels des changements pourraient être apportés à la réponse mondiale à la pandémie initiée par l’OMS sont le processus du Traité sur la pandémie ou le Groupe de travail pour les amendements au Règlement sanitaire international (WGIHR). Vous trouverez ci-dessous une chronologie des événements clés de ces processus parallèles :

Processus pour changer la réponse mondiale à la pandémie


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En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs Authorsden aux États-Unis, de la Nonfiction Authors Association (NFAA), ainsi que de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il adhère de ce fait à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).

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teo

Merci pour le lien vers votre article « psychose de masse ».

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teo

Pour ma part, ce n’est pas parce qu’une action risque de ne pas aboutir que nous ne devrions pas la faire, dans des situations aussi grave que celle-ci, je pense que faire tout son possible est une nécessité pour ne pas dire une obligation envers l’humanité.
Tout en respectant les choix de chacun, ceci est donc un point de vu intellectuel et spirituel au sens non religieux.
Toute action aussi petite soit-elle peut aboutir à retarder l’emprise.
Peut-être devrions-nous lire ou relire Gustave Le Bon « Psychologie des foules ». Je souhaiterais comprendre en profondeur l’inaction des gens, ma compréhension actuelle n’est que partielle, suite aux multiples lectures et avis d’internautes, celle-ci repose essentiellement sur la peur et l’attente d’un sauveur, mais qui sait si ce n’est pas plus que cela qui empêche les êtres d’œuvrer en personne pour leur liberté.

https://www.liguedesconducteurs.org/actu-4/zones-a-faibles-emissions-le-gouvernement-retourne-sa-veste-au-soulagement-de-presque-tous

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