Révolution de couleur et haute trahison : Justin Trudeau et Chrystia Freeland, petite-fille d’un collaborateur nazi, ont pris d’assaut le Canada pour y instaurer la dictature des Globalistes

Le 14 février 2022, la vice-première ministre et ministre des Finances du Canada, Chrystia Freeland, a annoncé que le financement participatif pour les Canadiens qui manifestent pour la liberté sera considéré comme un financement du terrorisme. Deux jours plus tard, cinq grandes banques canadiennes se sont déconnectées, empêchant un certain nombre de clients d’utiliser les virements électroniques, les services bancaires en ligne et les services bancaires mobiles. Les institutions financières touchées par la panne comprenaient la Banque Royale du Canada (RBC), BMO (Banque de Montréal), la Banque Scotia, la Banque TD Canada et la Banque Canadienne Impériale de Commerce (CIBC). Par ailleurs, Finbold avait signalé, le 16 février, que la police canadienne avait bloqué plus de 30 portefeuilles cryptographiques associés aux camionneurs du « Convoi de la liberté » après avoir émis une ordonnance obligeant toutes les organisations réglementées par CANAFE au Canada à cesser d’interagir avec les portefeuilles. Les banques doivent, même, signaler aux services secrets les participants aux manifestations parmi leurs clients.

En invoquant la loi d’urgence et son ordonnance de saisie des comptes bancaires, Justin Trudeau a déclenché une « panique bancaire » (bank run) au Canada et dévoile, ainsi, son plan de crédit social à la chinoise aux yeux du monde entier.

Julien G. écrivait le 18 février sur le site internet français “Le Courrier des Stratèges” : « Il semblerait que les Canadiens comprennent que leur gouvernement s’est transformé en tyrannie et ils ne font tout simplement plus confiance aux politiques ou aux banques. Étant donné que les banques du pays se sont rangées aux ordres de Trudeau pour saisir les fonds de manifestants pacifistes, les Canadiens commencent à réaliser que les banques pourraient tout aussi facilement se retourner contre eux ! »ààLes gouvernements fédéral et provinciaux sont infiltrés aux plus hauts niveaux par des entités étrangères. Le fondateur du Forum économique mondial (FEM), Klaus Schwab, l’a lui-même confirmé lors d’une conférence à la John F. Kennedy School of Government : « Ce dont nous sommes vraiment fiers maintenant, c’est la jeune génération comme le premier ministre Trudeau, le président de l’Argentine et d’autres. Donc nous avons pénétré les cabinets. Donc hier, j’étais à la réception du premier ministre Justin Trudeau et j’ai su que la moitié de son cabinet, voire même plus, sont pour nous, sont en fait des “Jeunes leaders mondiaux” pour le Forum économique mondial. » Trudeau entretient depuis son élection une relation étroite avec Davos. Il est passé par l’école de cadres du Forum économique mondial, les “Young Global Leaders” et figure sur son site en tant que « Agenda Contributor ». Quelques mois après son entrée en fonction, il s’était déjà rendu à la réunion de 2016. Deux ans plus tard, il a renouvelé sa visite. Il avait alors surtout fait l’éloge des plans du FEM visant à développer l’intelligence artificielle et avait parlé de « l’importance des valeurs progressistes dans le contexte de la mondialisation ».

Comme je l’ai écrit le 2 novembre 2021, une autre information devrait inquiéter tous les Canadiens. La vice-première ministre du Canada, Chrystia Freeland, est aussi membre du conseil d’administration du Forum économique mondial et elle côtoie de ce fait son fondateur, Klaus Schwab, sur une base régulière. Cela devrait inquiéter tout le monde puisqu’il n’est pas normal qu’un membre du cabinet de Justin Trudeau soit assis à la table d’une organisation étrangère. J’écris cela sous toute réserve, mais ce mélange des genres ne s’assimile-t-il pas à un acte de trahison en vertu du Code criminel canadien ? Selon cette loi, le fait de conspirer est un acte manifeste de trahison : « Commet une trahison quiconque, au Canada, sans autorisation légitime, communique à un agent d’un État étranger, ou met à la disposition d’un tel agent, des renseignements d’ordre militaire ou scientifique ou tout croquis, plan, modèle, article, note ou document de nature militaire ou scientifique alors qu’il sait ou devrait savoir que cet État peut s’en servir à des fins préjudiciables à la sécurité ou à la défense du Canada. » (L.R.C. (1985), ch. C-46(2)b)


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